Messages : 966 Pokédollards : 120 Date d'inscription : 21/06/2015 Age : 30 Je suis (Inrp) : Chut faut pas lui dire qu'il est amoureux. Je ressemble à : Kamui Gakupo de Vocaloid Double compte : Reshiram, Ayden, Leo, Yuuna et Azael
Sujet: Re: La fin de l'histoire. Ou.. Le commencement ? [pv Raffy] Ven 18 Mar - 20:11
La fin ou le commencement
Cassidy
Raffaelo
C'est vrai, Cassidy n'avait pas tort, personne ne serait assez fou pour supporter ainsi le Valentini. Ok, il était certainement bien moins mauvais avec qu'elle qu'avec d'autres, mais tout de même. Je crois qu'il y allait fort quoi, dans le genre je dis exactement tout ce qu'il faut pour faire fuir la nana qui s'est déclaré à moi, il était très fort dans la matière. On pourrait même croire qu'il avait fait ça toute sa vie. Oh. C'était certainement arrivé, une femme timide qui le regarde, attiré par le bad boy qui un jour s'est décidé à s'avouer tout gentiment. Ah. Cette femme il ne savait pas ce qu'elle était devenu et il s'en fiche, déjà il la connaissait même pas, elle était conne du coup, et puis se déclarer comme ça à lui ? Il avait la tête à dire « oh oui, mais en fait je t'ai remarqué au loin moi aussi je t'aime ! » … non. Elle avait certainement pleuré toute les larmes de son corps mais qu'importe. Faut bien faire ça minimum quand on est dénué de cerveau. Mais voilà. Maintenant, y avait Cassidy, la belle et folle Cassidy hein. Carrément. De quoi rendre jalouse, oh, en fait ce serait un peu drôle en voyant les choses comme ça. Mais pour ça faudrait avouer qu'il avait flashé sur elle, et même si c'était une évidence dans sa façon de réagir, je crois qu'il était un peu tôt pour qu'il le dise. De la même façon qu'il ne pourrait pas admettre qu'elle avait raison, elle avait sa folie et c'était tant mieux, c'était ce qui lui permettait de rester là dans ses bras sans partir en courant en réalisant que c'était tout sauf une bonne idée de se déclarer à un mec comme lui. Quel mauvais plan ce serait tient. Un homme comme ça, qui d'un coup se découvre une affection aussi vive que soudaine pour une femme. Une seule et unique, qu'il ne désire pas voir partir et encore moins s'offrir dans les bras d'un autre homme et si elle partait hein ? À quel point qu'il aurait l'air d'un con là tout de suite ? Oh beaucoup, certainement que ça le rendrait encore plus mauvais c'est donc peu dire. Donc, ne parlons pas de ça, de toute façon elle était là et y restait et c'était tant mieux. Comme ça, il pouvait la porter comme un sac à patate pour l'emmener faire un tour avec lui tient, aller voir un client qui lui doit du fric en voilà une bonne idée non ? Mouais, la demoiselle n'avait pas trop l'air de cet avis.
Comme-ci elle avait son mot à dire la pauvre, elle avait l'air d'y croire et tout en plus plantée comme ça devant lui, avec son pseudo regard qui fait peur. Oulala. Il était tellement effrayé qu'il l'avait attrapé pour la balader, ouais comme ça sur l'épaule. Ricanant alors bêtement lorsqu'elle tentait de le raisonner pour la faire descendre. Bien sûr, c'était sans compter sur lui et son génial caractère pour ne pas le faire et en plus se permettre de lui donner une claque sur les fesses. Eh bien quoi ? S'il avait fait tout ça, cela lui donnait le droit de faire ça non ? C'était un peu, comme s'il affirmait que maintenant il pouvait y poser ses marques. Mouais, un jour viendra il le fera vraiment, et même si on pourrait le croire assez con d'avoir fait tout ça pour ce seul but, c'est étrangement pas la chose la plus intelligente à faire, comme si elle s'offrirait là comme ça de suite juste parce que... Elle n'était certainement pas si bête. Mais il avait bon espoir de l'avoir quand même faut avouer, dire le contraire serait mentir. Mais en attendant, on se contente de tape sur le cul comme ça. De toute façon pour ce que ça enclenche comme réaction, c'était une façon pour lui de comprendre qu'il aviat le droit voilà. Oui, il comprend vraiment ce qu'il veut comme il veut...
« Quelle farouche, j'en était totalement débordé.
Avait-il dit sur un ton qui démontrait clairement que c'était pas crédible avant de finalement l'entraîner dans la direction voulu, parce que non, il n'avait pas dis ça juste pour l'ennuyer, il avait réellement à faire. Alors qu'ils s'approchaient des quartiers riches de la ville, le jeune homme roula des yeux. Voyons, il avait la tête d'un mec aux pulsions de meurtres sans raison ? Quand c'était par plaisir, il ne tuait que rarement, il préférait la torture, surtout psychologique en fait. C'est plus drôle et et marque bien plus étrangement. Et puis des meurtres, il en faisait déjà assez.
« Quelle douce vision tu as de moi. Je ne tues pas par simple plaisir ou pulsion mais parce qu'on m'y demande. Tuer par pulsion ne rapporte rien ma belle.
Souffla-t-il en roulant des yeux, comme s'il expliquait une évidence. Bon, s'en était une et Cassidy devait bien le savoir, mais c'était un peu sa façon de se montrer toujours plus intelligent que tous le monde, parler comme un prétentieux, ça il savait faire, tant parce qu'il était un ancien gosse de riche que parce qu'il savait toujours se comporter de façon à être le plus agaçant possible. Cependant, il l'attira alors devant une grande propriété, où il sonna. Un homme au microphone répondit d'un air aussi neutre que peu accueillante un « c'est pour quoi ? », et visiblement la présentation du mot Raffaelo suivit de pour l'affaire laissa un blanc avant d'entendre un soupire et l'affirmation qu'il arrivait. Un garde du corps baraqué se planta alors derrière le grand portail fermé.
« Monsieur est occupé « Ça tombe bien moi aussi. On m'a pas comme ça, alors t'ouvre ta putain de grille et j'vais le voir « Monsieur n'est pas disposé à vous recevoir vous et... votre compagnie du jour.
Raffaelo roula des yeux, visiblement, il semblait pas disposé à dire simple « ok on reviendra plus tard », non il voulait maintenant et tout de suite. Du coup, c'est avec son regard de.. ben tueur qu'il se planta juste devant lui. S'il ne voulait pas lui ouvrir il escaladait, c'est pas ça qui lui fait peur à l'ancien militaire hein. Mais finalement, le portail s'ouvrit tout de même, il va voir avec Monsieur s'il est disposé à lui accorder un minimum de temps, voilà la raison. Pfff. Pas trop tôt. Empoignant le bras de Cassidy pour l'entraîner au moment de passer l'entrée le gars attrapa alors fermement l'épaule de la jeune femme.
« Elle n'est pas invité à rentrer en revanche elle- « Ta gueule.
Lança le jeune homme qui avait alors immédiatement saisi son pistolet -oui il en porte toujours avec lui pas fou- et le pointer sur le garde du corps. Non mais oh. C'est pas la fête du slip, il vient chercher son argent et c'est tout point barre, y a pas à tergiverser. Après un instant de silence, c'est non sans lui mettre un coup de canon dans le pif qu'il entra comme s'il était chez lui, on les regardaient de haut, un peu de façon suspecte aussi. Mais visiblement, il n'avait pas peur. Et on pouvait deviner qu'il était déjà venu ici, puisqu'il se dirigea vers le salon, certainement que le vieux était là, oui. Un homme plutôt âgé, qui se redressa subitement en voyant la porte de son salon ouverte de façon si brusque.
« Hello le vieux, ben oui c'est moi j'viens réclamer ce que tu me dois. Je travail pas gratos, et surtout, t'as déjà eut vent que c'est une réussite. Alors tu me la fais pas et tu me donne que ce que tu me dois.
Le dominant de toute sa hauteur, avec un pistolet à la main, il ne chercha pas plus que ça à discuter, puisqu'il se mit alors à chercher des « petites » économie non sans flatter légèrement le tueur, histoire de le détendre peut-être ? Son regard se posa en biais sur la jeune femme. Avant de le détourner et de relâcher sa prise. Il avait serré son poignet un peu subitement et fortement lorsqu'elle avait été menacé, ou plutôt, prise pour cible par ce mec, et il ne l'avait pas remarqué... C'est pour ça qu'il se relâcha un peu. Attendant ce qu'on lui doit. Eh oui Raffy, t'es grillé. Ahah.
Sujet: Re: La fin de l'histoire. Ou.. Le commencement ? [pv Raffy] Mar 22 Mar - 18:39
Feat Raffaelo & Cassidy
La fin de l'histoire... Ou pas.
Pour un gosse de riche, Raffaelo n'avait vraiment aucune éducation… Ou alors, il l'avait oublié en cours de route, ce qui était assez probable en fin de compte. Après tout, les bonnes manières, ce n'était pas ce dont il avait le plus besoin dans sa vie et du coup, il devait les oublier petite à petit… Tant pis pour Cassidy qui aurait bien mérité de voir ce que ça aurait donné. Non ? Mais si. Quitte à être tombé amoureuse d'un type comme lui, il pourrait au moins faire un effort pour la traiter un peu mieux que les autres, non ? Pourtant… C'était déjà ce qu'il faisait apparemment. Oui, alors qu'il venait de descendre les escaliers en la portant en sac à patate et en se permettant même une claque sur les fesses. Eh ben… On est mal barré si ça c'est le top niveau galanterie. Juste, lui tenir la porte, ça ne lui était pas venu à l'idée ? Nooon, c'était plus marrant de la porté comme ça et qu'elle se débatte bêtement dans le vide. En plus, avec sa blessure, il devait s'être fait mal ce con. Comme quoi, rien ne l'arrête quand il s'agit d'enquiquiner son monde. Mais, il fallait tout de même partir du principe que ce n'était pas si terrible. Après tout… Il aurait pu faire pire !
Quoi que, elle n'en savait trop rien, mais la jeune femme était bien partit pour le supporter un moment et la technique du ça pourrait être pire n'était pas une si mauvaise technique sans doute. Commencer à se dire qu'il était le plus horrible et mal élevé de tous les hommes sur terre ne serait pas un très bon début pour leur petit couple… Oui, un petit couple. Cela avait été dit avec beaucoup de clarté ! Enfin, pas tellement en fait, mais c'était ce que la demoiselle avait cru comprendre. Le Valentini ne semblait pas décidé à dire le contraire… Donc, jusqu'à ce qu'une preuve irréfutable vienne prouver que non, ils n'étaient pas ensemble, ils étaient ensemble, voilà tout ! Mais du coup, ça consistait à quoi ?.. A se supporter apparemment, ce qui était déjà un miracle à entendre le jeune homme. Et compte tenu de son comportement, Cassidy n'était pas prête à le contredire là tout de suite. Mais pour ce qui est de la partie où elle se fait trimballer en sac à patate, la jeune femme s'en serait bien passé hein. Au moins, une fois dans la rue, il avait commencé à marcher de manière on ne peut plus normale… Oui, avec le bras du Valentini autour de sa taille, mais par rapport à la descente des escaliers, ça c'était normal hein.
Mais du coup, se promener était bien joli, mais où ils allaient en fait ? Parce que bon, en informer la femme qui l'accompagnait ne serait sûrement pas trop demander, même si le tueur à gage sembla trouver cela optionnel. Obligeant du coup la jeune femme à s'imaginer des trucs et à poser des questions. Après tout, se faire traîner d'un bout à l'autre de la ville n'était nullement son passe-temps favori, surtout après avoir vu ce que cela donnait de suivre Raffaelo à Voilaroc. Pourtant, ce dernier sembla dépité que la demoiselle aille s'imaginer des choses… Ce qui était pourtant plus que légitime hein. Mais non, apparemment, pas de meurtre en vu. Tout simplement parce que les meurtres gratuits ne rapportaient rien… Ah ben tient, un homme vénal ! Ils allaient s'entendre sur le coup.. Même si la Mentali ne tarda pas à soupirer devant cette explication. Qu'il tue parce que c'était son boulot, ok, elle n'avait aucun doute là-dessus. Mais après pour s'attirer des ennuis, il ne lui ferait pas croire qu'il était le dernier à faire cela.
« Ça, je le sais parfaitement. Mais tu dois bien admettre qu'après l'escapade à Voilaroc, je peux m'attendre à tout de ta part mon cher Raffaelo. »
Et il valait mieux, sinon elle était mal barré la pauvre. Le suivre souvent ne devait pas être de tout repos, comme faire attention à ce qu'il ne bouge pas et se repose pour sa blessure… Une fois il s'était sauvé pendant qu'elle dormait et maintenant, il ignorait ses recommandations et allait se balader en ville. Fort heureusement, pas pour aller bien loin puisqu'ils s'arrêtèrent devant une maison plutôt cossue, où Raffaelo alla sonner à l'interphone. Le laissant se débrouiller puisqu'il semblait connaître l'endroit, bien plus qu'elle en tout cas, la jeune femme ne manqua pas de voir débarquer bientôt un homme assez baraqué qui devait être un agent de sécurité. Oh, merveilleux, la maison de quelqu'un qui a peur pour sa petite vie… c'est mignon, mais il lui voulait quoi du coup ? Qu'importe apparemment, puisque Raffaelo n'était visiblement pas le bienvenue, ni sa compagne du jour… comme disait le le monsieur. Eh oh, ça voulait dire quoi ça ? Autant dire qu'il se trimballait une pétasse à chaque fois qu'il allait se balader aussi.
« Tu sais ce qu'elle te dis la compagne du jour ? »
Visiblement, l'air légèrement courroucé de la demoiselle ne fit ni chaud ni froid au garde du corps qui l'ignora royalement… Tout le monde l'ignorait toujours, c'était l'histoire de sa vie. A croire qu'elle n'était pas crédible quand elle faisait les gros yeux. Pff, idée grotesque, elle était forcément crédible !… Bref passons. De toute manière, c'était bien Raffaelo qui attirait le plus l'attention puisqu'il menaçait carrément d'escalader le portail si on ne le laissait pas rentrer. Un peu extrême, mais efficace, même si Cassidy était totalement contre.. De l'escalade dans son état, sérieux ? Mais bon, au moins, devant l'autre type, Cassidy ne chercha pas à l'en empêcher ou le contredire. C'est un homme, il a sa fierté après tout… Et puis, vu l'échec cuisant de sa dernière tentative à l'empêcher de faire n'importe quoi, c'est bon, elle n'allait pas retenter l'expérience tout de suite. De toute manière, la méthode de l'escalade ne fut pas nécessaire puisque la grille finit par s'ouvrir, permettant au petit couple de pénétrer dans la cour… Ah, ou pas en fait. Alors qu'elle suivait tout simplement le mouvement, la jeune femme sentit une grosse main attraper son épaule.. Première réaction…
« T'es con, tu vas me salir avec tes sales pattes. »
Ouais, les fringues d'abord hein… Non mais, d'où il la touchait ce con, il tenait à faire l'expérience du vol par télékinésie ? Ok, c'était gratuit, mais apparemment, elle n'était pas la bienvenue ici. Visiblement bien décidé à ce qu'elle retourne de l'autre côté du portail, mais le Valentini fut plus rapide dans sa réaction. Pointant un flingue directement sur la tête du colosse, ce qui détourna un instant l'attention de la jeune femme, avant qu'elle ne se rende compte qu'il lui avait également saisit le poignée, comme prêt à l'éloigner d'un danger imminent. Protecteur ?.. Cela y ressemblait. Jetant un rapide coup d’œil à cette main refermé sur son poignet, la jeune femme se fit alors entraîné à l'intérieur de la maison, visiblement moins consciente que lui d'avoir était menacé ? Oh non, elle s'en rendait bien compte, mais n'en faisait pas spécialement cas en fait. Pas comme si c'était la première fois, même si en général, à Safrania la jeune femme était plutôt tranquille. Pour ne pas dire que la touchait risquait de froisser quelques mafieux dans le coin, mais cela, encore fallait-il en avoir conscience. Ne cherchant pas une seconde à se défaire de la poigne du jeune homme, même si cela faisait un peu étrange de voir un type armée traîner une fille derrière lui, voir carrément kidnapping.
Les jeunes gens finirent dans un salon, où le Valentini réclama son fric à un vieille homme. Oh, c'était lui le coup du meurtre au casino de Voilaroc ? Il faudrait peut-être le remercier… C'était un peu grâce à lui qu'ils étaient ensemble, non ? Ouais, non, faut pas déconner non plus hein. Mais le Valentini avait en tout cas finit par lâcher le poignet de la Mentali. Pourtant…. C'était si mignon, si protecteur si… Ouais non, interdiction de dire cela à voix haute, devant un mec qui emploi ses services, ce serait la honte quand même, bonjour l'image du tueur à gage qui protège une belle demoiselle. Croisant ses mains derrière son dos, ne sachant pas trop quoi en faire maintenant qu'il l'avait lâché, la jeune femme semblait bien décidé à le laisser régler ses affaires sans son mêler. Il ne manquerait plus que cela d'ailleurs, chacun son travail hein. Déjà qu'elle ne voyait pas trop pourquoi il avait besoin de faire cela maintenant. Mais visiblement, entre deux compliments pour le travail merveilleux de Raffaelo -pour lequel il avait voulu ne pas le payer oui oui – le vieille homme sembla jeter quelques coups d’œil à la petite brune à côté de lui, semblant finalement la reconnaître, assez surpris de la voir avec le Valentini.
« Miss Hatano ?… Je.. Ne savais pas que vous étiez en collaboration avec ce monsieur. Mais j'allais payer, aucun soucis ! C'était vraiment du très bon travail et je ne veux bien sûr aucun ennui. »
…. Ok, c'était qui ce mec ? Ouais, la gueule de Cassidy disait clairement qu'elle ne voyait pas trop, mais en tout cas, s'il l'appelait Hatano, c'était forcément qu'il la connaissait par sa mère adoptive… Cette dernière avait du la présenter vite fait et quand une cheffe mafieuse vous présente son héritière, on retient bien en général. A bien y réfléchir, il l'avait peut-être croisait deux ou trois fois.. Il avait du demander à ce que la mafia menace des gens pour lui, ah moins que ce ne soit lui qui est été menacé pour quelques affaires un peu louche. Après tout, s'il faisait appel à Raffaelo, la légalité ne devait pas des masses lui tenir à cœur. En tout cas, s'il s'adresser à elle comme à une Hatano, Cassidy voulait bien lui répondre comme tel, sûr d'elle, presque hautaine. De toute façon, il ne semblait plus trop savoir qui il devait craindre… Même si la carrure du Valentini et son flingue était plus dangereux dans l'immédiat.
« Oh, non. Nos entreprises ne sont pas vraiment liées, nous testons juste une… Collaboration pendant quelques temps. Mais si le travail fourni vous conviens à ce point, je pense qu'une prime en bonus ne serait pas de refus. Tout comme une pénalité de retard, occasionné par votre homme là-dehors. »
Ouais comme ça. Elle ne voulait pas une petite sommes en plus, mais deux. C'est comme ça qu'on apprend aux gens à payer en temps et en heure et même si l'argent n'était pas destiné à aller dans ses poches, c'était toujours bon de sentir qu'on avait un certain poids dans ce genre d'affaire. En l'entendant parler, le vieille homme fit presque une attaque cardiaque, mais n'osa rien dire, l'ombre de la mère Hatano planant pour lui sur le discours de la fille. Voilà donc comment on gonflait le prix d'un contrat… Pauvre vieux, il ne se ferait plus jamais prier pour payer ses dettes comme ça. Pour le coup, Raffaelo ne devait pas regretter qu'elle soit venu avec lui, si ? Cela avait ses avantages oh !
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Sujet: Re: La fin de l'histoire. Ou.. Le commencement ? [pv Raffy] Jeu 24 Mar - 19:03
La fin ou le commencement
Cassidy
Raffaelo
Protecteur et possessif ? Hm, la réponse serait certainement un peu, il était du genre à ne pas aimer qu'on touche aux rares personnes qu'il aimait, comme sa sœur, et.. ni ses objets en fait. Tout ce qu'il décidait que cela lui appartement, c’était même plus la peine d'espérer y toucher en fait. Et c'était le cas avec Cassidy ? Il n'avouerait certainement pas être protecteur, juste qu'il estimait avoir son mot à dire sur ce qui l'approche ou pas... Mais si elle voulait voir un autre homme ? Elle pourrait. Après tout ce serait certainement la décision la plus intelligente qu'elle aurait prise depuis qu'il la connaît en fait. Mais en fait, on pourrait résumer ça par une simple phrase. Il n'en avait pas envie. Voilà tout. Et comme monsieur faisait toujours ce qu'il avait envie comme il voulait et quand il veut, voilà une excuse toute trouvé. Alors c'était pour cette raison qu'il avait menacé ce garde du corps à l'entré avec un flingue ? C'est ps du tout comme s'il risquait quelque chose, comme l'avait souligné la jeune femme, elle ne voulait pas être touché par lui, du coup il pouvait bien la laisser faire ce qu'elle voulait c'était pas dérangeant. Pourtant, cette grosse main dégueulasse qui c'était posé sur son épaule était presque de trop. Y avait que lui qui touchait et puis... Et puis merde. Il n'avait pas à se justifier alors ça suffit. De toute façon c'est pas comme si cela avait changer grand chose, à peine l'étreinte sur la jeune femme relâchée, le voilà qu'il l'entraîne, des fois qu'il voudrait revenir à la charge, préférant aller parler argent avec son client plutôt que de regarder la jeune femme, sentant que celui de cette dernière était posé lourdement sur cette poigne qui l'entraînait, la poussant à le suivre, comme s'il désirait qu'elle reste près de lui. C'était une une question de se sentir soulagé de la voir à ses côtés, en sécurité ? Mais je t'en pose des questions...
Les voilà dans le salon, non sans montrer son exaspération face à la réaction innocente du gars qui espérait pouvoir se payer le luxe d'engager un tueur sans pour autant en payer les frais. Comme si c'était du hasard. C'était juste un vieux radin qui voulait faire des économie en espérant arnaquer le Valentini. Sauf qu'il faudrait certainement apprendre à cet homme qu'on ne joue pas à ce genre de jeu avec un tueur à gage, tant qu'à faire autant le faire sur quelqu'un qui ne risque pas de venir vous voir chez vous par effraction pour vous coller une balle entre les deux yeux hein... Cela lui était arrivé juste une fois, un refus de payement, autant dire que le monsieur en question était passé à la casse en plus de perdre plus que son argent dans l'affaire. Quand bien même son boulot n'était pas honnête, le Valentini travaillait quand même et je doute que quelqu'un veuille bien travailler à titre gratuit juste pour le petit bonheur de chacun. Du coup ? L'homme était certainement bien partit pour payer, cherchant distraitement l'argent avant de remarquer la jeune femme qui c'est vrai, se faisait bien discrète, mais était toujours derrière le tueur à gage. Non pas qu'il l'avait oublié, mais lorsque le regard du vieux riche se posa sur elle, il se retourna comme pour... Je sais pas. Vérifier que c'était bien la personne qu'il pensait ? On sait jamais, imaginez elle a disparut et c'est quelqu'un d'autre à la place hein. Mais non, c'était toujours la Miss O'Doherty, qui restait eh bien... à sa place. Bien sagement. Ou pas en fait. Pardon ? Haussant les sourcils à la remarque du plus âgé de la pièce, autant dire que pendant une fraction de seconde le Valentini se demanda à qui il parlait, mais c'était pourtant une évidence. Les lèvres légèrement pincées, pendant un bref instant, bien qu'étrangement trop calme, le jeune homme semblait... Contrarié ? Ouais. C'était quoi ce nom ? Et surtout... Ce fameux lien qui faisait qu'ils se connaissaient.
« … Miss Hatano...
Souffla alors le jeune homme pour lui même, fixant la jeune femme comme si une réponse à ses questions internes allaient apparaître soudainement au dessus de sa tête. Mais non même pas. Tant pis. Y aura des questions à poser jeune femme. Mais bon. Il n'allait pas s'en plaindre ou autre pour l'instant, puisque ça tournait à son avantage, bien qu'un peu dépité faut l'avouer. Les bras croisés. Il avait alors rebondis sur ce qu'avait dit la belle demoiselle qui l'accompagnait et non sans se rapprocher du dit homme, il eut un sourire en coin large. Bon menteur ? C'était peur dire. Et si Cassidy en doutait elle pourrait alors le voir avec sa faculté à mentir tout en ne sachant même pas de quoi il question, si c'est pas fort. Mais certainement que ça l'était au moins autant qu'il était en train de se dire que la jeune femme lui cachait des choses et.. que c'était pas trop son truc voilà. Enfin, gardons ça dans un coin de tête pour l'instant.
« Oh. Je ne savais pas non plus que tu la connaissais vieux croulant, voilà qui nous met alors tous d'accord sur ce que tu me dois.
Il semblait si sûr de lui, on pourrait presque croire qu'il savait tout vraiment. Pourtant, non. Il tendit cependant la main, attendant alors la somme promise. Non sans trembler légèrement et s'excuser à plusieurs reprises, comme pour essayer de rappeler qu'il avait bien donné l'argent hein, il était gentil, et personne n'allait venir le tuer durant son sommeil. Hm ? Il ne pensait pas. Pas s'il pouvait gagner autant avec ce brave monsieur. Non sans attraper la grosse liasse de billet et prendre le temps de bien la compter comme il se doit devant lui. Raffalo la rangea alors dans ses poches bien comme il faut, enfouit sous une couche de ses vêtements, avant de lui tapoter la tête. Autant Cassidy faisait mode femme d'affaire qui te ruine, autant, Raffy faisait le gars qui se fout de toi mais que t'as pas intérêt à te foutre de la sienne, il devait être gagnant, Dieu seul sait ce qu'il serait capable de faire si ce n'était pas le cas... C'est un bon combo en fait. Et ça, il devait bien le reconnaître -allant même se dire que ça la rendait terriblement sexy mais chassons ces idées de son esprit-.
« Voilà qui est très bien mon vieux. C'est un plaisir de faire affaire avec toi, tu sais vers qui te tourner si tu as encore besoin de mes services.
Et non sans légèrement ricaner, il se tourna vers la jeune femme. Son regard se posa un bref instant sur elle avant de finalement l'empoigner à nouveau pour l'entraîner vers la sortie. Non sans offrir un regard moqueur au garde du corps qui était resté à l'entrée et n'avait du coup absolument rien d'intéressant -s'il l'avait seulement été un instant et encore- à leur dire pour finalement se retrouver à nouveau à la rue... Le moment de rentrer ? Pas vraiment non... Puisqu'en fait sans avoir lâché son poignet un instant il l'avait alors soudainement tirer pour tourner à un angle de rue et ensuite la placer dos au mur, là, ses deux mains vinrent encadrer son visage en s'appuyant sur la brique, il avait un sourire en coin même si on le sentait un peu... Frustré ? Énervé ? Pas vraiment disons plutôt.. Contrarié !
« Miss Hatano ? Hm ? Soit le vieux devrait se mettre à m'appeler pour prendre chez moi pour consommer, soit tu m'as éludé quelques passages miss O'Doherty.
Siffla-t-il légèrement entre ses dents. Appuyant bien sur le nom qu'il connaissait qui était littéralement différent de l'autre. Sans compter la différence d'origine. Un de ses mains vint alors attraper son menton pour la regarder droit dans les yeux. Pupilles violettes contre pupilles violettes.
« Alors ? J'attends. Sans compter que cette histoire d'entreprise qu'est-ce donc ? Me raconte pas que c'est ton casino, j'y croirais pas vu sa tête. Surtout pour que cela soit crédible de faire affaire avec un tueur à gage.
… Il la lâcha. Son regard bien que n'ayant pas tant que bougé que ça semblait presque fuyant, se perdant un instant sur le mur qui était derrière elle certainement.
« Je pensais que tu étais un minimum honnête en ma compagnie.
C'est un peu culotté de dire ça venant de quelqu'un qui avait joué la carte du mensonge pendant plusieurs jours avec elle à leur début. Mais... Non. Ça le dérangeait. Enfin ils se connaissaient un peu, peut-être pas tant qu'il n'y paraît, pourtant elle savait déjà beaucoup sur lui, mais sa vie n'avait rien d'extraordinaire. Pourtant. Il pensait le savoir. Qu'elle venait d'Unys, avait fuit la région, se retrouvait comme par magie ici dans un casino à sa tête. Mouais, il manquait des étapes mais voilà. Autant dire qu'elle devait parler de toute façon. Son souffle effleura les lèvres de la demoiselle, comptant bien lui couper toute issue de cette façon. Alors ? On passe à table mademoiselle. De toute façon si elle voulait le.. supporter -quelle drôle de façon de dire qu'elle l'aimait et qu'ils étaient ensemble-, il fallait bien un minimum d'honnêteté non ? Allez. Même avec une O'Doherty et un Valentini à ça devait se faire.
Sujet: Re: La fin de l'histoire. Ou.. Le commencement ? [pv Raffy] Mer 30 Mar - 20:58
Feat Raffaelo & Cassidy
La fin de l'histoire... Ou pas.
Raffaelo avait vraiment de drôle d'idée quelques fois. Sérieusement, aller réclamer son fric à quelqu'un à peine sortit de l'hôpital et en plus, en embarquant Cassidy avec lui. A quel moment avait-il trouvait ce plan malin franchement ? Parce que sur le papier… Cela ne vendait pas du rêve hein. Il avait beau jouer les macho indestructible, le jeune homme était tout de même blesser et des activités comme l'escalade de portail qu'il avait semblé suggérer n'était vraiment pas une bonne idée. Quant à Cassidy.. Cette fille portait la poisse, c'était certain, à moins que cela ne touche qu'elle est les cartes, du coup… Tant qu'elle n'essayait pas de battre quelqu'un à un jeu, tout devrait aller bien ? On va dire ça hein. Pourtant, aussi bizarre que cela puisse paraître, Cassidy pouvait se rendre utile pour le Valentini ! Si si, elle savait faire ça. Son rôle ne consistait pas uniquement à se faire traîner où il en avait envie pour subir ses galères, elle pouvait aussi aider à régler les soucis ou plutôt… Améliorer grandement le résultat de la course. Sans même le vouloir en plus, que c'était beau ! Après tout, ce vieil homme était très oubliable pour la mémoire d'une jeune femme comme Cassidy, mais l'inverse ne devait pas être exact par contre et le nom de famille d'adoption ne tarda pas à être évoqué.
Ne pas profiter d'un tel coup de chance serait stupide, totalement même. Voilà pourquoi la jeune femme ne l'avait pas une seconde contredit et était rentré dans son jeu, ce qui donna un instant au Valentini un drôle de regard. Le nom Hatano lui disait quelque chose ou il était juste surpris de voir sa compagne nommé par ce dernier et non celui qu'elle lui avait dit à lui ? Elle n'en savait trop rien, mais une fois que l'homme eu tourné le dos, elle ne manqua pas de faire un petit geste vers le Valentini en voulant dire que ce n'était rien. Elle n'allait tout de même pas lui expliquer sa vie de famille compliqué là hein… Ce n'était vraiment ni le moment ni l'endroit, mais au moins, le jeune homme n'était pas du genre à se laisser décontenancé par un petit chamboulement de scénario. Bien au contraire, il montra dans la foulé une habilité à mentir sur un sujet dont il ne savait rien qui partagea Cassidy entre l'admiration qu'elle avait pour cette qualité et le doute qu'il l'utilise un jour avec elle. Mais son éducation fit qu'elle plaça le talent pour la tromperie comme une qualité bien plus forte que ses doutes. Le vieux sembla du coup convaincu et n'ayant envie de contrarier personne dans cette pièce, paya sans se faire prier la rallonge demandé. Après tout, c'était plus facile de jouer les mauvais payeurs lorsqu'il y avait des murs et un portail entre lui et la personne à qui il devait du fric.
Son argent en main, le tueur à gage ne s'était pas gêné pour recompter, même si Cassidy était assez certaine que le vieil homme ne prendrait pas le risque de lui donner trop peu alors qu'il l'avait en face. Le montant sembla donc plaire au plus jeune des hommes et donc convenait aussi à la demoiselle… C'était rare qu'elle ne négocie pas pour elle-même tient, elle méritait limite une part pour se travail rondement mené ! Mais elle verrait plus tard pour cela, après tout, la base du mensonge était ici qu'ils travaillaient ensemble et était donc… D'accord sur les prix ? Mouais. Quoi qu'il en soit, tiré une nouvelle fois par le Valentini vers la sortie, la jeune femme ne manqua pas d'adresser un sourire en coin à l'homme en s'en allant.
« Ce fut un plaisir de parler argent avec vous, je m'en souviendrais. »
Oui enfin… C'était un plaisir de voir l'argent circuler de sa poche à la sienne… Quoi que, même pas en fait, jusqu'à celle du tueur à gage de qui elle s'était entiché. Et cela ne lui faisait même pas mal au cœur… Comme quoi, elle devait vraiment être amoureuse la pauvre. Snobant le garde du corps qui avait attendu à l'entrée, la jeune femme suivit tranquillement le Valentini à l'extérieur de la demeure, ayant tout de même l'impression que… Quelque chose clochait. Et cela lui fut d'ailleurs confirmé lorsqu'il la fit changer d'un coup de trajet pour la tirer dans une rue plus tranquille et… La plaquer contre un mur. Ouais, carrément. Non mais oh, c'était quoi cette agression ?! Bon ok, en réalité, il n'avait rien de violent, mais plutôt… Pressant. Ses mains venant encadrer le visage de la jeune femme, il resta planté ainsi devant elle, laissant la mentali sans voix, mais avec un regard étonné posé sur lui. Hm ? Comment cela elle avait éludé des passages ? Mais non… Enfin… Si peut-être ? En réalité, ils n'avaient parlé tous les deux que très vaguement de leur passé. Il lui semblait bien avoir évoqué Unys, des choses comme cela, mais visiblement non, elle ne s'était pas arrêté sur le sujet de sa nouvelle famille. Famille au sens large quand il s'agit de mafia hein… Mais en même temps, il ne lui avait jamais posé directement la question hein !
Pourtant, au moment où elle allait se défendre sur ce fait, la jeune femme vit le Valentini lui saisir le menton, semblant assez contrarier de découvrir un nouveau nom à la femme avec qui il avait passé autant de temps dernièrement et semblait… Ben sortir avec lui maintenant ? Ouais, ils disaient les choses tellement clairement ces deux-là que c'était tout de même compliqué, mais ils étaient bien ensemble pourtant et la jeune femme voyait bien que Raffaelo n'appréciait pas les cachotteries. Mais il croyait quoi à la fin ? Qu'elle lui cachait un truc hyper important, genre une famille de mafia ayant la main mise sur Safrania et Céladopole ? Ah ben… Ouais en fait. Sauf qu'elle n'avait jamais cherché à lui cacher quelque chose. Elle avait juste...Omis quelques détails. Jamais elle n'avait menti au jeune homme, contrairement à lui qui lui avait volontairement laissé croire n'importe quoi au début de leur relation. Son menton enfin lâché, la jeune femme lâcha un soupire, se préparant à devoir faire une bonne explication au Valentini de toute manière. Il fallait bien que cela arrive un jour de toute manière. Mais le regard un instant perdu vers le mur du jeune homme donna une drôle d'impression à la Mentali. Comme si par son omission, elle lui avait donné l'impression de le mener en bateau. Ce qui n'avait jamais été son but. Fronçant légèrement les sourcils, la jeune femme pointa alors son index vers Raffaelo pour donner un léger coup contre son torse avec.
« Hey, doucement. Tu en fais un peu trop là Valentini. Je te rappel que de nous deux, c'était toi le moins honnête avec ton petit jeu au casino et à la plage. N'inverse pas les rôles. »
Si elle était contrarié ? Mais non.. Enfin juste un petit peu. Après tout, il doutait de son honnêteté avec lui, alors que lui-même ne s'était pas montré vraiment franc avec elle au début. Elle espérait d'ailleurs que cela avait changé… Mais elle, contrairement à monsieur Valentini n'avait jamais cherché à le tromper volontairement. Voilà pourquoi, elle ne tarda pas à reprendre, un peu déçue cela dit qu'il est l'air de remettre sa parole en doute.
« Je ne t'ai rien caché, je n'ai juste.. Pas eu l'occasion de t'en parler, c'est différent. Hatano est le nom de la femme qui m'a adopté et fait venir à Kanto c'est tout. Je ne l'utilise pas vraiment parce que… Plus habitué à O'Doherty tout simplement. Et puis l'autre, on fait trop le rapprochement avec ma mère, comme ton gros lard de client là. »
Faisant une petite moue, le regard un peu fuyant, gênée de s'expliquer alors qu'elle était convaincu de n'avoir rien fait de mal la pauvre. Elle finit par relever les yeux vers le Valentini, le regardant un instant avant de se relever sur la pointe des pieds pour aller déposer un léger baiser sur ses lèvres, comme pour tenter de le calmer, ou de le rassurer un peu. Elle était honnête avec lui, elle l'avait toujours été.. De toute façon, elle n'arriverait même pas à lui mentir même si elle le désirait, elle en était presque sûre. Cela dit, elle était tout de même surprise maintenant qu'elle y pensait qu'il lui ai demandé ce qu'était cette entreprise… Bon au moins, il ne s'était pas rapproché d'elle pour cela, bonne nouvelle.
« Je ne t'ai pas menti. » Souffla-t-elle contre ses lèvres avant de reprendre. « Mais… Les Hatano dirigent un clan mafieux, tu n'es pas au courant de ça monsieur le tueur à gage ? Comment tu crois que je me suis retrouvé à la tête d'un casino à mon âge. »
Ben oui, franchement, même en considérant qu'elle était doué pour faire rentrer de l'argent, il fallait tout de même admettre que son histoire puait le favoritisme et la fille pistonnée à mort. Et bien, sa mafia était juste propriétaire de l'endroit et elle la gérante, c'était moins étonnant dis ainsi. Et puis, il fallait bien filer un peu de responsabilités à la fille de la patronne tout de même. Comme quoi, Raffaelo c'était tout de même un sacré bon partie et sans le savoir en prime.. Quand on vous dit qu'il a un karma de ouf le mec. Observant un instant le visage du Valentini pour savoir ce qu'il en était, la jeune femme n'était pas sûr pour autant qu'il allait accepter cette histoire comme ça.. Voilà pourquoi elle avait finit par lâcher, presque contre sa volonté une phrase d'une voix basse.
« … Tu m'en veux ?… »
Ouais, ce serait la fin du monde si c'était le cas. C'était grave comme ce mec avait le pouvoir de la stresser plus que quiconque…
Messages : 966 Pokédollards : 120 Date d'inscription : 21/06/2015 Age : 30 Je suis (Inrp) : Chut faut pas lui dire qu'il est amoureux. Je ressemble à : Kamui Gakupo de Vocaloid Double compte : Reshiram, Ayden, Leo, Yuuna et Azael
Sujet: Re: La fin de l'histoire. Ou.. Le commencement ? [pv Raffy] Lun 4 Avr - 20:53
La fin ou le commencement
Cassidy
Raffaelo
Raffaelo était un menteur, doublé de quelqu'un de potentiellement assez mauvais joueur quand il s'y mettait et d'assez irritable. En fait, le Valentini avait pour habitude d'adorer ennuyer les autres, mais n'aimait pas recevoir la pareil de ce qu'il pouvait donner. Parce que c'est toujours plus drôle de faire des sales coups que d'en recevoir comme on dit hein. De toute façon, qui aime bien en recevoir ? Personne. À moins d'être un masochiste finit mais c'est une autre affaire ça... Du coup ? Disons qu'en fait, étrangement il était difficile de réellement le vexer, parce que monsieur a un peu tendance à se croire au dessus de tout et de tout le monde, mais une partie de lui-même pouvait alors se retrouver affecté par quelques rares choses. Allez savoir, si vous trouvez une corde sensible vous verrez bien. Attention cependant, toucher une corde sensible chez le Valentini a plutôt tendance à le transformer en boule de nerfs prête à exploser plutôt que de le replier sur lui-même. Difficile de l'acculer le bougre. Même quand il se sentait totalement con, ce qui était assez rare pour le signaler, bravo miss O'Doherty. Ou Hatano. En fait il n'en savait trop rien presque pendant un instant et c'était bien ça le soucis. C'était pas faute d'avoir gardé alors la tête haute durant tout l'échange avec le vieil homme qui lui devait maintenant un salaire plus grand que celui prévu. Merci mademoiselle ? C'est ce qu'il pourrait dire s'il n'avait un orgueil qui était au moins aussi grand que lui, et encore, j'suis sûre qu'il faut le faire plier en deux pour le faire rentrer dans son corps ahah. Ahem. Quoiqu'il en soit. Après avoir empocher ce qu'il devait fièrement et être partit, une petite parcelle de lui-même ne pouvait s'empêcher d'avoir envie d'exploser. De demander explication, de lui faire comprendre qu'elle n'avait nullement intérêt à vouloir trahir la.. confiance ? Affection qu'il semblait éprouver pour elle ? Il n'en était lui-même pas sûr, ou plutôt il ne voulait pas mettre de mot sur tout ça, il vivait avec elle à côté tout simplement et sa présence était un bienfait, quelque chose de nécessaire même. Voilà tout. Mais oui. Pour la première fois de sa vie Raffaelo se demanda s'il était trahit.
C'est beaucoup en faire pour pas grand chose ? Ouais peut-être, c'est pas faux. Mais venant de quelqu'un qui n'accorde que peu d'importance aux autres -même parfois des amis, il n'éprouvait pas forcément grand chose pour eux...-. Alors on pouvait se douter qu'il se montrait un peu susceptible lorsque cela arrivait. Et comme bien sûr il ne garde rien sous silence et ne sait pas se retenir, et se tenir tout court en fait, notre homme coinça la jeune femme dans un coin de rue -non, y a rien de pervers j'te jure- avant de lui faire cracher le morceau. Ouais comme un interrogatoire rien que ça mademoiselle, ou pas.
« Hm ? C'est pas pareil..
Ben non. C'est pas pareil, lui pouvait jouer les menteurs par jeu s'il voulait mais on ne lui mentait pas. Quand on ne fait pas ce qu'on dit et tout avec lui, ça peut être cher payé. Exemple ? Eh bien disons que le vieux monsieur ne payait pas, autant dire qu'il le payerait très cher voilà c'est mieux ? Bon en fait il n'allait pas découper la demoiselle en morceau ni la frapper pour se soulager ou se venger mais. Voilà quoi. Qu'on en profite pas parce qu'il en pouvait pas ! Ne bougeant pas d'un pouce, le jeune homme resta tout de même parfaitement silencieux face à ses explications. Comme quoi elle n'avait rien caché. Mouais. Omis et caché c'est presque pareil, lui-même connaissait bien cette technique de mensonge assez simple à faire même quand on n'est pas très bon menteur en fait. Que.. visiblement O'Doherty était son vrai nom ? On dirait bien, et le pourquoi elle n'utilisait pas l'autre. Mouais. Bon, si en fait c'était quand même des bonnes raisons et excuses certainement, mais monsieur était du genre de mauvaise foie. Et jusqu'au bout, même quand on parlait de mafia. Ouais rien que ça hein. Elle pouvait pas être la fille adoptive d'un boulanger hein. Quoi ? Non bien sûr qu'il s'en fichait bien et était bien le dernier à avoir peur de ce genre d'organisation. Mais voilà. C'est toujours bien de savoir hein. Roulant alors des yeux. Il fût alors arrêté par un baiser. Ouais ouais c'est ça, rachète fois vile femme ! Pff. En fait faut jamais s'en trouver une et lui faire confiance c'est là qu'on se fait le plus avoir. N'y répondant qu'à moitié, comme s'il.. boudait ? Ouais. Quand je dis mauvais joueur c'est littéralement comme un gosse, et on pouvait alors sentir la puissance absolu du gosse pourris gâté et chiant qu'il était.
« C'est presque pareil. Tu pouvais pas oublier de dire que t'étais la fille du pâtissier, juste que c'était une mafia qui allait me rendre visite parce que oh mon dieu j'suis dans tes fréquentations. Même si. Je pourrais plaider ta folie pour me défendre..
Sourit-il en coin. Ouais, c'est pas cool de dire que sa copine est folle. Mais en même temps fallait bien un minimum ça pour le supporter. Et tant qu'il se contentait de pics comme ça c'était bien gentil. C'est bien connu que Raffy emmerde son entourage, suffit de voir combien de fois il avait fait croire à sa sœur qu'elle allait se faire manger par un requin quand elle était enfant, la retrouvant alors en train de hurler à la mort dans l'eau dès que quelque chose la touchait, quel horrible grand frère il était de rire à ça.
« Et puis, j'ai une mémoire sélective, j'ai certainement du la croiser ta mafia, mais en fait je m'en balance un peu du coup, j'ai pas retenu le nom qui est à sa tête..
Peut-être avait-il juste retenu que c'est une femme, allez savoir, et encore il n'en est pas sûr. Faut avouer que le tueur à gage ne les côtoie pas trop, ces derniers font leurs affaire et lui fait les siennes et généralement ils ne se dérangent pas. Disons qu'il partage le coin sans trop de soucis. Mais il ne serait pas improbable de dire que les deux entreprises se sont déjà échangés quelques liasses de billets.
« Ouais..
Son sourire s'élargit alors encore plus lorsqu'il lâcha presque du tac au tac la réponse à sa question. Est-ce qu'il lui en voulait ? C'était mieux de dire oui. Juste pour la voir alors pendant un instant se dire qu'elle avait grave merdé. Et lui, il ne trouva rien de mieux d'ajouter, non sans rapprocher son visage du sien, la coinçant littéralement contre le mur.
« Du coup. Je veux et j'exige, d'exquises excuses.
Et là tu te dis, que j'ai joué à The Wither 3 et ma réponse est oui ! Ahem. Mais faut avouer que cela lui allait bien de sortir ça. Et puis, avec ce ton, on aurait dit qu'il allait la dévorer sur place la pauvre fille... C'est d'ailleurs peut-être pour ça qu'il avait posé dans la foulé ses lèvres sur les siennes. Retrouvant alors pendant un instant le contact doux et chaud de ses lèvres sur les siennes. Avant de se mettre à lécher ces dernières. Attendant alors l'ouverture qui lui permettrait alors de s'introduire et allez dire bonjour à sa camarade. Quoi ? On ne va pas lui faire croire qu'elle n'a jamais fait ça hein. De toute façon il mettait sa réaction sur la surprise... Mais il ne se gêna pas pour la caresser légèrement avant de tout lâcher avec un sourire coin.
« Mouais. On va dire que ça ira..
Ou l'art et la manière de dire qu'il lui en veut, prendre l'excuse de lui-même et dire que c'est bon tout seul. Trop fort ce Raffy. De toute façon, c'est avec un sourire fier d'avoir reprit le dessus et surtout de lui avoir volé ce baiser qu'il passa ses bras autours de son épaules pour l'entraîner alors dans les rues, d'un pas plus lent qu'à l'allée.
« Bien maintenant je rentre. Miss... la mafieuse..
Souriant en coin, il l'entraîna avec lui, non sans ricaner un coup. Son étreinte se fit alors un peu plus fort sur elle pour la garder à ses côté, mais restait tout de même douce...
Sujet: Re: La fin de l'histoire. Ou.. Le commencement ? [pv Raffy] Jeu 7 Avr - 21:26
Feat Raffaelo & Cassidy
La fin de l'histoire... Ou pas.
Si Cassidy était une menteuse ? Mais non, pas du tout ! Jamais ! … Oui bon enfin.. Comme tout le monde quoi. Tout le monde mens, c'est un fait. Certains ont une bonne raison de le faire, d'autre aiment juste retravailler la réalité et d'autres ne ressentent juste pas le besoin de dire toute la vérité à tous le monde. Cassidy elle mentait assez souvent tout de même. Que ce soit à ses clients, pour leur adresser un sourire faux et leur dire qu'elle était contente de les voir alors qu'elle ne pouvait pas les voir en peinture pour certains. Mais il y avait aussi d'autre forme de mensonge. Lorsqu'elle se teignait les cheveux, c'était une sorte de mensonge, qu'elle faisait aux autres tout d'abord à Unys, puis à elle-même un petit peu puisqu'elle ne pouvait pas se voir avec sa vrai couleur. Lorsqu'elle disait s'appeler encore O'Doherty, c'était un peu la même chose en fait. C'était un petit mensonge de confort, qui ne faisait de mal à personne et qui lui laissait une certaine tranquillité compte tenu de la réputation de sa famille d'adoption. De toute manière, en ayant été adopté aussi tard, il était compliqué de réellement se faire à un nouveau nom et de ce fait, Raffaelo pouvait parfaitement comprendre qu'elle lui est donné celui d'origine… Non ?
Pourtant, lui aussi était un menteur. Il lui avait bien fait croire qu'il était un pokémon au début, non ? Et d'un coup, il décidait qu'il fallait être parfaitement honnête l'un envers l'autre et que les oublies n'étaient plus permis ? Ben… Ouais. Il manquait pas de culot ce mec quand il s'y mettait, mais il semblait réellement vexé que la mentali est omis quelques détails de sa vie et qu'il est du les découvrir à cause d'un vieil homme bedonnant. En même temps, voilà… C'était comme si elle avait découvert qu'il était tueur à gage en le voyant tuer quelqu'un ! Non, il avait été gentil et l'avait prévenu avant. Mais le manque de réaction normale de la demoiselle à ce moment là aurait peut-être du lui mettre le puce à l'oreille quant à la légalité de son propre travail à elle. Mais il avait du mettre cela sur le compte de la folie de la jeune femme, puisqu'il semblait totalement convaincu que celle-ci avait un grain et que son acharnement à rester avec lui faisait office de preuve. Du coup, bien qu'elle chercha à se faire pardonner en lui donnant un petit baiser, le Valentini lui préféra rester frustré dans sa bouderie et ne pas céder à la demoiselle.
Comme si elle avait commis un crime tout à fait atroce, il n'avait d'ailleurs pas tardé à lui répondre, ne semblant pas vraiment emballé par cette fameuse mafia qui allait certainement venir lui rendre une petite visite selon lui. Pff, quel espèce de parano ce mec franchement, jamais ce genre de chose n'arri…. Ah si, c'était parfaitement logique en fait. Pourquoi elle n'y avait pas pensé avant ? Manque d'habitude sans nul doute. Pourtant, plus jeune elle s'était parfois demandé ce que cela donnerait si elle se trouvait un mec. Bien joué, maintenant elle imaginait parfaitement quelques gars à l'allure peu sympathique venir voir le Valentini pour lui dire que non, jouer avec les sentiments de la fille de la patronne, ce n'était vraiment pas une bonne idée. Pas étonnant qu'elle soit resté célibataire en fait. La surprotection n'était vraiment pas quelque chose d'attirant et il ne serait pas étonnant que des mecs lui est tourné autour et se soit fait effrayé par la « famille » sans même qu'elle s'en aperçoive. Mais au moins, Raffaelo n'était pas le genre d'homme qu'on pouvait dissuader de quelque chose aussi facilement, bien au contraire. Même si l'idée qu'on lui rende visite ne plaisait pas non plus à la Mentali.
« Désolé, pas de croissants gratuits. » Ironisa-t-elle quant à son histoire de boulanger.« Mais joue pas les paranos, personne viendra te voir parce que tu passes du temps avec moi. Enfin… C'est pas encore arrivé, peut-être qu'ils s'en foutent hein. Puis au pire.. t'es un grand garçon, ça va pas te tuer. »
Ben non, il était fort, déterminé et… N'avait peut-être pas envie de s'encombrer d'une fille avec un entourage… Ben, si encombrant en fait. C'était un défaut après tout, plus important que la folie qu'il disait voir chez elle constamment en tout cas visiblement, même si elle n'avait pas vraiment relevé ce fait. Si elle était folle ? Non, sûrement pas, mais.. Par rapport à qui ? Est-ce qu'un fou est au courant qu'il l'est ? Peut-être que pour les fous, ce sont les autres qui le sont après tout et beaucoup s'accordaient de toute manière à dire que la jeune femme avait une façon de penser bien à elle et était un peu givrée. Evolition raté ah ah. Mais elle ne voyait de toute façon pas vraiment cela comme un défaut et si cela l'aidait à supporter Raffaelo alors que les autres n'y arrivaient pas, pourquoi pas hein ? Mais elle avait beau le supporter parfaitement bien, sa façon de se montrer rancunier pour rien était un peu agaçante pour elle qui était certaine de ne rien avoir fait de mal. Voilà pourquoi sa réflexion lui donna un petit air boudeur, aussi mature qu'il pouvait l'être lui-même.
« Si tu t'en balance, qu'est-ce que ça peut te faire que je porte ce nom là ou un autre… Au moins, bonne nouvelle si tu t'intéresse pas à ça. »
En même temps, oui, il valait mieux cela que de se rendre compte qu'il était au courant et s'intéressait de près au futur héritage de la demoiselle qui était plutôt conséquent. Elle le préférait largement en mode j'men bats les steaks. Bien sûr, en mode je t'en veux pas du tout ma puce, ce serait encore mieux. Mais non, il ne fallait pas rêver, parce que Raffaelo n'avait rien d'un mec gentil. Il était un casse-couille de première et le prouva encore une fois en répondant du tac au tac à la demoiselle qui voulait savoir s'il lui en voulait. Ah ben… Plus clair tu fais pas, c'est sûr et cela coupa même un instant le sifflet à la mentali qui ne s'attendait pas à autant de franchise. Bon ok, elle aurait pu le voir venir, mais elle avait espéré que peut-être, il serait adulte et raisonnable. Ben loupé. Ouvrant la bouche pour dire quelque chose, elle se ravisa en se rendant compte… Ben qu'elle ne trouvait rien à redire à un oui aussi catégorique. Elle se sentait coupable, avait l'impression d'avoir fait une connerie impardonnable et qu'il allait la planter là pour lui apprendre à lui mentir. Ou à ne pas tous lui dire comme s'il était flic au choix. Luttant contre une envie intérieur de se coller des baffes, la jeune femme n'eut pas le temps de réagir que le Valentini s'était de nouveau rapproché pour… Littéralement la coincer contre le mur et lui sortir qu'il voulait des excuses… D'une bien drôle de manière. Vas y, t'arrive à la sortir sans bafouiller celle-là mec ? Pff, gosse de riche trop bien éduqué comment il se la pète !!!
« … Je suis… »
Désolé ? Subjugué devant cette maîtrise de la langue ? En admiration devant ton vocabulaire ? Dépité par ton excès de jeux vidéo ? Eh bien, on ne sauras jamais ! Ben non, la faute au Valentini qui ne lui avait pas laissé finir sa phrase et qui était venu poser ses lèvres sur les siennes… Pff, quand c'était elle, à peine il lui rendait parce qu'il boudait et maintenant, c'était lui qui venait chercher… Jamais content les mecs. Pourtant, Cassidy fut tout de même moins rancunière. Plutôt prise par surprise que cela on va dire, surtout lorsque le jeune homme chercha à… Approfondir un peu le baiser ? Ben ouais, en même temps, ils étaient plus au collègues hein, c'était..Normal. Tout comme la couleur écarlate qu'avait prise les joues de la mentali certainement, qui répondit maladroitement à ce baiser un peu déroutant. En même temps… Voilà, il ne l'avait pas prévenu hein ! Puis c'était perturbant merde. Il suffisait de voir sa tête pour se rendre compte qu'elle ne s'y était pas préparé là tout de suite, mais le Valentini avait finit par rompre pour dire que.. Mouais, ça irait. Ok, elle embrasse mal. Au moins, maintenant elle était au courant hein, c'était mieux… Ou pas. La honte en fait, si elle pouvait se cacher dans un trou de souris là tout de suite, elle n'hésiterait pas une seconde.
« Tu… Pardonné ça y est ?.. »
Ouais et une phrase complète, c'était possible ? Ben visiblement pas, mais l'essentiel y était disons. Le bras du Valentini passé autour de ses épaules, la jeune femme se fit alors entraînée par ce dernier qui disait qu'il rentrait chez lui et visiblement, c'était avec elle qu'il comptait faire cela. Au moins, c'était une bonne nouvelle, il ne la quittait pas… Cela aurait été l'histoire la plus courte du monde en même temps là, mais bon. S'il était en train de se rendre compte à quel point sa compagne n'était pas… Douée, on pouvait le comprendre en fait. Tout à coup, Cassidy avait l'impression que cela se voyait comme le nez au milieu de la figure qu'elle n'avait pas l'habitude de ce genre rapprochement. Il l'avait grillé lui ou bien .. ? Possible, dur à dire en fait. Mais dans un sens, elle se disait surtout que vu la comédie qu'il venait de lui faire pour cette histoire de nom, en lui cachant quelque chose d'aussi gros, la pauvre allait vraiment se faire engueuler là… En même temps, il voulait qu'elle lui dise ça comment ? Ah au fait, je suis vierge, ça te dis une pizza pour ce soir ? Ah ah, ils étaient bien avancé là tient… Mais elle ne se voyait certainement pas lui sortir cela, là comme ça et prenait donc le risque de lui laisser cette mauvaise surprise pour plus tard.
« … Je.. Rentre avec toi. Mais juste pour surveiller que tu te repose bien, c'est fini les escapades monsieur Valentini. »
Essayant de reprendre un peu plus d'assurance, elle continua de marcher avec lui pour retourner à son appartement, bien qu'elle trouve toujours cela un peu gênant de s'afficher comme cela avec un homme… Mais pas désagréable pour autant. Limite, elle aurait pu rendre des filles jalouses là… Quoi qu'il en soit, tapotant de son doigt sur le ventre du jeune homme – trèèès loin de sa cicatrice cela dit - en tentant d'avoir un semblant d'autorité, elle reprit la parole.
« Tu attendras un peu avant de menacer d'escalader des portails, j'aimerais bien te garder en un seul morceau. Ce serait bête de te casser alors que tu as trouvé une folle pour te supporter. »
Ben ouais, au moins elle le reconnaissait qu'elle n'était pas net. Mais elle voulait vraiment qu'il se tienne tranquille et qu'il aille mieux, voilà pourquoi elle comptait bien le surveiller...Ou alors elle avait juste très envie de rester avec lui… Mais ça on va pas le dire hein.
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Sujet: Re: La fin de l'histoire. Ou.. Le commencement ? [pv Raffy] Mar 12 Avr - 17:56
La fin ou le commencement
Cassidy
Raffaelo
Pas de croissant gratuit, voilà qui était dommage hein. Mouais, autant dire que c'était un peu bizarre de dire ça au Valentini, comme s'il avait espéré avoir réellement droit à ce genre de chose juste parce qu'il avait à ses côtés dans sa vie O'Doherty. Il c'était bien dit qu'elle était bizarre cette fille, mais il n'avait pas cherché la chose plus loin, parce que pas besoin de baigner dans l'illégal pour y être à l'aise rapidement dedans et trouver ça normal hein. Il n'était pas fils de mafieux ou autre lui, juste... De noble. Un peu chelou certes, certainement un peu lèche cul, mais ils étaient lié à l'armée d'Unys. La vrai et l'officielle hein, du coup il était allé dedans aussi, mais visiblement c'était un parcours normal pour terminer tueur à gage hein. Ben quoi ? On fait bien ce qu'on veut, il en était la preuve, alors O'Doherty aussi ? Mouais. Être la fille adoptive d'une cheffe de Mafia disons que c'est pas rien. De quoi l'inquiéter ? Et puis quoi encore ? Comme s'il se fichait réellement d'avoir affaire à eux, le Valentini faisait bien ce qu'il voulait, mais disons que cela lui aurait évité de se poser des questions s'il venait à croiser l'un de ces membres. Du coup ? Il roulait des yeux. Nan c'est pas le genre de nouvelle qu'on aime apprendre de la bouche d'un autre, un peu plus et une bande serait venu le voir pour... Pour lui dire il ne sait pas quoi en fait, mais certainement une histoire d'approcher la fille de la patronne. Qu'est-ce qu'il en saurait lui ? Il fait ce qu'il veut pas son soucis. Mais non pas de pot, la dite fille, c'est celle qui était suspendu à lui après lui avoir dit purement et simplement je t'aime. Alors... Est-ce qu'elle comptait lui envoyer la mafia aux trousses s'il l'avait envoyé chier purement et simplement comme c'était prévu dans son sympathique esprit à l'origine ? Faut avouer qu'une part de lui-même était terriblement curieux de le savoir. Mais en même temps ce serait stupide de faire ça juste par curiosité... Du coup. Tant pis, on s'en passera.
De toute façon Cassidy ne semblait elle-même pas certaine de ce que pourrait penser sa famille de ça. Géniale, très renseignée cette fille. Au pire il aura qu'à l'appeler lui prévenir qu'il avait tué un type qui l'a attaqué quand il rentrait chez lui, ouais il ferait ça. Il ne se gêna pas pour ironiser.
« Oh pas grave, j'aurais qu'à te dire si jamais on essaye de me poignarder quand je rentre chez moi, ça me fera une histoire à te raconter.
Quoi il en faisait un peu trop ? Ben... C'est quand même pas rien comme information. Cela signifiait pour lui avoir affaire malgré lui à une mafia et c'était pas vraiment avec cette idée en tête qu'il... Ben. Qu'il. Avait... Je. Dois le dire vraiment ? Non. Allez tu peux m'épargner ça... Il. Rah. Ok, il lui avait avoué un attachement particulier voilà contente ? Quoi ? Dire qu'il l'aime ? Oh. Tient. Une pelle ! Ahem. Quoi ? N'est-ce pas une façon de détourner l'attention ? Si et une façon très agréable de le faire même je devrais dire. Pour ne pas dire que notre homme avait profité de la situation pour réclamer des excuses et se servir sans trop demander son avis. Ben quoi ? Elle n'allait pas dire non à ça quand même, il était certain qu'elle en mourrait d'envie. De toute façon, c'est ainsi qu'il voyait les choses. Quand bien même elle manquait un peu de répondant la pauvre, certainement la surprise, du moins, il ne s'en était pas plus inquiété que ça, il avait quand même son large sourire fier à la fin le bougre. Content de l'avoir surprise ? Ouais. Content de la mener un peu par le bout du nez ? Un peu aussi ouais. Content d'avoir réussit à l'embrasser comme il se doit allant jusqu'à aller dire bonjour à sa langue avec la sienne ? Ben. Bien sûr. Tu crois quoi ? Ok. Monsieur avait beau avoir trouvé un charme indéniable à la jeune femme qui l'avait poussé à ne pas se montrer plus méchant que ça et à se retrouver à la tirer avec lui parce qu'il voulait garder la jeune femme à ses côtés, mais quand même. Il ne fallait pas pousser le bouchon loin et dire que le Valentini avait une certaine innocence. Faut pas abuser. Il trouvait bien des choses à la jeune femme, mais fallait reconnaître les choses selon lui et elle était bien foutu voilà. Ce n'était certainement pas anodin à l'attirance qu'il ressentait pour elle au contraire. C'était un tout, inutile se de voiler la face. Et autant dire qu'il ne pensait pas tellement que la jeuen femme pourrait se montrer un peu déstabilisé face à tout ça parce qu'elle n'en a jamais fait l'expérience, pas comme si elle n'avait pas le physique pour attirer des hommes hein. Mais raté mon pauvre, c'est con hein.
« Ça t'inquiète de savoir si tu es pardonnée ou pas hein ? Je pourrais te dire non juste pour t'ennuyer c'est trop facile.
Et il ricana. Il était gentil hein, il lui avait dit ça. Et n'avait pas dit non juste pour l'ennuyer. Mais il pouvait au moins pointer du doigt qu'elle était facile à embêter, certainement qu'être amoureuse la rendait plus vulnérable aux réflexions de cet homme que la moyenne allez savoir. Il avait avait bien été vexé en apprenant qu'il ne savait pas des choses importantes sur elle après tout c'est donnant donnant. En tout cas. Maintenant, elle devait être rassurée non ? De toute façon, il l'avait déjà rembarquée pour rentrer chez lui, c'est bien beau de faire le malin en sortant de l'hôpital, mais il c'était prit un couteau dans le bide quand même le con et c'est pas rien quand même, je te jure. Ahem.
« C'est ça surveille moi. J'ai toujours rêvé d'avoir une femme sexy qui me surveille... T'as de l'espoir ma belle.
Et de toute façon, il faisait ce qu'il voulait voilà ! Ou. Si si. Il faisait ce qu'il voulait. D'où pendant un instant il c'était demandé si les yeux humides de Cassidy l'arrêteraient hein ? N'importe quoi pfff... Mais au final. La façon dont il la regarda une fois à la maison, ce sourire en coin, un peu moqueur mais pour une fois... Pas trop. Cette façon de soupiré, comme s'il était résigné, que ok. Il s'avouait vaincu, pour une fois, cette femme arrivait à avoir une importance à ses yeux qui passait au même titre que ses propres envies. C'est dire. Une importance qui le poussait à se dire qu'il ne fallait pas trop l'envoyer sur les roses. Ne pas toujours lui répondre méchamment même si c'est drôle. Parce qu'il pourrait être responsable de ses états-d'âme et qu'il ne voulait pas.
« Pfff. Va donc me remplir l'estomac tient au lieux de dire des bêtises. Doit y avoir des trucs dans le frigo.
Avait-il lâché en allant se poser sur le canapé maintenant qu'il était bien rentré. Ouais, c'est ça, envoie la faire la cuisine pour ne pas perdre la face idiot. Pourtant, il l'avait regardé en coin. Et... Avait finit malgré tout durant le courant de la soirée par la tirer par la taille pour la serrer un instant contre lui. Fatigué par ces dernières journées. Il avait... Apprécié la garder dans ses bras. Il ne disait rien de particulier, rien de bien larmoyant ou romantique, mais il était serein et immobile. Et ça. Ça voulait tout dire. T'es qu'un putain d'idiot amoureux Raffaelo, c'est bête, tu t'es fais avoir ahah.