Une petite danse ? [Pv Mercury]

Il parait que les chemins et les bâtisses de Rosalia sont magnifiques, enfin de ce que tu te souviens vaguement. Bien que ta déception soit plutôt violente, après tout tu as fais tout ce chemin pour voir...une marée humaine se trémousser dans les rues et parler beaucoup trop fort. Le regard blasé et l’impression d’avoir perdu totalement ton temps, tu commence vraiment à te dire que ce monde est clairement ennuyant. Pourtant, il y a quelques heures, tu étais un gamin tout content qui allait en voyage.

Faut dire que cela t’a pris d’un coup, toi qui ne fait que regarder les clients acheter dans ton café, buvant et glandant dans ton bureau alors que la co-propriétaire fait tout pour que l’affaire fonctionne, tu ne daignes pas  mettre ton nez dans les comptes. En vrai t’es juste là pour faire actes de présence et parfois faire la sécurité, ça c’est du travail ! La tête affalé sur ton bureau tu regarde Madeline entrain de passer plusieurs coup de fil l’air agacé. Bien sûr tu lui demandes ce qu’il se passe, mais c’est juste des fournisseurs qui tiennent pas les dates.

“Ah au pire je pourrais y aller
-Tu pourrais ouais, mais on a la flemme
-T’as tellement raison.
-Berlioz, tu pourrais...faire un quelque chose de productif ?
-Je goûte déjà le café et les muffins, j’ai toujours pas eu ma tartine ! “

Un grand sourire sur le visage nerveux de la jeune femme alors que toi tu es parfaitement sérieux. Elle se pince l’arrête du nez avant de soupirer en retournant dans sa paperasse. C’est alors dans un élan de bonté, tu tentes de prendre un dossier de compta, toi qui n’a jamais touché à ça, tu te retrouves devant un charabia de chiffre et de ligne… Ils se prennent vraiment la tête pour rien, de ton temps… Ouais tu n’es pas une référence non plus Berlioz. Soupirant longuement, tu essaies de griffonner juste ce que tu sais, genre le signature, ton nom de famille, ton prénom comme un grand. Pour dire Mad, elle t’a félicité ! Tu l’as regardé dépité, après tout son ton fait presque penser à la nounou qui félicite le gosse qui a fait son coloriage. Bien que dans ta magnifique lancé qu’est de travailler un peu, tu touche le clavier et la souris, cependant tu n’es pas du tout à l’aise devant ce genre d’appareil, surtout quand tu tapes dans la souris, que tu ne comprends toujours pas pourquoi elle porte un nom pareil, ça ne ressemble pas à une souris. C’est au bout de 5 minute que tu abandonnes totalement en jartant l’écran devant un chargement trop long.

“J’ai essayé, okay.
-C’est le 3éme en deux mois.”

Tu essaie, c’est déjà bien, mais tu n’as pas la patience d’attendre. Déjà que tu maitrise le micro-onde, la télé, on ne va pas t’en vouloir, tu fais des efforts dans le monde humain. Sortant du bureau comme un gamin boudeur, tu t’assois à une table l’air renfrogné. C’est alors qu’une employé te parle de congé payé, un charabia bizarre que tu ne comprends pas, faut dire que le monde du travail est un mystère. D’un air paumé, tu découvre alors qu’on peut ne pas aller au travail et être payé ? C’est cool ça, nan ? Surtout vu ton statut ! C’est vrai que cela fait un moment que tu ne t’es pas baladé dans le monde depuis ton changement, cela pourrait te faire un bien fous. Tu retournes alors dans ton bureau agressé la pauvre femme qui essaie de travailler pour...demander d’aller en vacance, tu es presque mignon dans ton comportement à demander la permission.

“Si tu veux…. Va donc changer d’air. Tu veux aller où?
-Aucune idée, pas trop loin non plus.
-Il y a Rosalia, vu l’époque c’est le moment.”

Regardant la grande carte qui est affiché, tu poses le doigt sur la ville. Réfléchissant si tu es déjà allé là-bas, de souvenir oui, tu as même fais une rencontre, de ton temps ou Edwin existait. De souvenir, tu avais bien aimé la ville calme et pleine de tradition. Haussant les épaules, tu te décides à prendre donc le train, enfin on t’a pris le billet, gentil Madeline, pour partir en direction de cette ville.

Te voilà donc ici,  réalité en pleine face. “C’est le moment d’y aller” disait-elle, oui pour profiter du festival traditionnel de danse en Kimono… Trop de monde, trop de bruit, te voilà totalement dépité avec l’envie de faire demi-tour et retourner chez toi. Essayant d’avancer comme tu peux dans la foule, tu abandonne très vite pour retourner à l’entré et t’envoler pour prendre de la hauteur. Posé sur un toit, tu regarde la ville comme tu peux, y a beaucoup de monde certes, y a beaucoup de bruit. Toutefois il y a une douce odeur de nourriture qui te titille. Approchant d’en haut pour regarder ce qui sent si bon, étant un viandard, de voir de bonne brochette de viande cuire, te font vraiment rêver. Cependant, ne pouvant atteindre le stand sans te faire remarquer car bien sûr, avoir de l’argent sur toi serait un miracle. Encore une fois, tu soupirs, car tu sais que tu n’as pas “le droit” d’éradiquer une rue pour une brochette de viande, si tu passes aux infos encore une fois pour un soucis, ton frère va sûrement se facepalmer tellement fort qu’il va t’éjecter de chez lui.

“Au pire je dirais que c’est pas moi ?
-Il sait où on se trouves et niveau discrétion, tu nous connais.
-Pas faux.”

Heureusement que maintenant tu es ta propre conscience, enfin  que tu te raisonnes tout seul. Te grattant les cheveux, tu remarques alors une tour, cette fameuse tour que tu semble connaitre dans tes souvenirs. Tu la fixe jusqu’à enfin te décider à te diriger vers celle-ci. Posant pied sur le sommet, tu vois toute les ville qui commence à s’illuminer, le soleil ne va pas tarder à se coucher. Cependant, alors que tu es en contemplation tu ressentis un aura, le genre d’aura qui te fait sourire.

“Cela rend mes vacances plus palpitantes ! Je m’ennuyais justement.”

Berlioz - Mercury - Thanks

Edwin, combien de fois tu as connus ce nom. Combien de fois tu as entendus cette appellation qui te désignait. Conscience a eu un prénom bien léger, délicat, le genre de prénom qui sonne bien. C’est les parents de ce cops qui se l’ont donné. Tu ne peux pas dire que tu as de la compassion pour ces personnes, elles n’ont juste eu pas de chance. Enfin, tu ne peux que les remercier de t’avoir donner un corps, tu aurais pu renaître femme… Tu ne sais pas comment tu aurais réagis dans un corps de femelle, il est vrai qu’elles ont certaine forme sympathique, mais sur toi… Drôle de réflexion pour le moment. Surtout quand une visite dite majestueuse se trouve devant toi.

Te retournant devant cette femme, que tu as déjà rencontrer, mais pas dans ton état actuel, l’un des toi lui a parlé, tu le devine facilement de part l’appellation cité. Tu devais avoir des photos d’elle, après tout une partie de toi aime la photo, comme actuellement, tu as une mini passion pour les clichés, bien que tu oublies souvent de prendre un appareil comme un idiot. Tu as un téléphone, mais le temps que tu comprends comment mettre l’appareil photo, il sera déjà dans l’eau entrain de couler, tu n’es pas connus pour ta grande patience.

"Tu n'es pas celui que j'ai connu. alors qui es-tu ? "

Tu écarte les bras pour hausser des épaules, le sourire insolent sur ton visage. En peu de temps, l’ambiance c’est vite tendus. Elle est clairement sur ses gardes, tu es pourtant ce petit Edwin qu’elle semble aimer ? Tu passe la main dans tes cheveux pour les mettre comme il les mettait, un petit sourire narquois aux visage.

“Bah si c’est moi, tu me reconnais Cury ~”

Tu ris tout seul de ta blague peu drôle, faut dire que tu as un sens de l’humour plutôt… Enfin, tu as ton propre humour, mais s’il te fait rire, c’est qu’il te convient. Te coiffant un peu en approchant un peu la femme, bien que tu garde les mains dans tes poches pour montrer un semblant de passivité. Toutefois, tu n’en reste pas sur tes gardes en l’approchant, c’est un oiseau de feu, elle peut rapidement faire monter la température, bien que tu sais qu’elle ne va pas brûler sa maison.

“On m’appel Berlioz. Edwin est mort il y a quelques mois, dommage pour toi il n’a pas de tombe à pleurer, il n’était qu’une partie de ma personne. Déçus ? Triste ?
-Il n’était qu’un ridicule morceau après tout !
-Il est partit comme il est venu, il était gênant!
-On a failli mourir !”

Tu te place en victime ? Le cas typique du gars qui ne se reproche rien du tout, après tout il n’était que ta création, un tout petit bout de ta personne brisé. Alors comme un enfant ingrat, tu as jeté ton jouet cassé. Un sourire presque carnassier sur le visage, tu l’as regarde dans sa réaction, bien que tu restes un peu sur sa tenue, tu aimes bien le rouge, tu n’es pas espère en mode, mais elle lui va bien. Un compliment de ta part ? C’est si rare. Mais tu ne le diras pas, tu es le genre de personne à garder le positif pour lui même, Cependant, tu as remarqué un petit détail qui te fais t’approcher d’elle simplement, te penchant doucement pour te saisir de cette brochette appétissante avec tes crocs, la faim fait ton petit côté prédateur.

Berlioz - Mercury - Thanks

Impétueux est peut être le mot qui te définit le mieux Berlioz. Chaque fois que tu parles, c’est pour chercher la petite bête, c’est pour faire en sorte de faire sortir les gens de leur zone de confort. Tu affiches un sourire satisfait de ta personne, voulant absolument faire mal. Cependant, ne tu ne connais pas à trop vouloir jouer avec le feu, on peut se brûler. Tu n’as pas peur d’énerver cette demoiselle qui semble si attaché au toi d’avant… Mais n’est-ce pas un peu toi ? C’est si douloureux de ne pas être aimé ! Quoique non, tu t’en fiches d’être apprécier ou détester, tu vis comme tu le sens. Il est vrai qu’on est plus agréable entouré de gens qu’on aime, mais tu n’es pas né pour être une égérie du bon vivre !
Toutefois, tu ressens que trop bien sa colère, tu n’es pas idiot au point de baisser ta garde devant cette femme de feu. Bien que tu tentes un peu le diable en attisant encore plus la flamme intérieur de cette ravissante demoiselle. Le silence se fait entre vous deux, la fêtes comble le lourd vide entre vous deux. C’est un moment où quiquonc verrait cette scène aurait le souffle coupé de peur. Est-ce que le feu va rayer l’ombre de ses terres? Est-ce que l’ombre va emporter la lumière du feu ?

“ Vas-tu faillir une seconde fois ? “

Le son de sa voix t’a bien vite alerté. Ton cerveau, voir même ton sang c’est vite accéléré, ce n’est plus le moment de faire de blague. Tes yeux qui sont sur le morceau de viande se sont vite tourné devant la femme à la chevelure argent. Le danger se fait clairement sentir, la chaleur augmente beaucoup dans cette tour. Tu as trop joué avec le feu Berlioz, beaucoup trop. Un voile de fumée commence à se faire plus dense devant toi. Tu as peut être sortie la phrase de trop, tu aurais peut être dû faire l’annonce plus délicatement. Sans concession, tu as rapidement fait un pas en arrière, un grand pas en sentant la chaleur intenable qui commence à émaner de sa personne.

“ Sans ce morceau qu'il représente, ton existence n'a aucune valeur à mes yeux. “

Tu poses garde ton regard poser sur celle-ci. Un sourire en coin, tu as réveillé un monstre ? Non, tu as éveillé un ange plein de rancoeur. Tu sais très bien qu’un mauvais geste sera périlleux pour ta personne. Toutefois, tu ne peux retirer tes yeux de cette jeune femme plein de fureur, la colère n’a jamais eu un si splendide porteur.

“Brûles. “

Bien sûr, sur ses mots tu as bondis dans le vide en révélant ses ailes immonde qui prises la réalité. Le feu n’est pas ton allié, mais pas un danger non plus, tu n’as juste pas envie de finir en viande grillé. Tu as sortie tes mains de tes poches, tu as eu un petit frisson à se brûle, cela fait longtemps que tes sens ne t’ont pas mis en alerte. Un sourire pour cacher tes intentions.

“Allons, ne sois pas si énervé Curry ! Edwin était une part de ma personne ! Ne soit pas si colère !Dans la réalité, tu as juste apprécier une facette de moi !”

Tu lui fais un clin d’oeil, cherchant clairement à piquer un peu ? Le feu est sûrement plus ardent de la part du soleil en personne. Est-ce la bonne idée de chercher à attiser cette flamme éternelle ? Tu n’as de limite que la mort, donc tu n’as pas peur, car tu sais que quoiqu’il arrive tu reviendras d’entre les morts. Tu prends un peu de hauteur, la lâchant du regard une petite seconde, pour hausser de suite les épaules en la fixant, cette fois l’air le plus hautain.

“Tu ne vas pas gâcher le festival, cela serait dommage que la joie et les rires ne se change en tristesse et en larmes.
-Bien que moi j’adore ce genre de festival, cela apporte un peu de piment ! On sait pas trop le nombre de victime c’est tellement le suspense !”

Tu ricanes comme un idiot fier. Il faut dire qu’à la différence de ton frère jumeaux, tu ne fais pas dans la délicatesse. On ne t’a jamais appris à te taire, et encore moins à savoir quand tu vas trop loin. Le regard le plus délinquant que tu peux avoir, toi qui voulait un congé plutôt calme, te voilà prêt à faire la fête comme tu l’as fais si bien. Tu gardes toutefois une certaine distance avec la jeune femme, tu es méfiant?

Tu te fais bien vieux Berlioz, bien que maintenant, les Légendaires ne sont clairement plus perdu dans ce monde, ils sont plus...résistant ? Le bon vieux temps te manque presque, ta liste rouge semble clairement prendre la poussière… C’est ennuyeux ou peut être que tu évolues un peu?  

Berlioz - Mercury - Thanks

Jouer avec le feu, c’est presque jouer avec un briquet devant une station essence, c’est ridiculement stupide. Tu n’es pas fais de métal trempé qui te permet de tenir pareil chaleur, tu es fais de chair qui peut brûler, tu peux concrètement, mourir dans une explosion. Toutefois, tu t’amuse fort bien, faut dire que c’est amusant de se dire que tu peux crever dans les prochaines secondes, c’est...un drôle de jeu en soit. Un sourire carnassier, une envie de gratter encore un peu plus la plaie de cette pauvre femme.

"Dommage. sans lui, tu n'es rien. "

Un haussement de sourcil, il faut dire que pour toi Edwin et Berlioz ne font qu’une personne, tu étais juste le maître des pantins, tu as laissé courir tes créations pour t’amuser, et voilà où te mènes l’amusement. Edwin est doux, Edwin est bon ? Tu es donc une personne qui a un bon fond ? C’était le côté un peu humain qui apportait clairement de la douceur dans ton être infâme, combien de fois ce Berlioz a pesté dessus ? Tu as arrêté de compté, car colère et conscience ne font pas bonne paire. Tu en soupires.

“Oooh touché, je ne suis rien du tout, je suis qu’un pauvre damné !”

Tu ricanes, tu garde cependant le regard fixé sur cette femme, bien que terriblement amusante, elle est très agressive, tu ne sais pas combien de temps elle va rester sans faire un mouvement qui peut être dangereux. Est-ce qu’elle attend le moment pour attaquer ? Est-ce qu’elle veut juste te faire peur pour fuir ? Il y a beaucoup de questions qui te viennent, après tout tu dois comprendre ton adversaire. Son rire au sujet de la fête semble te faire comprendre que concrètement, c’est ta tête ou rien ? Eh bien, les légendaires que tu rencontres te semble bien familier à ton concept : AU pire ça repousse un humain/ Ville / Pays ou autre chose de potentiellement facile à détruire.

" Penses-tu me faire peur ? ou tiens-tu aussi peu à ta misérable vie ? "

Depuis quand le pokémon de feu est un type poison ? Faut dire qu’elle ne mâche pas les mots la petite dame, tu en as eu un frisson, le genre de frisson…. Que tu ne connais pas du tout, c’est étrange ? Elle te fascine, elle te dérange cette sensation, cette personne veut ta vie ? Cette personne veut juste te détruire car tu l’as un peu froissé ?

“Double pic en moins de 5 minutes, mais c’est que j’ai une concurrence rude !
-Heureusement qu’on compte pas les points ! Car je me fais laminer !”

Perdre ? Tu n’aimes pas perdre. Tu n’as pas le temps de faire un plan valable, si tu fuis, elle va sûrement te suivre ? Elle semble clairement motivé à te poursuivre pour te faire comprendre ce que cela fait de se frotter à un soleil ambulant. Toutefois, tu laisses libre court à ton envie du moment, et ce n’est pas de fuir.
Cependant, tu revois tes capacités au plus vite :

-la seule qui peut t’aider est Telluriforce, mais pour cela tu dois toucher sol, elle aurait l’avantage aérien.
-Revenant peut être ridicule si elle met le feu, l’ombre va disparaître
-Feu follet ? Du feu sur du feu, à défaut de lui brûler son kimono…
-Deorêve ? Y a sûrement des enfants qui dort dans le coin, mais c’est en cas de dommage.

Ouais en matière de tactique, tu n’es pas dans ta plus grande maîtrise de la situation. Surtout quand tu ne connais pas les armes de la jeune femme devant toi. Va falloir très clairement la jouer fine…
Non, ce n’est pas du tout ton genre de la jouer prudence, le tout pour le tout bon sang !

D’un battement d’aile, tu approches la jeune femme, le regard déterminé, bien que les griffes de ton hybridation soit présente, bien que tu sais très clairement que tu vas droit dans un danger certain, tu ressens clairement l’envie juste d’être en nez à nez devant elle. Toutefois, ce qui peut surprendre la plupart de tes adversaires passé, c’est que tu n’as pas porté de coup, non, tu es juste devant elle, tes yeux rouges dans les siens.

“En vrai, j’aime la lueur dans tes yeux.”

Cette fois, ce n’est plus le sourires narquois qui s’affiche, mais le sourire passé d’un être doux. Un compliment plutôt sincère? Dans le fond, tu te prépares à toute riposte, tu sens cette chaleur insoutenable, mais tu as réduit la distance, comme pour dire : je n’ai pas peur ou peut être nous sommes semblable ?

Berlioz - Mercury - Thanks