Messages : 966 Pokédollards : 120 Date d'inscription : 21/06/2015 Age : 30 Je suis (Inrp) : Chut faut pas lui dire qu'il est amoureux. Je ressemble à : Kamui Gakupo de Vocaloid Double compte : Reshiram, Ayden, Leo, Yuuna et Azael
Sujet: Re: On ne choisit pas sa famille... Quoi que si pour le coup /sbaf/ [Pv Raffy] Mer 1 Aoû - 17:14
Ah la famille
Cassidy
Raffaelo
Raffaelo n'a rien d'un prince charmant. Absolument rien. C'est qu'un sale type. En même temps, même si ce dernier assume parfaitement être un parfait égoïste qui ne pense qu'à sa tronche, il n 'est pas bien difficile de comprendre pourquoi cela ne s'est assurément pas arrangé vu l'endroit d'où il venait. Mais cela n'excuse pas tout. Et bien des personnes ne le supportent pas pour son caractère à deux sous. Kushinada ici présente le trouvait bien assez insupportable par exemple. L'ironie étant qu'au final c'est parce qu'il lui ressemble... Eh ouais. Alors quoi ? Personne ne peut l'apprécier ? Eh... Si on a une touche de masochisme mêlé avec une tolérance plutôt élevé à ce genre de comportement, pourquoi pas. Il doit bien exister quelques personnes dans ce vaste monde nan ? Cherchez pas plus loin, elle est devant le Valentini, c'est une jeune femme répondant au nom de Cassidy, et elle est folle amoureuse de ce bel homme. Ben oui, autant l'avouer, s'il est une tête de con, c'est un bel homme, on ne peut pas se le cacher, un peu entacher par son caractère, mais cela ne semblait pas la déranger plus que ça. Au contraire, la demoiselle trouvait le moyen de l'excuser généralement, et même de le trouver.. pas si terrible que ça. De quoi le faire hausser les sourcils. C'était peut-être trop dur à reconnaître qu'il n'était pas si terrible avec elle. S'il ne perdait pas de ses piques même avec elle, il faut l'avouer, ils sont quelques peu émoussés avec la jeune femme. Inconsciemment. Parce qu'au fond, le Valentini se disait p'tête que ça le ferait chier si elle partait parce qu'elle le trouvait... Trop... Trop tout ce que tu veux. Ennuyant. Méchant. Embêtant. Con. Trop con. Voilà, je crois que c'est le bon mot. Qu'on l'associe à une tête à claque à éviter ou snoober, il s'en fiche, il sait très bien en faire de même. Mais Cassidy... Elle n'avait pas à l'ignorer. Elle n'avait pas à fuir. Et s'il serait capable de vous dire : nan nan je change pas. Il changeait un peu avec elle. Et le baiser qu'il lui avait offert en guise de réconfort était d'une douceur qu'on aurait alors pas réellement soupçonner de sa part. Il était bien là. Même s'il y avait cette femme là pour essayer de lui retirer la demoiselle des bras, il s'en fichait. Et savoir qu'elle allait mieux lui avait redonner alors son sourire acéré.
« Pff. Comme si elle allait m'effrayer, elle me fait pas peur ta mère.
On pourrait se dire qu'il devrait. Cette femme du genre dangereuse et à avoir le plein pouvoir ici. Mais comme si cela l'arrêtait. De toute façon, la présence de Cassidy en réalité lui offrait l’immunité diplomatique. Certain que malgré ses airs de femmes griffus, elle ne ferait rien qui blesserait sa fille.
Et loin de perdre le nord, le jeune homme s'assurait d'une certaine... Hm... Récompense une fois qu'ils seraient rentrés. Visiblement. Il n'aimait pas réellement l'idée de rester avec un râteau entre les mains. Cassidy se devait d'être sienne, et il comptait bien l'appliquer jusqu'au bout. Autant dire qu'il était hors de question pour son honneur d'homme macho que Kushinada apprenne cette affaire. L'air satisfait devant cette réponse qui annonçait quelque chose de positif, agréable et surtout... Qu'elle était prête. Eheh. Le jeune homme eu un sourire en coin.
« Je préfère ne pas être sage avec toi si tu n'y vois pas d’inconvénient.
Lui lâcha-t-il l'air de rien en l'emmenant à nouveau en compagnie de sa mère, la laissant avec cette seule phrase pour cogiter dessus et bien garder cette ravissante couleur un peu plus longtemps. De quoi faire tiquer sa mère qui semblait être désespérer devant cette attitude de jeune amoureuse transit. Raffaelo sourit en coin, et s'installe à la place indiqué l'air satisfait. Défiant de son regard de p'tit con arrogant Kushinada du coin de l'oeil, le jeune homme eut cependant la décence de garder le silence devant elle, et d'ailleurs elle même ne lui vint pas immédiatement chercher des piques. C'est dire. Peut-être pour que c'est pour cela que Cassidy se sentit plus à l'aise et entreprit de proposer des plats à chacun. Du genre à couvert un peu trop ceux qu'elle aime hein ? Raffy ne se montra pas particulièrement gêné puisqu'il se mit à jauger ce qu'elle lui avait donné pour savoir s'il allait aimer ou non avant de jauger l'assiette d'O'Doherty qui.. était resté vide. Il soupire en attrapant ce qui se trouvait devant lui, ignorant ce qu'elle aimait manger réellement pou lui mettre dans l'assiett.
« Tu manges aussi.
… Raffaelo s'arrêta en voyant le nombre de ravioli bien plus grand que ce qu'il avait prit dans son assiette. Et une paire de main supplémentaire. Il relève le regard vers Kushinada. Et... Je suppose que l'échange de regard était à mourir de rire vu que Cassidy explosa de rire, le poussant à ramener ses mains contre lui l'air quelque peu.. boudeur.
« Hmph. J'attendais pas ton autorisation.
… Ouais tiens mangeons plutôt. Fixant son assiette l'air boudeur, il tapota le dos de la jeune femme qui rigolait et.. sur le fond elle avait de quoi rire.
« Mange au lieu de rire tiens !
Attrapant un ravioli avec sa fourchette il lui tend, affichant son air mi boudeur mi.. adorable malgré lui. Pour la lui mettre devant les lèvres. Une fois ceci fait, il se concentra sur son propre plat pour apprécier ces fameux poulet épicé. Il faut le reconnaître. Les personnes en charge de la cuisine ici sont plutôt bon faut l'avouer, cela faisait longtemps que le Valentini n'avait pas mangé quelque chose préparé par d'autres. L'air heureux de ce qu'il mangeait, le plat se termina bien rapidement, et se servit une nouvelle assiette avec visiblement du plaisir, oubliant presque la présence qu'il trouvait jusqu'à tout à l'heure désagréable de Kushinada. Ouais... Il suppose que ça passait.
Mais comme s'il était impossible pour eux d'avoir un repas qui s'approchait de la normalité même pour les gens à l'extérieur, un homme entra alors de façon précipité dans la pièce, l'air essoufflé. Et jaugea le Valentini du regard. Sous l'approbation de Kushinada il parla.
« Kushinada-sama ! Navré de vous déranger dans votre repas familial. Mais ils sont là. Ils ont eut l'homme que vous aviez envoyé pour vous débarrasser d'eux. Vous devez vous mettre à l'abri le temps que nous réglions leur compte.
Oh des histoires de guerre entre.. hm.. Mafia et.. gang ? Ouais.. Quelque chose de ce style. Jetant un regarde à la jeune femme à ses côté, il effleura légèrement son bras du bout des doigts, avant d'attraper son poignet.
« Hm. Besoin d'aide Kushinada ?
Il sortit alors de sous sa vestes le pistolet que la jeune femme lui avait demandé au début de laisser chez eux. Et le posa alors sur la table entre lui et Cassidy, l'air plutôt fier. De toute façon il avait l'air plutôt motivé à aller voir ça de lui-même. Mais... Que faisait généralement Cassidy dans ce genre de situation ? Cela ne devait pas être la première fois pour elle ce genre de situation.
« Tu m'étonnes que t'ai appris à me supporter ma belle. Tu restes à l'abri ?
Je sais pas.. Elle ne semblait pas à même de se battre non ? A moins qu'elle ait des ressources cachés. Mais elle allait le laisser partir au combat fièrement non ? Comment ça non elle comptait pas le lâcher ? Au moins l'ambiance était devenu plus légère dans cette maison. Peut-être que Raffy pourrait arriver à s'entendre avec la mère de Cassidy avec le temps. Un baiser sur le front laissé et il était prêt à se lever. (j'fais des rimes t'as vu ça?)
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Sujet: Re: On ne choisit pas sa famille... Quoi que si pour le coup /sbaf/ [Pv Raffy] Jeu 15 Aoû - 18:27
Feat Raffaelo & Cassidy
On ne choisit pas sa famille..
Bon, déjeuner au milieu de personnes qui ne s’apprécie pas du tout, ce n’était pas si terrible au final.. Si ? Mouais, Cassidy s’attendait à pire pour le coup en tout cas. Du moment que personne ne finissait découpé en morceau à coup de sabre, c’était déjà une nette amélioration par rapport à ses pires cauchemars de toute manière. Après, bon, elle avait sûrement tendance à dramatiser. Mais avec des spécimens comme Raffaelo et Kushinada, il fallait s’attendre à tout et n’importe quoi hein. La mentali n’était certes pas la fille la plus saine d’esprit qui soit, mais à côté de ces deux-là, elle semblait tout de même parfaitement rationnelle et banale. Il fallait donc se poser quelques questions messieurs dames et faire un effort pour changer… Non ? Peine perdu ? Bon ok, il fallait juste faire avec et les supporter alors. Chose que Cassidy savait bien faire, ou du moins le pensait-elle. Parce qu’elle faisait partit de ce rare pourcentage qui ne les trouvait « pas si terrible » et qui leur pardonnait un peu n’importe quoi, parce que… Ben elle-même ne savait pas trop pourquoi en fait, mais elle était vacciné contre leurs conneries, voilà tout. Certains diraient que c’était l’amour, d’autre une certaine forme de folie. En tout cas, elle avait le chic pour s’entourer de cas sociaux comme eux… Comment ça, elle en était un aussi ?
Quoi qu’il en soit, la pression semblait un peu retomber pour la jeune femme maintenant qu’elle pouvait se dire que les gens qu’elle appréciait pouvaient se trouver dans la même pièce sans que cela finisse en combat au sabre. Chacun a les espoirs qu’il peut dans la vie hein. Pourtant, la Mentali s’était peut-être laissé aller à rêver d’une journée paisible et normal un peu trop rapidement. Elle avait beau avoir grandi dans cette maison, ou du moins passé son adolescence ici, Cassidy avait tendance à oublier qu’il s’agissait bien plus d’un repaire de mafieux que d’une maison de famille. En même temps, le nombre de garde, les hommes armées et les gros ponte en costard qui traînaient constamment dans le coin ne devrait pas l’aider à oublier, mais elle avait une petite tête la pauvre.. Ou s’habituait tout simplement à tout. La preuve, elle avait à peine levé les yeux vers l’homme essoufflé qui était entré dans la pièce en trombe, comme si ce genre de chose était censé arriver tous les jours dans un repas de famille. Préférant manger le ravioli qu’on lui avait si gentiment mis dans son assiette, la jeune femme écouta tout de même l’homme parler avant de se tourner vers sa mère l’air.. Dépitée.
« Tu ne peux pas faire butter tous tes associés, tu le sais ça ? »
« Je fais juste un petit ménage de printemps. Tu me remerciera plus tard. »
Fidèle à elle-même, la grande brune lui avait simplement adressé un sourire, sûre d’elle comme toujours. Pourtant, si ces hommes étaient là, c’est que son plan avait bien du échouer quelque part. Mais cela arrivait après tout et on ne fini pas chef de mafia en perdant toute assurance dès que quelque chose ne va pas comme on l’aurait souhaité à la base. Si les choses ne fonctionnait pas d’une manière, il suffisait d’en tester une autre et de lutter jusqu’à la victoire. C’était forcément la victoire qui attendait les gens comme elle au bout non ? Cassidy enviait souvent cette assurance, cherchait à s’en inspirer même, bien qu’elle soit plutôt du genre prévoir plusieurs plans de secours, en femme stressée et stressante qu’elle était. Mais pour le coup, elle ne pouvait trop rien faire comme reproche à sa mère, car au fond, quand celle-ci faisait le ménage, elle savait bien que c’était aussi pour sa pomme à elle. Dire que Kushinada était aimé et apprécié de tous serait ridicule, mais elle avait gagné sa place de force et beaucoup avait appris à faire avec et à être dirigé par une femme. De là à bien prendre le fait qu’elle est choisi en guise de successeur encore une femme et qui plus est une étrangère, il ne fallait pas pousser non plus. La pilule avait chez certains du mal à passer et cela avait réveillé des querelles dormantes, des ambitions cachés qui n’avait pas échappé à la cheffe.
Épurer un peu le rangs ne pouvait donc pas faire de mal, autant pour Kushinada que pour laisser plus tard à Cassidy un environnement plus sain. Si bien sûr on pouvait qualifier une mafia de saine bien entendu. Quand la mentali avait été adopté par la mafieuse, ses subordonnés avaient pensé « Bon, elle va la marier au prochain chef, ce sont des choses qui se font. » Quand il avait été précisé qu’elle comptait en faire son héritière par contre, la jeune fille était vite passé de d’adolescente invisible à nuisible méprisable pour beaucoup. Autant dire que pour le coup, elle n’avait trop rien à dire à sa mère quand celle-ci parlait de faire le ménage. Par contre, que Raffaelo se propose pour aider était déjà plus… Surprenant. Enfin, pas tant que ça en vérité quand on connaissait son tempérament et son amour du danger, mais c’était plutôt une association entre ces deux-là qui était étrange aux yeux de Cassidy. Comme quoi, tout arrive dans la vie. La jeune femme se serait cela dit bien passé de le voir sortir fièrement son arme pour la déposer sur la table tout en proposant cette fameuse aide. Sa proximité avec la fille de la cheffe l’avait après tout privé de fouille à l’entrée, alors autant dire que ces messieurs autour avait fait une drôle de tête en voyant l’arme qu’ils avaient laissé approcher autant leur patronne. Cassidy quant à elle préféra feindre l’étonnement.
« Que.. Mais d’où tu sors ça, ce ne sont pas des manières et... »
Sentant le regard de sa mère qui ne marchait pas du tout, la jeune femme préféra se taire et les laisser se débrouiller entre gens violents.
« Si tu veux suivre tu es le bienvenu, tu ne sera pas venu armé pour rien. Ne viens pas pleurer s’il t’arrive malheur par contre. »
Car cela, elle en serait terriblement désolé… Ou pas hein. De toute manière, la mafieuse était déjà partie réclamer son katana au crétin qui lui avait proposé de se mettre à l’abri. Lâchant de son côté un soupir, Cassidy n’avait elle aucune arme à sortir pour frimer et jouer les gros bras, la démarquant ainsi clairement de son entourage. Elle leva donc les yeux vers Raffaelo qui avait déposé un baiser sur son front tout en lui demandant si elle allait rester à l’abri. Mais… c’était quoi cette manie à la fin ? On ne se battait pas à partir du moment où on ne savait pas utiliser une arme peut-être ? .. Ou bon, c’était logique ça. Mais Cassidy était tout de même un pokémon et elle avait bien prouvé à notre homme qu’elle savait se débrouiller quand il y avait de l’action, non ? Ah ben non, monsieur était trop occupé à regarder sa moto adorée quand elle soulevait des voitures avec ses pouvoirs psychique, en effet. La jeune femme fit donc une petite moue en l’entendant dire cela, bien que dans un sens, il avait un petit côté chevalier protecteur dans cette situation qui au fond ne lui déplaisait pas tant que ça.
« Tu m’as prise pour quel genre de faible femme en fait ? Et puis, il faut bien que quelqu’un t’empêche de faire n’importe quoi. Tu es du genre... Imprudent je te rappel. »
On s’en souviens de monsieur je défi les mackogneur à mains nu hein, il avait un problème avec le danger ce mec. C’était donc à Cassidy de s’arranger pour qu’il reste en vie ! .. Comment cela on faisait mieux comme garde du corps ? Eh bien il allait devoir s’en contenter le bougre. Déposant un léger baiser sur ses lèvres avant de se lever de table, Cassidy attrapa le bras du violet pour l’entraîner avec elle hors de la pièce à la suite des autres personnes. Elle le lâcha tout de même une fois sorti, n’ayant bizarrement aucune envie de servir de bouclier humain accroché à son bras de la sorte. Elle préféra donc se tourner vers deux hommes qui chargeaient leurs armes.
« Il serait peut-être plus prudent de m’en confier une aussi non ? »
Les deux hommes se lancèrent un regard.
« Non. Pour nous c’est plus dangereux. »
… Oh ça va tout va parce qu’elle avait tiré dans le pieds du type qui avait tenté de lui apprendre à bien s’en servir ! Elle n’était pas si dangereuse pour ses collègues voyons ! Elle savait parfaitement comment ça fonctionnait… Sur le papier en tout cas, elle savait. La pratique c’était autre chose. Mais alors que la demoiselle allait plaider sa cause, elle ft interrompu dans son élan par une détonation, un bruit d’explosion venant de l’extérieur de la maison. Probablement une voiture beaucoup trop cher qui venait d’y passer… Minute elle s’était garé où elle déjà ?
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