Messages : 222 Pokédollards : 100 Date d'inscription : 23/10/2015 Age : 30 Je suis (Inrp) : Celibataire et hétéro Je ressemble à : Lapis Lazuli de houseki no kuni Double compte : Kanon & Kiwi & Edwin & Jack
La première chose que tu as envie de dire, c’est que t’étais trop bien là tout de suite. Tu te laisse porter par les vagues, sur le coup tu reste dans tes pensées, cherchant comme un sens à tout ce qui se passer dans ta vie. Il y a plein de chose qui se sont passé dans tes débuts de vie, en vrai chaque fois que tu te mets dans ce mode, tu vois plein de scénario défiler dans ta petite tête, il y a plein de fin alternative… Certes. Même si celle que tu as pour le moment ne te donne pas spécialement envie de revenir en arrière, cette vie te convient. Tout va bien, aucun point noir pour le moment. Ouvrant les yeux pour regarder le ciel bleuté, tu te dis que l’univers est tout de même vaste, il doit y avoir plein de chose à faire en ce moment, plein de chose à découvrir. Mais pour le moment, tu restes statique en te disant que peut être le moment viendra que tu changeras de vie comme de tenue, c’est comme ça qu’est fait la vie n’est-ce pas ?
“Neptuuuuuuune ?!”
C’est alors qu’une voix te sors de ta méditation, te redressant en soupirant, tu regardes alors l’homme qui ose te déranger dans un tel moment, c’est sacré la méditation ! Ton regard blasé et attendant des explications qui se doivent d’être très clair du pourquoi venir déranger la grande Kyogre. Bien que tu voulais croiser les bras, tu ne peux pas vraiment sans couler pitoyablement, donc tu restes droite, la tête levé vers le petit navire de pêche.
“....Vous vous êtes beaucoup éloigné de la rive, on a eu du mal à vous trouver… En fait on a besoin de vous pour ce soir.”
Regardant un peu partout, tu remarques vraiment que tu ne vois plus la rive… Cela doit faire un long moment que t’es partie trop loin dans tes pensée. Okay, il marque UN point pour t’avoir ramener sur “terre”, cette expression est tellement stupide, t’es déjà sur terre, pourquoi dire ça. Bref. Soupirant, tu commences à nager pour aller vers la plage, bien que le pêcheur te demande de monter sur le bateau pour aller plus vite. Après s’être pris une vague dans la figure, tu es monté en soupirant. Trop fière pour dire que c’est une bonne idée certes, mais dans le fond, tu allais te fatiguer à nager, surtout qu’on a besoin de toi. Au moins, le temps du trajet, tu as le droit à de délicieux maquereaux grillé, c’est tellement bon et parfaitement salé. C’est sûr qu’on peut te parler avec ton ventre, tu adores manger les produits de la mer, une vraie petite gourmande.
Te voilà arrivé sur le rivage, posant un pied sur les planche du port d'amarrage, tu t’étires de tout ton long. Avançant tranquillement pour rentrer chez toi en prenant bien sûr tout ton temps, saluant au passage quelque gens qui te salue avec beaucoup d'honneur, faut dire que ton égo il se sent plus depuis que tu vis dans cette ville. Bien que tu ne sois pas totalement fixe, tu as toujours un endroit pour rentrer si tu as le besoin de faire une pause. Même les gens qui t’accueil savent que tu es lunatique, tu peux partir deux jours comme un mois, puis rester trois mois avant de repartir. Parfois, tu te dis qu’il mérite une médaille à toujours supporter tes humeurs, mais tu es comme ça. Te voilà enfin à la maison, affichant toujours ta petite mine hautaine en regardant les habitants, bien que tu sois plus accueillis par les pleure d’un petit être bruyant, tu avances rapidement pour aller vers la cuisine pour voir ce qu’il se prépare de bon. Bien que à peine tu tends la main pour goûter une brochette, que tu te prends une petite tape sur la main de la part de Mikki. Vieille mais encore agile cette femme, grognant un peu, tu détourne le regard en faisant mine de ne pas en vouloir tout compte fait. Tu t’assoies au bar en regardant la femme s’activer au fourneau comme elle peut.
“Au lieu de me regarder m’activer, tu devrais essayer la tenue que la voisine ta fait pour ce soir !”
Tu grognes encore de plus belle, tu n’as pas de temps pour toi ! Comme une ado en pleine crise tu tape un peu des pieds pour aller dans ta chambre. Voyant alors une magnifique robe bleu poser sur le lit avec en compagnie ta peluche de Concombaffe, pourquoi il est sur ton lit celui-là? Le prenant doucement,t tu te mets à le renifler pour remarquer qu’il sent la lessive de tes draps… Certes, il avait besoin d’un petit coup de propre, mais on dirait un étranger la tout de suite pour toi. Enfin, tu le repose sur ta table de nuit pour saisir la robe bien repasser.
Après quelques minutes de luttes, te voilà enfin revêtit de cette tenue magnifique, fixant bien la fleur qui tient la ceinture en voile blanc brillant. Tu aimes bien qu’elle soit asymétrique, cela offre un certain style. Tournant sur toi même, tu souris toute contente, ajustant tes cheveux, tu cherches une idée de coiffure. Bien que tu n’arrives pas du tout à choisir, c’est alors que tu pars agresser une personne énervé de ne pas trouver. La jeune maman n’a pas le temps de te dire que ta robe est magnifique que tu t’assoies les jambes croisé en lui ayant refiler une brosse à cheveux et des pinces. Tu l’as entendus rire avant de commencer à te coiffer. Tu la laisse faire car tu n’as jamais d’idée pour les coiffures,alors tu attends en regardant le marmot jouer dans son parc devant la télé allumé, une série à l’eau de rose de la mère. Bien que défois tu es souvent intrigué par ces truc plein de rebondissement.
“Voilà Neptune.”
Alors que tu es plongé dans le l’intrigue du mec qui fait chanter son amante qui veut le quitter, tu vois un miroir se tendre vers toi pour montrer ta coiffure. De grande mèche devant, une partie de tes cheveux en chignon bien haut, et le reste libre. Bien que Jillian était une ado bien relou, la voilà une bonne maman bien pratique pour toi. Te levant et tournant encore une fois sur toi même, tu es bien contente du résultat. Plus qu’à attendre la bonne heure, bien que cela arrive bien plus vite que tu ne le pense.
Au soleil couchant, tu arrives sur la plage dans la partie des gravier avec un bar de plage et plein de chaise et de table installé. Une petite déco touchante d’été, des stands de jeux et surtout de la musique. Un buffet est installé pour les plus gourmand, un grand sourire sur le visage t’illumine, avançant rapidement vers toute la décoration du buffet, il y a plein de poisson. Une couronne de fleur posé sur ta tête, Aoi te regarde en souriant, avant de regarder l’organisateur prend la parole pour remercier déjà tout le monde d’être venu et avoir mis la main à la pâte, remerciant aussi les touriste et la pub, bref le blabla habituel.
“Un grand merci à Kyogre d’être aussi présent à la cérémonie d’été pour nos dieu!”
Faut dire que c’est une cérémonie dédié rien que pour toi et d’autre mais déjà juste pour toi, ton égo est trop gonflé. La soirée va durer très tard, bien que tu es déjà sur la piste de la danse bougeant dans tous les sens avec les gens que tu connais, un sourire sur le visage et tapant dans les mains puis des pieds sur le plancher pour improviser une piste. La vie est amusante oui, surtout dans ses moments, tu marches en crabe dansant vers le buffet piquant quelque sushi, avant d’être prise en photo par des touristes…. Ce n’est pas ton meilleur profil bon sang ! Boarf, pas grave, autant manger que prendre la pose. Sautillant dans tous les sens, tu regardes tous les stands, plein de petit jeu, des boutiques qui ouvre une éphémère pour montrer les créations mains, faire de la pub comme on peut. Tu es balancé dans tous les sens par ton odorat, regardant un peu partout ne sachant pas du tout quoi faire. Bien que tu te figes d’un coup sentant un aura plutôt pesant, sur le coup tu as cru que Azael est venu, toi qui lui demande tous les ans de venir. Tournant la tête, tu regardes partout un peu perdu… Tu ne connais pas cet aura, ce n’est pas une personne que tu as déjà rencontré. Plus tu approches doucement d’une personne qui semble être cet être étrange qui attire ton attention, son physique ne te donne pas du tout d’indice sur sa race… Mais, tu es sûr que ce n’est pas n’importe qui pour en imposer autant, c’est sûr.
“Nan, j’y crois pas, un autre qui vient me piquer la vedette, t’as sentie le bon plan ou biiiien ?”
Après aucun humain n’a du sentir son aura, sauf les Pokémons, ton sourire vicelard de la fille prête au mauvais coup là tout de suite, faut dire que tu as pris l’habitude d’être une vedette, et voilà comme une fleur un autre “frère” qui vient prendre part à la fête. Et c’est même pas ce stupide Blanc Chromatique qui est venu.
“T’es qui ?quoi? comment ? T’impose un peu trop!”
De la jalousie ? Non, juste de la curiosité pure, tu ne sais qui il est, puis étant dans l’ambiance de la fête, tu es très crémeux et agréable, y aurait longtemps que tu aurais joué des coudes pour voir qui c’était, mais pas aujourd'hui c’est fiesta.
Messages : 72 Pokédollards : 35 Date d'inscription : 31/01/2018 Age : 32 Localisation : Sinnoh. Je suis (Inrp) : Hétérosexuel et... c'est compliqué. Je ressemble à : King Bradley (Fullmetal Alchemist) Double compte : Desmond S. De Beauchesne, Arthur A. "Kane" Makanui
PokéProfil Attaques & Armes: ♦ Hurle-Temps ♦ Pouvoir Antique ♦ Fulmifer ♦ Aéropique Race Pokemon/ Métier: Dialga / Directeur des Collections de la Bibliothèque Nationale de Sinnoh (spécialisé en philosophie, histoire et sciences de l’homme) Team/Dresseur/Equipe: None
Ce matin là avait été particulièrement douloureux pour moi. Non pas que mes réveils étaient des plus agréables, c'était certain mais cela faisait un moment que je n'avais pas eu droit à ces horribles visions qui déchiraient le calme de mes nuits. Aussi, j'avais presque oublié à quels points elles pouvaient être vivaces et terrifiantes. Des flammes, des cris, des morts. Un chaos presque palpable tellement il semblait réel. Et surtout, moi, au milieu de ce charnier, incapable de faire quoique ce soit alors que je voyais le temps se dérouler à grande vitesse, les corps se putréfier peu à peu, se couvrant de vers immondes. Peut être que la suite de ce rêve aurait révélé des champs de fleurs qui poussaient sur ces cadavres. Mais je me réveillais toujours en sursaut bien avant. Mon corps s'était redressé d'un coup, cherchant l'air qui me faisait défaut alors que je prenais peu à peu conscience de mon environnement. Une sueur froide perlait sur ma peau alors que des frissons de panique me parcourait l'échine. Et je mettais un bon quart d'heure à reprendre mes esprits, laissant quelques larmes couler sur mes joues pâles. Je passais encore quelques longues minutes à laisser la pression s'évacuer par ce procédé très humain avant de prendre mon courage à deux mains et de me lever. Mes jambes me portaient à peine et j'étais obligé de m'appuyer contre le mur pour atteindre ma salle de bain afin de me mettre sous le jet d'eau puissant de la douche. Mes mains plaqués sur le mur, le dos voûté et la tête entre les épaules, je regardais fixement l'eau qui tourbillonnait dans le réservoir de la douche. Est-ce que ce que je vivais était bien réel ? Dans quel temporalité ? Je savais que Père m'avait enlevé une grande partie de ma puissance pour que je ne puisse aller et venir et influer sur l'existence des mortels mais... je n'étais pas encore habitué à tout cela. C'était idiot, n'est ce pas ? De se dire qu'après 80 ans dans ce corps, je n'arrivais toujours pas à m'y faire. J'étais toujours le même Dialga dans sa tour temporelle qui se réveille complètement perdu. Oui, peut être qu'ils avaient raison. Peut être que le problème venait de moi..? Ma rencontre avec Rayquaza m'avait décidément bouleversé, c'était certain. Ce n'était pas étonnant que je fasse ce cauchemar juste après ma rencontre avec lui.
Je chassais ces sombres pensées et je sortais, m'essuyant rapidement les cheveux avant de me tourner vers ma glace qui... J'eus un sursaut en voyant mon reflet. Non pas un sursaut de stupeur mais vraiment plus une simple surprise. Car j'ignorais comment mais j'avais repris l'apparence d'un jeune homme d'une vingtaine d'année. J'étais tellement perdu dans mes peurs que je ne l'avais même pas remarqué avant. Techniquement, cette apparence était celle que j'aurai du avoir constamment à cause de ma nature de légendaire. Mais j'avais tellement prit l'habitude de porter l'apparence d'un quarantenaire que j'avais préféré la garder. Décontenancé, je retirai la buée en passant ma main sur la surface réfléchissante avant de m'observer avec attention. Je l'avoue, j'aurai pu reprendre l'apparence pour laquelle on me reconnaissait mais... je ne sais pas. Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas vu ce visage. Je décidais de me prendre au jeu. De toute façon, je n'avais pas grand chose à faire aujourd'hui. Je m'étais déjà chargé la veille de toutes mes inspections à Hoenn et j'avais gardé ce jour là pour me reposer et visiter un peu avant mon retour à Synnoh.
Fraîchement rasé et habillé sobrement d'une chemise blanche, d'un pantalon en jean bleu foncé et de chaussures de villes en cuir brun, j'avais délaissé mon habituel long manteau noir vu la chaleur de l'été qui envahissait la ville et je sortais de mon hôtel. J'y avais laissé mes affaires pour le moment. Le gérant, un Tropius, avait été bien surpris de me voir descendre avec une apparence si jeune alors qu'il m'avait vu entrer avant hier avec l'allure d'un homme mur. Mais je ne cachais plus ma nature de légendaire alors il n'avait pas eu besoin de beaucoup réfléchir pour comprendre qu'il était naturel que le dieu du temps puisse se rajeunir à sa guise. Je ne savais pas trop où aller, marchant dans Atalanopolis sans réel but jusqu'à ce que je distingue une certaine animation prêt des plages. On commençait à installer des stands et autres estrades pour une fête en l'honneur des légendaires ? Intéressant. Mais ça ne serait pas avant quelques heures. D'aucun aurait continué sa route et serait revenu plus tard mais, je n'avais pas besoin de tuer le temps. Ha. Tuer le temps. Autant dire un suicide pour moi. J'avais déjà essayé et ça ne m'avait mené à rien de plus que de la souffrance supplémentaire. Je portais ma main à mon œil, celui qui portait les stigmates de cet événement. Décidément, je n'étais pas tout à fait moi même aujourd'hui. J'avais oublié de mettre mon cache-œil. C'était pour cela que les gens se retournaient de temps à autre ? Ha, tant pis. Je n'avais pas l'envie de retourner à l’hôtel juste pour éviter des regards incisifs.
- Avançons un peu dans le temps... murmurai-je alors que tout autour de moi le monde s'accélérait. Je voyais le soleil qui faisait sa course rapide et les badauds qui construisaient leurs stands jusqu'à ce que tout soit prêt. Je laissais alors le temps reprendre son cours normal et m'avançait pour observer tout ce petit monde. Ils semblaient fort joyeux et fort affairés... et leur joie me ramenait à ma terrible mélancolie. Je m'installais alors à un petit bar qui avait été dressé et demandais un cocktail à son gérant qui s'exécuta juste au moment où le responsable de l'événement s'empressa de remercier les organisateurs et les touristes présents et encouragea à célébrer les divinités présentes aujourd'hui... dont Kyogre ? Je levais un sourcil intrigué, regardant dans la direction vers laquelle l'homme regardait et je vis une jeune femme tout de bleu vêtu, aux cheveux de la même teinte. Ha. L'ironie. Dire qu'hier j'avais croisé son frère désespéré à l'idée de la retrouver. Pauvre Altais. J'aurai pu être tenté de venir à sa rencontre et de lui demander son aide pour mon projet, mais je n'en avais guère l'envie. Cependant, je n'en eu pas besoin surtout parce que c'est elle qui s'empressa de venir me voir. Elle avait du repérer mon aura, il était clair qu'elle ne passait pas inaperçue.
- Nan, j’y crois pas, un autre qui vient me piquer la vedette, t’as sentie le bon plan ou biiiien ? m'apostropha t-elle sans plus de retenue. Je ne lui répondis pas tout de suite, occupé que j'étais à boire mon verre d'une traite avant d'en redemander un autre à mon cher barman. Sans même lui porter un regard, je lui répondais :
- Ma chère Kyogre, si j'avais voulu vous voler la vedette, je me serai déjà manifesté auprès du public plutôt que de m'isoler à boire des cocktails, ne croyez vous pas..? - T’es qui ?quoi? comment ? T’impose un peu trop!
Surpris par son audace et son franc parler, je laissai échapper un léger rire en faisant tourner distraitement le petit parasol qui ornait mon verre à nouveau rempli de ce liquide ambré. Il allait m'en falloir visiblement une bonne dose pour supporter l'insolence de cette charmante créature des profondeurs. Je me tournai alors vers elle, faisant pivoter le tabouret de bar sur lequel j'étais installé, m'accoudant au comptoir d'un air détendu. Cependant, la fatigue devait se lire sur mon visage et nul doute que mon œil étrange allait la surprendre.
- Je me nomme Armitage. Je suis Dialga. Je suis ici pour le travail. Ai-je répondu à toutes vos questions ? Ha, et excusez moi pour mon aura sans doute trop imposante qui a du vous intimider. Ce n'était pas volontaire.
Ma voix se faisait calme mais légèrement taquine, un léger sourire discernable sur mes lèvres alors que je la saluais de mon verre avant de prendre une nouvelle gorgée de ma boisson. Je me retournai ensuite à moitié vers le bar pour faire comprendre que je ne voulais plus lui parler. Je n'avais pas envie de me prendre encore la tête avec un des miens. Je voulais juste qu'on me laisse tranquille pour cette fois.
- Votre frère vous cherche, au fait. Si j'étais vous je ne perdrai pas plus de temps et j'irai le retrouver plutôt que de m'importuner. Rayquaza avait l'air... plutôt attristé par votre absence.
Bella Ciao !
Neptune "Kyogre" Azur
Pokémon • Légendaire
Messages : 222 Pokédollards : 100 Date d'inscription : 23/10/2015 Age : 30 Je suis (Inrp) : Celibataire et hétéro Je ressemble à : Lapis Lazuli de houseki no kuni Double compte : Kanon & Kiwi & Edwin & Jack
On connait tous pendant les soirée ce genre de zone, vous savez la zone qui va tout de suite plombé l’ambiance, le genre de chose qu’on veut tout de suite éviter, mais qui nous attire quand même car on est curieux. Souvent on regrette beaucoup trop car on a le moral trop bas après. Pourtant, tu n’es pas le genre à perdre pied rapidement, faut dire que tu tiens bien devant les gens qui ne tiennent plus. Tes un pilier assez gros pour tenir tout le monde. Chaque fois qu’une personne tombe, t’es là à tendre la main avec ton sourire beaucoup trop hautain. Puis quand t’a ramené l’équilibre, tu le lâches pour voir s’il marche correctement. Est-ce ton côté maternelle qui ressort ? Après tout tu as toujours était protectrice avec ton “enfant”, puis l’océan est aussi peuplé, alors tu les protèges, après tout durant la guerre, c’est vers toi que certain Pokémon eau ont accouru. ALors tu es sûrement un aimant à problème, peut être que tu es trop solide pour ce monde qui veut te faire tomber, mais tu le regards le majeur tendu avec un grand sourire, tu tiendras toujours debout, même morte s’il le faut.
Même le Chaos ne t’a jamais effrayé, tu ne le comprends, mais tu l’apprivoise à ta manière, ce n’est qu’un paumé. Une personne qui essaie de comprendre la vie comme il peut avec des manières bizarre, voir malaisante. Au final, il est comme ça. Même son frère est plutôt drôle, le genre de personne qui s’en fiche totalement de n’avoir ni boulot et ni objectif de vie, il est un peu comme toi dans le fond, tu es là et tu fais ta vie comme tu le danse. Certes, une vie comme cela n’est pas bien facile, il faut avoir des nerf d’acier.
"Ma chère Kyogre, si j'avais voulu vous voler la vedette, je me serai déjà manifesté auprès du public plutôt que de m'isoler à boire des cocktails, ne croyez vous pas..? "
Un point
"Je me nomme Armitage. Je suis Dialga. Je suis ici pour le travail. Ai-je répondu à toutes vos questions ? Ha, et excusez moi pour mon aura sans doute trop imposante qui a du vous intimider. Ce n'était pas volontaire."
Le grand Dialga ici, l’une des plus grandes puissance qui peuple ce monde. Après tout le temps n’a rien de faible, c’est ce qui fait marcher le monde, sans lui le monde il est plus rien… Le temps qui est en train de picoler au premier bar du coin… C’est presque la bouche demi-ouverte et les yeux qui clignent plusieurs fois, croyant avoir mal entendu. Le DIEU du temps est entrain de boire… Te faut un court instant pour bien comprendre la situation en ce moment même, faut dire que c’est censé être un Aîné, pas le petit frère qui se torche dans un coin et qui fait pitié. Les grand on peut être pas du tout supporter le changement ? T’espère que celui de L’espace ce drogue pas… que la vie est pas entrain de chercher un moyen de se suicider. Te voilà en train d’imaginer le pire, pourquoi c’est pas toi la première ?! Toi tu tiens le coup !! Ahem. C’est alors qu’il te tourne le dos à toi? Ton visage dérouté affiche maintenant un visage déconfit, d’où on te tourne le dos, tes yeux se plissent énervé, on ne tourne pas le dos à la déesse de l’eau.
“Votre frère vous cherche, au fait. Si j'étais vous je ne perdrai pas plus de temps et j'irai le retrouver plutôt que de m'importuner. Rayquaza avait l'air... plutôt attristé par votre absence.”
Te revoilà la bouche presque grande ouvert. Ce toupet qu’il a n’empêche, genre même pas un comment ça va ? Même pas un petit truc AIMABLE, après tout tu as pris la peine d’aller le voir et là c’est presque comme un chaton sauvage que tu te fais pousser d’un coup de revers de main. Faut dire que là, c’est presque humiliant, voir trop vexant pour toi, t’a presque envie de lui mettre un pain dans la figure, mais faire une “guerre” c’est pas le moment. C’est la fête n’est-ce pas? Alors, il faut rester calme et d’humeur festive, même si t’as juste envie de lui faire bouffer son verre, avec le verre ENTIER ! Calme soyons calme, c’est la fête, ta fête, soyons détendus. Posant ton royal derrière avec l’air le plus détaché de la situation. T’es toujours comme ça de toute façon.
“Genre je devrais quitter la fête pour aller voir un frère que je peux aller voir quand je veux ? S’il voulait vraiment me trouver, il avait qu’a regarder la télé sur la chaine des match de la ligue. Suis vivante et en pleine forme, tout va bien donc vla !”
Un grand sourire toute fier, tu regarde l’homme qui s’appel Armitage, c’est donc ça son prénom ? Tu te demandes comment lui il l’a trouvé son prénom ? Toi t’a tellement galéré à le trouver, tu t’en souviens encore du nombre de bouquin épluché. Penchant la tête, l’air de vouloir plus qu’attirer l’attention, il te rappel beaucoup cet idiot mort, ton dresseur, quand tout allait mal. Oui, les hommes sont pareil, à vouloir être fort et ne pas montrer la moindre faiblesse… C’est vrai que ce noyer dans un verre c’est plus facile que chercher une solution, peut être qu’il n’y a plus de solution ? Y a toujours une solution ! Enfin, tu n’es pas dans sa vie, tu sais même pas quel problème peut avoir le Temps.. Une panne d’horloge ? Ahem. Sautant de ton siège, passant la main dans tes cheveux, tu te diriges au stand d’en face en sautillant, prenant une boite un peu chaude en levant la main pour un merci.
“Met ça sur ma longue note que je te paierais jamais ”
Faut dire que tu te permets beaucoup de chose dans ta vie, dont ceci, mais étant dans la famille qui fournit beaucoup de poisson, tu te permets avec un grand sourire de prendre ce que tu veux, mais que en nourriture tout de même. Revenant à ton siège avec un grand sourire malicieu, tu ouvre ta boite pour sentir la douce odeur des Takoyaki juste préparé. Prenant un des pics pour les manger, tu souffles dessus pour pouvoir le gober, bien que ce n’est pas vers ta bouche que tu le guide, mais dans celle de l’homme en face de toi, ayant bien tiédie pour pas qu’il ne brûle le palais.
“Mange donc ! Au lieu de te noyer là dedans, si tu veux te noyer c’est juste là bas!” Tu lui en remets une dans la bouche “Maaaaaaange, c’est que du bon ! Ca vient de MON univers et c’est Bio ”
Faut dire que les pêcheurs sont obligé de faire gaffe, le petit dernier à voulu faire autrement, son bateau n’a jamais survécu à ta colère. Affichant un grand sourire satisfaite, tu es donc partie pour être un vrai pot de colle pour cet homme qui n’a rien demandé, peut être car tu le connais “un peu”, vous êtes après tout un peu lié ! Enfin, tu comprends que ce grand gaillard ne veut juste que ce changer les idées… Posant la main sous ton menton comme méditant comment changer les idées d’un homme qui doit en avoir trop...s’amuser ? Manger ? Bo- Non pas boire ! Y a pas mal d’animation de prévus… Mais oui !! Tapant dans ta main toute contente, tu te souviens qu’il y en a une où on a besoin de toi !
“Toi tu vas venir avec moi !”
Tu lui prends le poignet pour le sortir de son bar pour le guider vers la plage avec un grand sourire voyant des gens qui se mettent en maillot et t’accueil avec un grand sourire.Lâchant le pauvre homme qui pensait sûrement à boire et tout oublié, le voilà devant ton enfant illuminé de lanterne sur l’eau solaire, donc BIO et non dangereux pour lui (oui tu es très chiante là dessus) qui montre des gens se baigner et d’autre qui attend avec une planche et une rame. C’est une petite animation tenu par les sauveteur, donc tes collègues.
“Tu vas voir c’est drôle, faut enlever tout ceci déjà !”
Alors que tu te retourne pour tenter de lui enlever la chemise, d’un air un peu sauvage, tu te fait soulever par Aoi qui rit, après tout même si tu en impose, tu es toute de même une demoiselle qui pèse pas lourd, d’un air totalement blasé, tu fixe le jeune homme qui affiche un air amusé.
“Combien de fois on t’a dit de laisser les gens se changer tranquillement Tata Nip’ Va donc mettre ton maillot ! Et pour vous monsieur les cabines sont la bas, on va vous fournir ce qu’il faut ! “
C’est pas vrai, tu n’as jamais fait des agressions, fin, pas encore poursuivi pour le moment. Faut dire que tu es encore en apprentissage même après 80 ans, déjà qu’on arrive toujours pas à t’habiller pour tes méditation.. Alors te faire mettre un maillot après est une grande victoire pour la famille. Te voilà donc dans ta cabine a revêtir ton maillot une pièce, bleu qui couvre ton dos mangé pas une brûlure qui rend ton corps imparfait. Bien sûr, tu en as un pas comme tes collègues, car tu veux le mieux, alors il fait un peu drapé avec des partie foncé un peu transparente, remontant un peu ta poitrine, mais surtout bien agréable, normal tu l’as fait faire sur mesure AVEC des produit Bio… On l’a bien compris tu es très Bio Neptune. Arrivant sur la plage, les cheveux attaché en couette, bon ils ont pris des photo avant de ton autre coupe, donc ça va. Tu cours pour plonger d’un coup dans l’eau… Tu te sens encore mieux dans ton monde. Sortant quelques minutes après la tête hors de l’eau.
“Bon ceux qui sont pas à l’aise sur une planche au début, restez bien assis ! Mettait bien vos bracelet de couleur pour savoir votre niveau !”
Tu secoues les bras avec de grand sourire avant de replonger dans l’eau bougeant alors dans tous les sens, on ne te voit que très peu, te concentrant, tu essaies de puiser dans ta puissance pour alors bouger comme-ci tu dansais sous l’eau. L’eau commence à reculer de la plage qu’il mange, pour revenir un peu plus fort, c’est alors que tu fais des vagues. Assez pour que cela bouge assez. Tu récupères déjà des enfants qui tombent des planches pour les remettre, avec tes collègues bien sûr sous l’eau prêt à agir, leur frottant la tête avant de repartir refaire d’autre vagues. Bien que tu remontes quelques minutes après le temps que toutes les vagues passe, approchant alors Armitage et grimpant sur sa planche pour s’asseoir et l’éclaboussant d’un coup avec un grand sourire.
“Au pire, tes soucis tu les fous sous clef juste pour ce soir Mec !” Tu pose alors ta main en haut de ta poitrine avec un grand sourire “Moi c’est Neptune, la Grande Kyogre !”
Faut dire que tu es très fière de ce que tu es. Tu es de plus encore plus heureuse d’être non loin de ton petit. Bien que ton geste soit tout de même adorable, tu es toujours la pour tendre la main, comme quoi tu montres beaucoup de dents, mais tu es la première à poser un baiser sur le front pour dire “tout va bien”.
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PokéProfil Attaques & Armes: ♦ Hurle-Temps ♦ Pouvoir Antique ♦ Fulmifer ♦ Aéropique Race Pokemon/ Métier: Dialga / Directeur des Collections de la Bibliothèque Nationale de Sinnoh (spécialisé en philosophie, histoire et sciences de l’homme) Team/Dresseur/Equipe: None
M'étant retourné pour siroter mon verre et signifiant ainsi à la jeune femme que je désirai mettre un terme à cette conversation de façon plutôt explicite, je fut plus que stupéfait, et un poil irrité, de la voir rentrer dans mon champ de vision pour se poser sur le tabouret à côté de moi. Je l'ignorai tout de même, ne lui lançant pas un seul regard. Non, je n'étais clairement pas d'humeur aujourd'hui pour supporter le comportement sans gêne de mes frères et soeurs. Mais il semblait que cette écervelée avait une autre idée derrière la tête.
- Genre je devrais quitter la fête pour aller voir un frère que je peux aller voir quand je veux ? S’il voulait vraiment me trouver, il avait qu’a regarder la télé sur la chaine des match de la ligue. Suis vivante et en pleine forme, tout va bien donc vla !
Je ne lui répondit pas afin de ne pas encourager une suite à cette conversation que je souhaitais écourter. Je prenais une nouvelle gorgée d'une breuvage ambrée alors qu'elle disparaissait soudainement. A la bonne heure. Je laissais un long soupir rassuré s'échapper de mes lèvres alors que je demandais au barman de me servir à nouveau. Oui, les légendaires avait en général une bonne descente, surtout parce que l'alcool mettait beaucoup de temps à agir sur notre cerveau. Et dans mon cas, je tenais très bien l'alcool. Peut être même trop bien ? Impossible de noyer mes soucis comme la plupart des mortels. C'était d'un triste et... Sérieusement ?! Kyogre était revenu s'asseoir... et avec de la nourriture en plus. Visiblement, elle avait l'air de vouloir rester là un moment. Bon sang, moi qui croyais en être débarrassé. Il était vrai que je n'étais pas réputé pour être le légendaire le plus sociable de toute façon, j'étais plutôt du genre... territorial alors je n'avais jamais trop apprécié le contact prolongé avec mes pairs. Allait il falloir que je l'insulte pour qu'elle daigne me laisser tranquille ? C'était déterminé à faire cela que je me tournais vers elle, mes yeux disparates s'illuminant d'un éclat de colère.
- Qu'est-ce que tu... commençai-je d'un air irrité mais je fus vite interrompu par la mère des Océans qui me tendait une brochette de Takoyaki directement devant ma bouche. Sur le coup, un air surpris apparu sur mon visage alors que je regardai la brochette, puis la jeune femme, puis la brochette, puis la jeune femme d'un air perplexe. - Mange donc ! Au lieu de te noyer là dedans, si tu veux te noyer c’est juste là bas! me répondit elle en désignant l'océan avant de me l'enfourner littéralement dans la bouche. Avec tout ça, j'avais complètement perdu ma colère qui s'était volatilisé d'une traite alors que je gouttais à ces spécialités. Pas mauvais. En même temps, j'ai toujours été assez gourmand et peu difficile en matière de nourriture, mais je savais quand même reconnaître de la qualité à force d'expériences culinaires.
- Maaaaaaange, c’est que du bon ! Ca vient de MON univers et c’est Bio continua-t-elle en insistant à nouveau pour que j'en mange un autre. Je m'exécutais par politesse et surtout, je dois l'avouer, un peu perdu par ce comportement étonnant. Un comportement qui me rappelait Sélina quand je souffrais de ma dépression et qu'elle essayait de me forcer à reprendre goût à la vie... Je ne pus empêcher un léger sourire d'apparaître au coin de mes lèvres, un sourire ô combien triste, il était vrai. J'avais essayer autant que possible de ne pas penser à ma chère femme pendant cette longue année où j'avais décidé d'embrasser ma véritable nature et de laisser derrière moi cette vie fausse et pleine d'illusions douloureuses. Mais je ne pouvais pas faire abstraction de l'amour que je ressentais pour cette mortelle, et il semblait que la douleur était un peu plus sourde à chaque minutes qui passaient. D'un coup, je réalisais que je n'avais pas dit un seul mot pour la remercier et que je manquais à tous mes devoirs, chose qui, si vous avez bien suivi, n'est pas dans mes habitudes.
- Merci... C'est... C'est très bon.
Mais elle semblait perdue dans ses pensées alors je n'insistai pas plus. Je remarquais par contre que mon cerveau semblait friand de ces petites boulettes finalement alors je me permettais d'en manger quelques autres. Peut être que c'est de la boulimie un peu, va savoir. Mais ça me faisait du bien de manger. Et de toute façon, je n'avais pas trop à craindre de prendre du poids vu la dose d'entrainement physique auquel je m’astreignais tous les jours pour avoir ce corps d'athlète. Même si, tout comme avec l'alcool, j'imagine que les légendaires doivent avoir un organisme qui ne stock pas vraiment tout ce qui est gras. D'un coup, ma sœur se mit à taper dans ses mains avec un air tout excité alors que je l'observai avec un mélange de surprise et d'incompréhension, la pique de ma défunte brochette encore dans ma bouche.
- Toi tu vas venir avec moi ! - Qu'est-ce que..? commençai-je alors qu'elle m'attrapait le poignet fermement et me traînait derrière elle. Je n'eus même pas le temps de payer le barman mais visiblement celui ci n'en porta pas rigueur, visiblement habitué aux lubies de la jeune femme. Jeune femme qui m'avait d'ailleurs fortement surprise de par sa poigne. Elle avait une sacrée force mine de rien, ce qui n'était pas étonnant quand on connaissait sa vraie nature mais tout de même, elle avait un corps si frêle que j'en avait presque oublié que j'avais à faire à un titan. Enfin, elle avait décidé de m'emmener sur la plage, illuminée par les lampions alors que tout le monde, les nageurs et ceux qui se prélassaient, nous regardait avec bienveillance. Je devais l'admettre, j'étais plutôt du genre réservé à l'origine, surtout quand je n'allais pas suffisamment bien pour paraître le plus aimable possible. Je n'aimais pas me montrer quand j'étais au plus mal. Même si on pourrait se demander alors pourquoi j'étais allé dans une fête populaire. Ha, que voulez vous, je n'ai jamais dit que j'étais logique. Aussi, j'évitais soigneusement le regard des gens, mais ce fut encore pire quand Kyogre commença à me... déshabiller. Oui, oui. Mes joues s'empourprèrent violemment alors que j'essaye de sauver ma pauvre chemise de l'acte barbare de la jeune femme en l'agrippant, un homme intervient, la soulevant sans aucune peine.
- Combien de fois on t’a dit de laisser les gens se changer tranquillement Tata Nip’ Va donc mettre ton maillot ! Et pour vous monsieur les cabines sont la bas, on va vous fournir ce qu’il faut !
Je le remerciai d'un simple signe de tête, encore un peu intimidé par la situation. Oui, le dieu du temps intimidé, ça peut vous faire rire mais je ne suis pas infaillible. Ou du moins pas dans ce qui a à faire avec le social. Je vous l'ai dit, j'aime quand c'est moi qui suis acteur de ce qui se passe et quand j'ai le contrôle de la situation. Et là, ce n'était clairement pas moi qui était au volant mais une charmante jeune femme aux cheveux bleus qui semblaient manquer de tact. Les regardant toujours avec une certaine surprise mêlée à une gêne palpable, je fus invité par le jeune homme à me changer dans les cabines. Pourquoi est ce que je ne leur ordonnais pas de me laisser tranquille ? Pourquoi est-ce que je ne tournais pas les talons pour m'en retourner à mon hotel en leur exprimant mon mécontentement face à cette situation ? Je n'en savais rien. C'était comme si mon corps ne m'obéissait plus vraiment. Ou alors inconsciemment je n'avais pas envie de partir. Oui, il était vrai que l'idée de retourner à ma chambre et de rester seul pour le reste de la soirée ne m'enchantait guère. Aussi je me suis dirigé un peu à contre cœur vers les cabines pour me changer alors qu'une demoiselle m'apportait un short de bain à ma taille. Ironiquement, il était bleu foncé avec des lignes plus clairs, rappelant mon apparence d'origine. J'en aurai presque soupiré tellement l'ironie était palpable. Je devais l'avouer, j'eus du mal à sortir de la cabine... J'avais l'impression d'être ridicule. Sans doute m'étais-je un peu trop habitué à la pudeur d'un quarantenaire ou bien est-ce parce que je n'aimais pas mon corps d'humain pourtant très athlétique ? Ou alors parce que je n'étais pas allé à la mer depuis... et bien... je ne me souvenais même plus. Une dizaine d'année sans doute. La dernière fois, Desmond était encore adolescent quand nous étions allé tous ensemble en vacances. Une pointe de regret me transperça l'âme mais je l'écartais vite de mon esprit, et je prenais mon courage à deux mains. J'ignorais ce que Kyogre me réservait mais je me laissai guider. J'avais toujours été assez curieux de toute façon.
A peine était-je sorti, cherchant des yeux la mère des océans, que cette dernière plongeait tête la première dans la mer. Un sourire attendrit apparu sur mes lèvres alors que je l'observais dans son univers. Elle avait tellement de chance et elle ne se rendait pas compte à quel point. Ma Tour Temporelle, ma dimension me manquait affreusement. Mes yeux se perdirent un instant dans le vague avant que je ne sois interpellé par un des moniteurs qui me mit une planche dans les mains et commença à m'expliquer comment m'en servir rapidement. On voyait qu'ils avaient l'habitude de la légendaire pour venir m'apostropher ainsi sans crainte. La plupart des gens des autres régions étaient plus timides en général. D'ailleurs, je remarquai quelques jeunes filles qui pouffaient de rire en me regardant. J'espérai que ce n'était pas à cause de mon diamant bleu incrusté dans ma poitrine... Je l'écoutais, bon élève et analysais chacune de ses paroles pour les retenir. Enfin, de toute façon, si je n'y arrivai pas, je pouvais toujours remonter le temps et réessayer autant de fois qu'il le faudrait, n'est ce pas ? Oui, j'aurai pu mais je n'aimais pas abuser de mon pouvoir, cela avait tendance à avoir une mauvaise influence sur ma psyché. Les vagues ne me faisaient pas vraiment peur mais je sentais que je n'étais pas dans mon élément dans l'eau. La plupart du temps quand j'allais à la mer je restai sur la plage pour lire ou alors je faisais du jogging le long de la plage. Mais je n'aimais pas vraiment me baigner. Enfin, je faisais de mon mieux, utilisant Pouvoir Antique pour m'alléger et me permettre ainsi un meilleur équilibre. Vous pensez que c'est de la triche..? Peut être, mais pour moi j'utilise les talents de mon être, tout comme vous utilisez vos jambes pour marcher. C'est la même chose. Je manquais de tomber plusieurs fois et cela commença vite à m'agacer de ne pas arriver à comprendre comment ce truc fonctionnait. Après de longues minutes de lutte, je m’asseyait sur ma planche, un peu las, et préférant observer les gens autour de moi. C'est alors que Kyogre apparu, grimpant sur ma planche et m'aspergeant au passage avec une innocence enfantine. Je la laissai faire, un peu dubitatif alors qu'elle me disait :
- Au pire, tes soucis tu les fous sous clef juste pour ce soir Mec ! ... Moi c’est Neptune, la Grande Kyogre !
Un sourire poli se dessina sur mes lèvres mais il restait assez triste alors que je la regardai. Cela m'étonnait qu'elle semble si frêle et si jeune quand on savait ses origines.
- Ce n'est pas si simple, Neptune. commençai je en me réinstallant sur ma planche correctement et observant le ciel crépusculaire qui commençait à laisser voir quelques étoiles. Tu as l'air de bien vivre ta vie sous cette apparence... Ce n'est pas mon cas.
Soupirant un instant, je tournai à nouveau mes yeux disparates vers elle, les plongeant dans les siens mais sans aucune agressivité.
- Tu as la possibilité de retrouver ton environnement chaque jour qu'Arceus fait. Cette chance, je n'y ai pas droit. J'ai été banni de ma dimension au moment où notre père a décidé du Grand Changement. Je n'y ai plus accès depuis 80 ans, je ne peux qu'entrapercevoir des bribes, des miettes. Comme des souvenirs qui s'effacent peu à peu...
Je baisse les yeux, songeur avant d'observer les enfants qui chahutent un peu plus loin. Ils commençaient à faire des équipes et à s'amuser à se renverser les uns les autres du bout de leurs rames. Innocents qui ne savaient rien de la vie.
- J'ai essayé, tu sais. Je n'arrive pas à vivre au présent. Je me languis du passé et je crains l'avenir. C'est un casse tête qui n'a pas de fin pour moi. Vous avez tous beau dire "n'y pense pas", ça ne fait pas partir les mauvaises pensées... Si seulement... Arceus m'avait juste répondu peut être que j'aurai pu... mais...
Je me tus alors, me réfugiant dans le mutisme alors que mes doigts se resserraient en un poing, mes phalanges blanchissant sur le coup. Non, elle allait faire comme les autres. Elle ne comprendrai pas. Personne ne me comprenais jamais.
Bella Ciao !
Neptune "Kyogre" Azur
Pokémon • Légendaire
Messages : 222 Pokédollards : 100 Date d'inscription : 23/10/2015 Age : 30 Je suis (Inrp) : Celibataire et hétéro Je ressemble à : Lapis Lazuli de houseki no kuni Double compte : Kanon & Kiwi & Edwin & Jack
Tu n’as jamais vraiment pris le temps de connaitres tes pairs, faut dire que tu ne connais que quelques un croisé au hasard. Enfin, faut dire que tu as toute ta vie d'immortelle pour prendre les découvrir, donc tu ne te presse pas du tout. Tu croques la vie à pleine dent en regardant les gens passer dans ton champs de vision, vivant la vie comme ils peuvent avant de tomber. Oui, c’est une vision plutôt triste, mais tu fais avec, peut être que c’est ta punition ? Peut être que c’est pour faire comprendre l’importance de la vie que tu dois protéger ? En vrai, tu ne sais pas, tu n’as encore une fois pas pris le temps de chercher de réponse au pourquoi.
Après tout, y'a beaucoup de pourquoi et de et si, qui te hante. Mais, tu les ignores car tu ne peux pas remonter le temps ou même peut être que c’est comme ça, une fatalité qui fait que tu dois porter le poids de ton ignorance et tes bêtises. Alors tu acceptes peut être facilement le changement, faut dire que le monde change tellement vite…. Tu revois encore les petits êtres prier et dire merci, avant de te la polluer en bande d’ingrat. Le monde change, il évolue, il est comme ça, alors de fait étant la mère de l’eau, tu prends la forme de ce monde comme l’eau dans une bouteille.
"Ce n'est pas si simple, Neptune. Tu as l'air de bien vivre ta vie sous cette apparence... Ce n'est pas mon cas."
Tu cligne rapidement des yeux, l’eau qui touche ses jambes transmet une nostalgie dure. Une qui fait mal, qui emplit l’eau de tristesse, les ondes ne t’ont jamais trompé. En vrai, les ondes sont les pulsion du corps, elles transmettent une onde différente selon les émotions. Penchant la tête, tu regardes cet être emplis de nostalgie. Dans ton champs de vision rempli de sourire, tu voyais cet être à l’air si triste, que même les étoiles n’arrive pas à réconforter. Vos regards se sont croisé, sans agressivité l’un envers l’autre, cherchant peut être l’un et l’autre une accroche ou juste la sincérité l’un envers l’autre.
"Tu as la possibilité de retrouver ton environnement chaque jour qu'Arceus fait. Cette chance, je n'y ai pas droit. J'ai été banni de ma dimension au moment où notre père a décidé du Grand Changement. Je n'y ai plus accès depuis 80 ans, je ne peux qu'entrapercevoir des bribes, des miettes. Comme des souvenirs qui s'effacent peu à peu..."
Une autre dimension ? C’est vrai que beaucoup était dans une autre monde, contrairement à toi. Tu ne peux pas imaginer le vide que cela doit lui faire, bien que certain ce sont bien remis, genre Azael qui semble bien être remit de ce manque, faut dire que pour lui c’est plus une liberté. On ne peut pas te retirer ton monde, car sans l’eau la terre meurt, donc oui, tu ne peux pas comprendre cela. Alors dans ton champs de vision, une personne encore plus sombre apparaît, une personne perdu qui ne sait plus où aller.
"J'ai essayé, tu sais. Je n'arrive pas à vivre au présent. Je me languis du passé et je crains l'avenir. C'est un casse tête qui n'a pas de fin pour moi. Vous avez tous beau dire "n'y pense pas", ça ne fait pas partir les mauvaises pensées... Si seulement... Arceus m'avait juste répondu peut être que j'aurai pu... mais…"
Tu l’as vu n’est-ce pas. Cet être baissant la tête, qui garde un sourire et qui pleure sa faiblesse. Cette sensation désagréable de nostalgie, cette échec. “Si seulement tu l’avais suivis”. Le mot “si” tu le hais, tu sais très bien que c’est pas avec ce mot qu’on avance, non, on coule, on regarde le monde avancer alors que le “Si” t’enchaine. Oui, tu as connu la colère de ses chaînes empoisonné, polluant ton être et voulant te couler. Pourtant, tu as réussi à comprendre que le “Si” est un poison. Soupirant longuement tu tournes la tête vers l’horizon qu’éclaire la lune.
“Mais, on ne fait pas le monde avec des “Si”. T’sais, on a beau être légendaire, on peut pas tout contrôler. Regarde je suis là devant toi en ce moment même, mais qui me dit que plus loin, on est entrain de ruiner la flore de mon enfant ailleurs. Qui me dit que là, une personne est entrain de prier de le sauver de la noyade. Pourtant, je suis là entrain de te parler pendant tout ça.”
Tu hausses les épaules avec un petit pouffement de rire. Avant de le regarder avec ton sourire le plus narquois du monde, comme cherchant une certaine flamme dans son regard.
“Ta dimension n’est plus, c’est comme ça. Tu ne pourras pas la revoir.” Tu te mets debout sur la planche en pointant l’horizon comme une conquérante. “Pourtant le monde est putain de vaste, et tu as aidé à le construire non ? Alors c’est aussi Ta dimension ! Sans toi ce monde il serait… même pas là ? J’en sais rien ! Alors pourquoi te prendre la tête comme ça ? Regarde autour de toi dans le présent !” Tu te retourne en te penchant vers lui avec un grand sourire. “Je vais pas apprendre tout de même au temps comment fonctionne les cycles, naaaaaan?”
En riant comme une gamine fier de sa blague, tu aurais pu lui donner une pichenette alors que tu remarques une lueur bizarre en bas de son visage. Ton sourire disparaît pour afficher un tête sceptique. Clignant plusieurs fois des yeux avant de frotter ton menton comme essayant de comprendre un détail qui n’est pas du tout naturelle pour toi.
“Attend c’est quoi ce truc ?”
Pointant alors le cristal, avant de le poker. En moins de quelques secondes, les belles paroles que tu viens de lancer vient d’être soufflé par ce détail que tu ne remarques… QUE maintenant. C’est un truc de légendaire ça ? Penchant la tête pour le regarder sous toute les coutures, tu tires alors ton maillot en grand pour regarder si tu n’as pas le même truc… Qui sait peut être que ça pousse comme ça en présence d’autre ?
“Mais, j’ai pas ça moi ?! Mais. Mais d’où ?! Attend, tu veux dire que ton oeil c’est pas une lentille pour le style? Mais… T’es le genre à poser tes coui- -Nip y a un gamin qui remonte pas !!”
Roulant des yeux tu te laisses glisser de la planche pour plonger et aller voir ce qu’il se passe la-dessous. Tu remarques alors un gosse qui est entrain de lutter pour essayer de remonter, il a dû boire la tasse en faisant l’idiot avec ses camarades. Le prenant et remontant assez vite, tu le poses sur le bateau des sauveteurs, entendant des moqueries sur le petit qui ne sait pas nager, tu leur crache un jet d’eau dessus pour les faires tomber et te moquant d’eux hautainement avant de revenir vers Armitage tranquillement.
“Donc, je disais. C’est quoi ce truc ? C’est un peu gros pour un piercing… Ou alors c’est un délire perso, mais vraiment perso. Enfin, ça sert de miroir de poche pour les autres.”
T’essaie de te recoiffer en te regardant dedans, bien que tu te vois pas super bien.
“Faut que tu l’astique, on se voit pas super bien !....Ah oui fait nuit, j’ai rien dit.”
Faut dire que la lune ne fait pas bonne lumière. Mais tu ne comprends pas comment ça peut tenir, peut être à la fameuse colle ni clou ni vis ? Ou peut être un truc que seul lui à ? Drôle de style ? Peut être qu’il y peut rien et tu te moques de ce truc en plein milieu de sa poitrine. Pourtant, tu te souviens bien que les corps “mâle” n’ont pas de joyeux incruster comme ça… Ou alors on t’a menti depuis trop longtemps.
Messages : 72 Pokédollards : 35 Date d'inscription : 31/01/2018 Age : 32 Localisation : Sinnoh. Je suis (Inrp) : Hétérosexuel et... c'est compliqué. Je ressemble à : King Bradley (Fullmetal Alchemist) Double compte : Desmond S. De Beauchesne, Arthur A. "Kane" Makanui
PokéProfil Attaques & Armes: ♦ Hurle-Temps ♦ Pouvoir Antique ♦ Fulmifer ♦ Aéropique Race Pokemon/ Métier: Dialga / Directeur des Collections de la Bibliothèque Nationale de Sinnoh (spécialisé en philosophie, histoire et sciences de l’homme) Team/Dresseur/Equipe: None
Quand je plongeais mon regard dans l'eau sous mes pieds, je ne voyais qu'une immensité sombre, d'insondables ténèbres prêtes à m'engloutir si je quittais ma planche. Et j'allais sombrer, encore et encore... Mais au final, ce n'était pas qu'à l'instant. Cette sensation je l'avais en moi chaque jour de ma pitoyable existence de Légendaire. Chaque jour, je guettais cette obscurité qui m'avait déjà englouti une fois, cette obscurité qu'on appelait dans le jargon médical "dépression". Les gens autour de moi riaient, vivaient et moi je n'étais que l'ombre de l'immense statue qu'on pouvait voir à Vestigion et qui se dressait fièrement face aux mortels. Les gens autour de moi voyait le magnifique ciel étoilé, la pâle lune et les lampions chaleureux qui se reflétaient dans l'eau mouvante, moi j'étais aveuglé par ma propre noirceur. Et même la présence d'une non mortelle à mes côtés, même ses paroles ne m'atteignaient pas.
Bien sûr qu'elle ne pouvait comprendre. Comme tous les autres, elle me disait qu'il ne fallait pas y songer, qu'il fallait laisser faire les choses et profiter de la vie. Je ne pus empêcher mes poings de se serrer légèrement sur le tissu de mon bermuda. Elle compare mon rôle au sien ? L'océan est vaste et rempli d'être vivant, mais comparé au temps, ce n'est qu'un petit fragment de l'univers. Elle cherche mon regard avec un sourire mais je fixe un point au milieu de l'eau noire, un point que seul moi puisse voir.
- Ta dimension n’est plus, c’est comme ça. Tu ne pourras pas la revoir.
J'ai beau être d'acier, ces mots me transpercent le cœur tel une lame aiguisée. Mon œil tique une fraction de seconde, imperceptible dans l'obscurité de la nuit. J'entends ces paroles et en même temps, elle passe à côté. Il faut dire que mon côté têtu n'aide pas vraiment. Cette Terre serait aussi ma dimension ? C'est trop simpliste, trop facile. La notion même de temps est difficile à comprendre pour les êtres vivants et moi même j'avais du mal à l'expliquer quand on m'en demandait le fonctionnement. Elle était trop terre à terre. L'océan est quelque chose de tangible. Moi, je vois des gens qui sont morts, d'autres qui ne sont pas encore nés. Je ne vois que des fantômes du passé et du futur qui passent sous mon regard. D'habitude, j'aurai tenté d'expliquer mon point de vue, de lui faire comprendre. Mais ce soir là, j'étais épuisé et je n'étais pas d'humeur à débattre. Je me contentais donc de garder le silence et de rester immobile.
- Tout ce que je peux te dire c'est que j'ai déjà essayé de vivre comme tu le prône et que j'ai échoué. répondis-je d'une voix serrée par l'émotion. A quoi sert de vivre si je ne puis remplir le devoir que l'on m'a donné à la naissance. C'est aberrant, toi même tu peux le comprendre ça, non ?
Mes sourcils se froncent, mués par la colère que je ressens pour mon paternel qui m'a gâché mon existence et me fait vivre dans cette torture continue, ce cycle infâme que les miens trouvent être une bénédiction. Mais mes sombres pensées sont interrompus par une remarque de Kyogre.
- Attend c’est quoi ce truc ?
Intrigué par sa remarque, je relève mes yeux pour la voir pointer mon diamant de son doigt avant de le poker comme si elle découvrait quelque chose qu'elle n'avait pas vu auparavant. Attendez..? Elle ne l'avait pas remarqué avant ?! Un de mes sourcils se lève avec surprise.
- Mais, j’ai pas ça moi ?! Mais. Mais d’où ?! Attend, tu veux dire que ton oeil c’est pas une lentille pour le style? Mais… T’es le genre à poser tes coui- - Nip y a un gamin qui remonte pas !!
Interrompu dans notre discussion, la maîtresse des océans disparaît dans l'eau d'un bond, en levant les yeux au ciel au passage d'un air las. Peut être aura-t-elle besoin d'aide ? Mais non, visiblement elle se débrouille très bien. Alors je ne bouge pas et je l'observe au loin aider un petit à remonter sur le bateau des sauveteurs avant de revenir près de moi. Et de continuer son interrogatoire. Gêné, je passe une main sur mes cheveux courts en faisant un demi-sourire qui se voulait naturel mais qui était loin du compte.
- C'est mon diamant. Rien d'extraordinaire... juste... un petit détail qui est resté de ma forme originelle. J'ignore pourquoi. J'imagine que Palkia doit avoir la même chose... A vrai dire, je n'en sais rien... balbutiai-je pour toute explication. En tout cas, sa lumière est un reflet de mon état mental. Quand j'étais au bord de la mort, il n'éclairait presque plus et s'était fissuré même...
Je ne réalise que trop tard ma référence à ma tentative de suicide et je soupire. De toute façon, curieuse comme elle était, elle aurait posé la question un moment ou un autre. En tout cas, mieux valait ne pas évoquer ma primo-résurgence et la couleur orangée que prenait mon diamant dans ces moments là. Surtout en sachant que Kyogre était elle aussi capable d'avoir une forme antique mais uniquement au contact d'une pierre spéciale.
- Bref, ce n'est pas vraiment intéressant de toute façon... tentai-je pour noyer le poisson, littéralement. J'espérai sincèrement qu'elle ne reviendrai pas sur le sujet et tentait de changer de conversation et... de fuir surtout. Je devrais rentrer, il commence à se faire tard et j'ai un bateau à prendre demain matin.
Bella Ciao !
Neptune "Kyogre" Azur
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Sujet: Re: Bella Ciao ! [Pv Armitage] Mar 15 Oct - 21:39
Bella Ciao !
Eat, dance, fun repeat feat Armitage
En y repensant, tu n’aurais peut être jamais pu tenir pareil conversation aussi légère avec Dialga. Tu passais constamment ton temps sous l’eau, dormant en attendant que le monde est besoin de toi. Le peu de fois que tes yeux se sont ouvert, tu ne voyais que le mal qui t’entourais. Les supplications des pokémons te demandant justice, les humains qui te demande leur justice. Tu es la déesse de l’océan, celle qui apporte vie et prospérité. Tu as toujours cru être juste, même quand tu te déchaines au point de détruire la création d’autrui, c’est que cela était grandement mérité. Bien qu’avec le temps, tu as appris connaitres les peuples qui t’entoure. Ils sont tous un peu différent, bien que malgré le temps que tu as passé sur cette terre tu ne connais pas encore tout. Ils ont tellement de manière et de façon d’être, c’est la curiosité qui te calme, tu reste constamment en questionnement, pourquoi ils font cela ? pourquoi sont-ils comme ça
Certes maintenant tu n’es que spectatrice, bien que tu ressens encore l’appel de l’océan, tu entends les appels de détresse de ton enfant qui constamment souffre de la pollution. Certes, tu aimerais savoir à quoi tu sers, si ce n’est que manger des anchois le matin et glander dans l’eau en regardant la nature lutter comme elle peut. De toute façon, tu penses que Arceus sait ce qu’il fait… Enfin, tu espères. Alors tu vis au jour le jours, en regardant le monde tourner et laisser ta curiosité parler.
“C'est mon diamant. Rien d'extraordinaire... juste... un petit détail qui est resté de ma forme originelle. J'ignore pourquoi. J'imagine que Palkia doit avoir la même chose... A vrai dire, je n'en sais rien... balbutiai-je pour toute explication. En tout cas, sa lumière est un reflet de mon état mental. Quand j'étais au bord de la mort, il n'éclairait presque plus et s'était fissuré même... “
Tu en es presque jalouse de ne pas avoir du tout ce genre d’accoutrement, c’est que les grand qui ont ça ? C’est pas juste ?! Faut peut être que tu fasses une lettre recommandé au seigneur ? Enfin, faut-il encore qu’il est une boite postal pour envoyer une quelquonc lettre et encore faudrait-il encore plus que tu saches faire une lettre… Trop d’étape à devoir validé pour pouvoir faire quoique ce soit pour déposer une plainte pareil. Les yeux rivés sur le bijoux un peu sombre, il est le reflet de son état d’esprit ? Bord de la mort ? Tu lèves les yeux d’un coup pour comprendre un certain point...Dérangeant ? On a faillit le tuer ? Il est vrai que les légendaires, enfin les dieux semble clairement un peu perdu dans ce monde bien dangereux, il faut croire que c’est trop intense pour eux ? Penchant un peu la tête, tu ne connais pas l’état de détresse que peut avoir une personne comme toi ? Un coup de tsunamis et tout va bien, tout se résout par l’action chez toi. Tout d’un coup tu réalise alors qu’il y a possibilité de mourir ? Cela te semble si...étrange ? Comment est-ce que cela peut arriver ? Est-ce que c’est définitif ? Est-ce que vous pouvez être effacer? Sur le coup cela te fait un peu travailler la tête, comment on peut mourir en étant si puissant?
Est-ce juste une question de mental ?
Il est vrai que ceux que tu as rencontrés ne semble pas si fragile au point de tomber. Certes le monde peut être un peu tordu ou mordant, mais tu ne te vois pas ployer le genoux devant eux, tu es une Reine avec une Majuscule !
"Bref, ce n'est pas vraiment intéressant de toute façon... Je devrais rentrer, il commence à se faire tard et j'ai un bateau à prendre demain matin."
Tes yeux pleins de curiosité viennent d’un coup se fermé de blasement, pas du tout intéressant ? Ton lac que c’est pas intéressant, penses-tu. Un sourire narquois, l’air le plus agacé qui soit, tu lui appuie sur l’épaule.
“Oh bah non, j’apprends qu’on peut crever en deux deux ? Genre je peux te noyer ? Tu viens juste de bousculer toute ma théorie que je peux défoncé le monde si je veux !” tu rebaisse les yeux pour regarder le joyaux” Donc là ça veut dire que tu passes une soirée pourris ?! Tu t’embêtes avec moi ?! Faut le dire monsieur rabat-joie !”
Tu croises les bras l’air de bouder, avant de te laisser retomber dans l’eau pour pousser cette fameuse en faisant des bulles pour exprimer la difficulté à le pousser, il fait bien son poids le bougre ! Mais avec le courant tu peux le pousser sans peine vers la plage.
“Tu dois aller où ? Tu as un chez toi ? Laisse moi deviner….” Tu prends vraiment un air sérieux dans ta réflexion. “Le temps ça peut faire quoi de son temps ? T’es dans la paperasse ?! T’sais le genre appeler tout le temps les gens pour leur dire qu’ils sont en retard !”
Et le pire dans tout cela, c’est que tu es parfaitement sérieuse, après tout pour le moment tu as croisé des comme toi dans des boulots qui leur sied parfaitement. Azael est avec les mort, faut dire qu’il est tellement mortel comme gars… Tu le note dans un coin de ta tête après tout c’est une blague qui va le faire mourir de rire. Bon dieu Neptune cela suffit. Affichant un grand sourire tu essors tes cheveux qui pèse leur poids quand ils sont gonflé d’eau.
“C’est dommage que tu dois partir d’ici, y a plein de truc cool ! Comme la pêche aux anchois ! Ou mieux la pêche à la sardine, puis y a aussi le resto de poisson… J’en bave déjà. Puis y a aussi les fonds marins à voir en plein jours, bref on s’amuse souvent!”
Une vraie guide touristique, bien que tu ne connais que les endroits où la nourriture, enfin le poisson, est bon.