Messages : 233 Pokédollards : 89 Date d'inscription : 01/08/2015 Age : 30 Localisation : Unys Je suis (Inrp) : Celibataire et hétéro Je ressemble à : Yuuki Makoto de Persona 3 Double compte : de Kanon - Miranda - Edwin - Jack
Sujet: Quand la timidité devient une maladie Dim 21 Aoû - 15:15
Quand la timidité devient une maladie
Mais maman je veux pas la piquouze feat Nadelya
Cela tire beaucoup trop, tu grinces un peu des dents quand tu t’étires. Cela ne t’arrange pas du tout dans tes études de bouger toutes les deux secondes. Le jeune homme se relève de sa chaise pour avancer un peu, mais ce n’est clairement pas ce que tu voulais le faire, étudier était ce que tu voulais, mais te voilà à vagabonder dans les couloirs de ta maison pour faire passer la douleur de ta cicatrice. Comme Melody n’est pas là, tu dois te débrouiller tout seul pour te soulager comme tu peux. Il est dit que les cicatrices se réveillent en temps de pluie ou autre superstition, pourtant, il fait juste un peu gris aujourd’hui.
Peut être qu’il y avoir un peu de pluie dans la journée ?
En vrai tu t’en fiche un peu qu’il pleuve ou non, tu veux juste que la douleur s’en aille et vite. Et pour ne pas arranger la chose, les petits démons qui te sert de sœurs viennent de te monter sur le dos, elles veuillent juste jouer, mais tu n’avais ni la tête, ni la forme pour supporter cela.
« Greta ! Tu me fais mal ! Claudia lâche mon bras ! »
La lutte contre les petits démons qu’ont faits ton père et ta mère. Essayant de se relever comme il peut, le jeune homme finit par se faire tirer par les deux petites démones pour aller au bureau de leur mère, c’est bien le moment d’aller voir sa maman. Kylian se remet droit en crispant un peu le visage, c’est clairement pas la meilleure position qui est agréable, mais tu te dois d’être droit et avoir la bonne posture, même si tu voudrais presque t’affaler dans le canapé. Tu affiches un petit sourire, bien qu’on ressente bien que tu forces beaucoup.
« Greta et Claudia m’ont dit que tu te plains souvent de douleur, tu devrais consulter Kyou. -Ne vous en faites pas mère, tout va bien. -Cela se lit sur ton visage Kyou, j’ai demandé à quelqu’un de te prendre rendez vous d’urgence chez une personne qui pourrait te soulager, tu y vas kyou ♥ -Mère… -Tut tut tut pas de non, on y va avec le sourire ! »
Pas le temps d’en placer une avec Carmelita, le jeune homme soupire avant de se faire pousser par les petites espionnes qui ne lui laissent pas le temps de respirer. Tu ne peux rien dire dans cette maison sans que tu sois découvert en vrai. Et en plus de cela tu n’as pas le choix, c’est ça qui est le pire, bon autant aller voir un médecin comme la dit ta mère. Bien que cela ne soit pas une personne que tu connais, pas le médecin de famille ? Cela t’énerve un peu. Car quand tu ne connais pas, tu as toujours cette petite boule au ventre qui te fait stresser, tu es un Rosenwald, tu ne dois pas stresser pour rien.
Montant dans ta voiture, le conducteur t’emmène à l’adresse donné par ta mère à celui-ci. Tu ne savais pas vraiment où tu allais, bien que tu reconnais vite Volucité en quittant du regarde la télé dans ta voiture de luxe, car il faut bien occuper le voyage. Tu croirais presque te rendre à l’école en ce moment même, poussant un soupir lasse, tu sentis l’arrêt de la voiture, tu croisas quelques sbire vu vite de Chronos, un petit penchement douloureux comme salutation, c’est bien que ton père soi réputé.
Tu te la pètes un peu trop là Kylian.
Tu approche la porte avec un peu de tension, oui la peur qui te hante un peu. Tu ne connais rien de cette personne, mais cela doit être un bon médecin ? Enfin, tu y crois ? Si ta mère t’y envoie c’est que ce médecin doit être compétent ou bonne réputation… Ou peut être que c’est le seul disponible en urgence ? En vrai, tu te pose trop de question, tu arrives devant cette porte et toque tout simplement, en priant tout simplement que cela se passe bien.
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Lun 22 Aoû - 11:56
Notre première...
...et dernière rencontre ?
Quand la timidité devient une maladie.
La journée s'annonce plutôt chargée dans la boutique où travail Nadelya, comme apprentie. Elle était l'assistante d'un couple, Éril et sa femme Élena. Éril était parti chercher les ingrédients nécessaires pour fabriquer des médicaments, tandis que Élena se chargeait de soigner les clients. Quand à Nadelya... Elle observait dans un coin de la pièce et notait tout un tas de choses utiles sur son carnet. Elle agissait aussi, dans la préparation des médicaments (bien que douteux des fois...) et s'occupait des patients dont les soins étaient mineurs. Cela lui faisait toujours plaisir, même si son rôle était minime. Donc oui, cette journée s'annonçait chargée dans cette petite boutique. Le carnet des RDV était remplit, Élena ne pouvait pas s'occuper de tous les clients seules. Ils attendaient dans la petite salle d'attente, où les patients d'ages variés patientaient sur un divan en bois et au coussin rouge. D'autre lisait des magasines sur une chaise et les malchanceux restaient debout. Mais tous n'avait pas pris de RDV et la priorité était à ceux qui en avaient pris !
Nade' ! Va me chercher deux ros'ryls ! Vite !
Élena était quelqu'un de gentille bien qu'un peu stricte, mais elle avait bon fond. Un peu stressée par le monde qui n'attendait que d'être soigné, son ton était davantage plus autoritaire. Nadelya ne tarda pas à exécuter les ordres. Elle partit chercher les ros'ryls, des fleurs très petites, avec de nombreuses pétales dont le rose était éclatant, d'où son nom. Nadelya ouvrit la porte des stocks et ressortit avec la plante très rapidement, puis la donna à Élena.
Merci. Elle écrasa les pétales dans un mortier. Est-ce que tu peux t'occuper des Eben'ys ? Elles sont posées sur le bureau, à l'accueil. Merci, et n'oublie pas, il faut les pendre la tête en bas !
Encore une fois, Nadelya marcha à toute vitesse. Élena n'était pas la seule à être stressée et préoccupée par le nombre de client. Elle se dirigea donc vers l'entrée, à l'accueil et vit les eben'ys dans un grand vase. Ces plantes étaient vraiment grandes ! Leurs tiges vertes étaient très rigides et facilement cassantes. Mais la partie la plus imposante était la partie florale. De géantes fleurs dont les pétales ressemblaient particulièrement à celles des hibiscus. Leur nom était dû à leur couleur noire, sombre comme de l'ébène, ainsi qu'aux feuilles dont le bout était noir et formait quelques fois des dessins étranges. A l'époque, on cueilliait les feuilles pour lire l'avenir, cependant, le fait que ces plantes poussent dans votre jardin était souvent signe de mauvais présage. La rouquine retenait cette petite histoire. Si elle y croyait ? Peut être... mais juste un tout petit peu. Elle marcha, à toute allure vers la sortie de la boutique, ne voyant absolument rien devant elle. Elles étaient vraiment énormes... Cependant, au même moment, quelqu'un sembla toquer à la porte, mais juste deux secondes après Nadelya ouvrit la porte avec la seule idée en tête de pendre ces plantes la tête en bas. Oui, la tête en bas. Elle fut stoppée. Elle essaya d'avancer une nouvelle fois, mais rien y fait. Elle essaya de taper légèrement les plantes sur ce qui semblait gêner puis, décida enfin de pencher sa petite frimousse, sous les fleurs épaisses pour voir. Pour voir un jeune garçon.
Oh zut !
Soudain, Nadelya se rendit compte que le garçon la fixait. Ses joues s'empourprèrent de honte, et elle détourna très vite les yeux. Elle recula de quelques pas, évitant le contact des plantes à la tête du garçon.
Pardon ! Je ne vous avait pas vu !
On entendait le pas des talons arriver dans l'entrée. S'inquiétant du temps que mettait son assistante, la propriétaire était venue voir. Son regard se posa sur la rouquine puis sur la personne en face d'elle. Elle s'avait qui c'était puisqu'elle avait reçu l'appel un peu plus tôt dans la matinée.
Qu'est ce que tu attends pour accueillir le client comme il se doit ?!
Puis elle sourit de la maladresse de son assistante, avant de repartir vers ses clients. Bon... Par quoi commencer ? Pensa-t-elle.
Nadelya inspira un grand coup, sentant la douce odeur de la belle eben'ys.« Méfie-toi de la beauté. Dans ce monde, elle sert souvent à piéger les inconscients et à les entraîner à la mort. » lui avait-on dit. Ceci s'appliquait aux plantes mortelles mais aussi à certains individus... Ne voulant pas faire attendre son nouveau client plus longtemps, elle lui fit signe de la suivre. Elle passa derrière le bureau de l'accueil, remit les plantes dans le vase et dit, le visage plus sérieux et souriante :
Bonjour ! Vous êtes ?
Après avoir noté son prénom et son nom, sans savoir à qui elle s'adressait, elle reprit.
Vous aviez pris un RDV ?
Elle baissa alors la tête, quelques mèches rousses lui cachaient les yeux. Elle feuilleta les pages du carnet à rdv, remettant de temps à autre, ses mèches à leur place. Elle s'arrêta, le sourire aux lèvres, puis raya le nom de la liste.
Effectivement ! Je vais m'occuper de vous tout de suite, vous êtes pile poil à l'heure. Dit-elle le ton enjoué et s' avançant vers lui.
Et rien de plus rassurant qu'un client à l'heure ! Sinon quoi, cela faisait prendre du retard sur les autres... Elle avance vers l'une des pièces libres pour s'occuper des malades, passant très vite devant la salle d'attente. Certain clients fit une tête blasé ou énervé, impatients d'être soigné. La rouquine jeta un coup d'oeil derrière elle. Elle cru que son patient qui avait pris RDV, la suivait à reculons. Ne faisant pas attention à cela, elle en profita pour respirer, afin de garder son calme, retirer le stress et de se concentrer sur sa tache.
Elle se retourna, attendait que son client entre dans la pièce puis ferma la pièce.
Bien, commençons !
Kylian I. Rosenwald
Civil • Unys
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Dim 11 Sep - 13:01
Quand la timidité devient une maladie
Mais maman je veux pas la piquouze feat Nadelya
Tu détestes plus que tout ne pas savoir, ni connaitre les personnes qui travaille dans ce genre de lieu. Pourtant, tu dois apprendre à toujours affronter les lieux peu connue de ta personne, comme les personnes. Ton futur métier sera toujours remplis d’ombre que tu devras apprendre à maitriser, c’est ainsi que seras ta vie, remplie d’ombre et de lumière, bien que tu adores avoir de l’avance surtout, poussant un soupir, tu vois enfin la porte s’ouvrir, tu es à l’heure donc tu n’auras pas du tout à attendre. C’est bien avec toi, car tu es ponctuelle au moins.
Bien que la première vision que tu as eu, n’est pas celle à laquelle tu t’attendais vraiment. De grosse fleur devant toi, tellement massive que tu ne voyais pas la personne qui la tenais, c’est bien le moment de jouer à cache-cache, c’est quoi ce médecin ? Et surtout, c’est quoi comme plante ? Et pourquoi surtout pourquoi…Cela lui percute plusieurs fois le visage, cette mine dubitatif, qui ne comprend pas du tout ce qu’il se passe, bien qu’ayant compris tout simplement qu’il gêne…Il n’est pas client ? D’où un client gêne maintenant ? C’est un air blasé avec un pétale sur la tête qu’il souffle qu’il commence à reculer, enfin il n’eu pas le temps de faire un pas arrière.
« Pardon ! Je ne vous avait pas vu ! »
Ça étrangement, il l’avait bien remarqué vu qu’elle semblait plus motivée à lui enfoncer ces énormes fleurs sur lui. Clignant des yeux, il vit la tête du médecin, cheveux rouge et des yeux verts, bien que sur le coup, il a plus eu un arrêt sur la douce voix féminine, bien qu’une voix plus mature montre le bout de ses octaves.
« Qu'est ce que tu attends pour accueillir le client comme il se doit ?! »
Il vit la femme qui lui sourit comme pour s’excuser, ce n’est pas un sourire qui va tout excuser, cette femme à tenté des choses bizarre sur toi ! Tout le monde est témoin non ? La tu deviens un peu trop blasé mon petit Kylian. Tournant la tête vers la jeune femme un peu fautive de tout cela, bien qu’un silence encore plus gênant à lieu, c’est une hôtesse d’accueil plutôt spécial tu penses, sûrement débutante vu ses traits du visage assez jeune, tu détournes vite le visage, on ne dévisage pas une demoiselle de la sorte. Retire tes rougeurs rapidement de ton visage et avance pour suivre cette personne, pour les formalités habituelle, qui voudrait se faire passer pour un faux client ? Surtout pour ce genre de méthode que tu ne connais pas du tout. Donc tu disais ton nom et prénom du façon totalement mécanique, car tu le dis tout le temps, Kylian Rosenwald, limite si tu ne citerais pas le prénom de ton père à lui suite pour faire peur, mais là t’es au médecin tout de même. Donc, après avoir confirmé d’un hochement de tête l’affirmation d’un rendez-vous ici, prise pas ta môman adoré.
« Effectivement ! Je vais m'occuper de vous tout de suite, vous êtes pile poil à l'heure. »
Pour la préparation ? On est d’accord ? Non ? Enfin, tu ne comprends pas tellement le comment cela va se passer, bien que tu la regardes un peu sur la défensive. Bien qu’il faut la suivre, tu regardes un peu partout, ce n’est pas la femme de tout à l’heure qui va s’occuper de lui ? Enfin, tu ne sais pas du tout ce qu’on va te faire en vrai… Tu rentras dans la pièce, mais ton inquiétude est encore plus présente, c’est clairement pas le moment de te dire…
« Bien, commençons ! »
Okay, t’as totalement raison, c’est bien elle qui va tout faire. Mais là t’es clairement pas du tout à l’aise, surtout quand tu vois les tables et les possibilités qu’il s’offre à toi… Les hormones Kylian, les HORMONES tu les ranges tout de suite dans un coin de ta tête, ce n’est pas le moment de te faire tout un films.
« O-On commence quoi là ?! »
Dis-tu tout rouge comme un gosse prit en flag entrain de regarder par un troue de serrure, t’as encore rien fait et t’es déjà plus du tout à l’aise. Ce n’est pas une femme adulte qui va te géré, mais une plus proche de ton âge, donc forcément tes de moins en moins à l’aise. Heureusement que tu n’as pas trente ans, sinon tout les professeurs et le reste qui s’occupe de toi serait tout sujet de perturbation. Bien qu’en vrai, tu devras t’inquiéter si tu es toujours sans personne à trente ans.
« Ce n’est pas l’autre dame qui va s’occuper de moi ? »
On sentit un petit espoir dans sa voix, bien qu’avec les rougeurs apparentent sur le visage, il était presque grillé qu’il ne se sentait plus du tout à l’aise. Le grand héritier de la firme Pokéball déstabilisé par une personne totalement random de sexe opposé à lui, c’est tout de même de la puissance à ce stade.
« Enfin, on est censé faire quoi ? »
Aller, peut être qu’on va juste parler du beau temps et rien faire d’autre ? Sur le coup, c’est ce que tu voulais. On prend une ou deux gélules et c’est tout. Pas besoin de faire tomber la chemise et le pantalon, ce qu’on espère beaucoup. Kylian, si tu pouvais sortir ton balai coincé dans un certain endroit, tu ne peux pas être comme beaucoup de ton âge ? Dévergondé au possible ? Dragueur ? Non ! Non non non, il est hors de question qu’il se met en caleçon devant une demoiselle ! C’est trop gênant !
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Dim 11 Sep - 17:21
Le début de...
...La consultation.
Quand la timidité devient une maladie
O-On commence quoi là ?!
Le garçon avait l'air un peu surprit. Elle semblait même voir ses joues se teinter en rouge, mais elle n'en était vraiment pas sûre. Peut-être... Qu'il avait comprit autre chose ?! Nadelya détourna le regard quelques secondes. Il est vrai qu'avec le monde et le stress qui entourait cette maison, cela l'avait un peu affecté, rendant ses actions précipitées, oubliant parfois des étapes. Elle ne devait pas se précipiter, elle devait parler calmement et moins vite. C'est donc avec la voix plus posée et plus calme qu'elle lui répondit.
Nous avons reçu un coup de fil pour une consultation. On nous a dit que tu éprouvais de fortes douleurs récemment.
Elle posa son sac en bandoulière sur une petite table.
Ce n’est pas l’autre dame qui va s’occuper de moi ?
Cette phrase eut comme effet de surprendre légèrement la rouquine. Il n'avait peut-être pas confiance en elle et ses capacités, c'est peut-être pour ça qu'il avait l'air un peu sur ses gardes. Malheureusement, Nadelya était habitué à ces petites remarques. Elle était une apprentie. Si l'on devait faire confiance entre un professionnel et elle, la réponse paraissait évidente. Mais cela ne la rendait pas triste pour autant, les clients sont rois comme on dit, s'ils souhaitent se faire consulter par une personne, soit. Elle vit également chez lui, grâce à son timbre de voix, qu'il était mal-à-l'aise. Zut...! Comment faire pour le rassurer ? Pensa-t-elle.
Et bien... Elle est assez surbookée, du coup, je l'aide un peu. Je t'aurai bien proposé de changer avec elle, mais aujourd'hui, nous ne pouvons pas. Mais ne t'en fait pas, je sais me débrouiller et je vais essayer de faire de mon mieux !
Elle lui sourit essayant de le rassurer le plus possible, le regard déterminé. Elle n'était pas encore très douée dans ce domaine.
Enfin, on est censé faire quoi ?
Au début, je vais te poser des questions toutes simples pour que je puisse comprendre ce qui ne va pas, ensuite, je t'expliquerai en fonction de la situation.
Elle avança un peu plus dans la pièce. Elle s'assit derrière une table ou se trouvait un ordinateur, une imprimante, des papiers, un pot contenant des stylos et un autre avec une fleur.
Tu peux t’asseoir le temps que je te pose les questions.
Elle pointa avec sa fine main l'un des deux sièges ,qui se trouvait de l'autre côté de la table, accompagné d'un sourire discret. Il n'était pas encore très rassuré. Elle essayait pourtant de paraître détendu et sereine. Elle le regarda. Elle n'avait pas fait attention jusqu'à maintenant, mais il était plus grand qu'elle. Elle vit également une grande cicatrice sur le visage. Ce n'est pas la première fois qu'elle en voyait et n'était pas très étonnée. Ce n'était pas le cas de sa curiosité qui mourrait d'envie de savoir comment il s'était fait cela. Cependant, c'était indiscret de demander cela. Ses yeux étaient d'un bleu attirant, à peu près de la même couleur que ses cheveux. Tiens... Une pétale se trouvait sur sa tête. Elle se pencha en tendant la mais vers lui et lui enleva. La honte, elle avait percuté un client. Très bel accueil... Elle se racla la gorge pour oublié et reprit.
On nous a appelés parce que tu ressentais des douleurs de plus en plus grandes. Où as-tu mal ? Cela fait combien de temps que tu as mal ? Tu bois beaucoup ?
Kylian I. Rosenwald
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Jeu 15 Sep - 21:26
Quand la timidité devient une maladie
Mais maman je veux pas la piquouze feat Nadelya
Tu ne t’attendais pas à ce qu’une jeune femme s’occupe clairement de toi, c’est une personne plutôt proche de ton âge ce qui te dérange pas mal en vrai enfin, il te faut pas grand-chose pour te sentir pas bien. Tu en voulais à ta mère de ne pas avoir prévenu que tu préfères un homme ou une femme plutôt âgée, plate, moche, bref un truc qui fait que tu ne rougis pas comme un bêbête. Toussant un peu pour te racler la gorge, tu suis la demoiselle qui s’étonne elle aussi de ta question, c’est vrai qu’elle était assez bizarre sur le coup.
« Nous avons reçu un coup de fil pour une consultation. On nous a dit que tu éprouvais de fortes douleurs récemment. »
Sur le coup tu détournas les yeux, tu as tellement honte de cela, enfin honte, tu ne pouvais pas du tout lutter heureusement que Melody était là, tu te demandes ce qu’elle fait en ce moment même, il est vrai que d’habitude c’est elle qui prend les rendez vous comme ça, qui fait tout pour que tu n’es pas ce genre de soucis actuel, bon sang c’est un grand manque de ne pas avoir ce genre de personne à ses côtés. Bien que tu ne t’es pas gêné de demandé pourquoi elle et pas l’autre dame, cela est encore plus déplacé que de demander ce que vous allez faire, tu vois bien que sa mine est assez surprise, stupide gamin.
« Et bien... Elle est assez surbookée, du coup, je l'aide un peu. Je t'aurai bien proposé de changer avec elle, mais aujourd'hui, nous ne pouvons pas. Mais ne t'en fait pas, je sais me débrouiller et je vais essayer de faire de mon mieux ! »
Comme c’était urgent, il est normal donc, cela ne t’arrange pas du tout. Te mordant un peu la lèvre, tu détournes rapidement le regard, tu ne peux pas regarder trop longtemps une demoiselle, bravo Kylian, un jour tu y arriveras. Bon, restons calme et apprenons ce qu’il va se passer, enfin, en tout professionnalisme.
« Au début, je vais te poser des questions toutes simples pour que je puisse comprendre ce qui ne va pas, ensuite, je t'expliquerai en fonction de la situation. Tu peux t’asseoir le temps que je te pose les questions. »
Tu penchas ta tête, bon autant ne pas faire le chiant, tu t’assois sans ronchonner. Remettant un peu ta mèche devant ton visage, c’est vrai qu’elle est un peu gênante, mais tu aimes bien ta coupe de cheveux donc tu vas faire avec. Poussant un certain soupir, le jeune homme lève un peu le menton assez fier, tu en reste pas moins un peu hautain, bien que tu sembles deviner la suite. Pourtant, alors que tu reprenais confiance en toi, voilà que la femme se penche d’un coup vers toi…
C’est alors que l’imagination fait le reste du boulot.
Kylian eu un grand moment de chaleur, de grosse rougeur sur le visage, manque plus que la fumée et notre Kyli est mort… Déjà que tu as eu de la chance que ce n’est pas la période d’éclosion ou le pollen te tue à chaque tournant de rue. C’est alors que tu remarques que c’était pour retirer un pétale… Heureusement en soi. Déglutinant tout seul, tu t’enfonces dans ton siège avec des yeux ronds comme des billes, reste calme, c’est très dur.
« On nous a appelés parce que tu ressentais des douleurs de plus en plus grandes. Où as-tu mal ? Cela fait combien de temps que tu as mal ? Tu bois beaucoup ? -Je ne suis pas alcoolique… »
T’as pas du tout compris le sens de la question Kylian, sur le coup tu as répondu rapidement te remettant clairement de ce que tu as vécut, te faut vraiment pas grand-chose. Se remettant un peu plus droit, le jeune homme essaie de respirer un peu, le tout c’est de ne pas mourir sous sa timidité. Se raclant un peu la gorge, il se rend compte de sa bêtise.
« Beaucoup de café, c’est ce que je bois souvent et de l’eau. » petite pause toujours bien. « J’ai mal tout le côté gauche de fin de nuque a là hanche, cela fait longtemps. Enfin trop longtemps. »
Ce n’est que quatre ans, mais il faut croire que cela est beaucoup trop pour toi. Bien que cela n’aurait jamais du avoir lui hélas, si seulement tu savais te battre ou bien qu’elle soit crever dans un coin, mais non, il a fallut qu’elle arrive devant toi pour tenter de t’assassiner. Tu te pinces l’arrête du nez, comme pour signifier un agacement.
« Enfin, j’ai l’habitude, Mère est juste inquiète pour si peu. Vous pouvez juste me donner des médicaments si cela vous rassure et cela sera fait, nous n’allons pas nous attarder sur une chose normal. Mère doit juste s’inquiéter que j’ai du mal à me concentrer sur mon travail, ainsi que mon sommeil court, vous comprenez. »
C’est presque joliment exécuté comme manœuvre pour fuir ? N’est-ce pas ? Du génie, enfin, surtout qu’il ne veut pas du tout ce qu’il pense avoir lieu, vous savez quand déjà physiquement vous avez du mal avec vous et que vous avez du mal avec un corps féminin, c’est bon ? Bien !
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Ven 16 Sep - 17:26
Un patient...
... pas comme les autres.
Quand la timidité devient une maladie
On nous a appelés parce que tu ressentais des douleurs de plus en plus grandes. Où as-tu mal ? Cela fait combien de temps que tu as mal ? Tu bois beaucoup ?
Je ne suis pas alcoolique…
Lorsqu'elle entendit la réponse du jeune homme, elle ne put s'empêcher de sourire. Elle essaya de le cacher derrière ses mains. Aucun client ne lui avait répondu ca, elle se demandait d'ailleurs pourquoi cette réponse, qui était sortie de sa bouche avec rapidité. Elle le regarda et le vit plus rouge que précédemment. Il se remit droit, et se racla la gorge avant de reprendre :
Beaucoup de café, c’est ce que je bois souvent et de l’eau. J’ai mal tout le côté gauche de fin de nuque a là hanche, cela fait longtemps. Enfin trop longtemps.
De la nuque à la hanche ? Tout le coté gauche ? Étrange, et cela était mauvais signe, surtout lorsqu'elle apprit que cela faisait longtemps qu'il en souffrait. Bien qu'elle n'eût pas de réponse précise, cela suffisait pour se rendre compte de la douleur qu'endurait le patient. Elle va devoir analyser tout cela et surement lui donner du baume à appliquer et des anti-inflammatoire pour résister à la douleur. Enfin ca, elle verra après l'analyse plus approfondi de la consultation. Elle s'apprêtait à se lever et indiquer au patient de s'asseoir sur la table d'examen médical, lorsque ce dernier ajouta en se pinçant l'arête du nez.
Enfin, j’ai l’habitude, Mère est juste inquiète pour si peu. Vous pouvez juste me donner des médicaments si cela vous rassure et cela sera fait, nous n’allons pas nous attarder sur une chose normal. Mère doit juste s’inquiéter que j’ai du mal à me concentrer sur mon travail, ainsi que mon sommeil court, vous comprenez.
Comm- Quoi ? Pensa-t-elle. Ce qui venait de dire mit le doute à la rouquine. Déjà, elle semblait le voir ─ avant d'arriver dans cette pièce ─ marcher à reculons. Ensuite, il lui avait demandé, presque avec regret, pourquoi ce n'était pas Elena qui s'occupait de lui. Et maintenant... Il voulait en finir, le plus rapidement possible. Essaye-t-il de me fuir ? Pensa-t-elle, perplexe. Hors de question qu'il s'en aille aussi facilement ! Sinon, Elena et Eril seront très déçus de son travail et de son comportement ! De plus, ce qu'il venait de dire inquiéta davantage le jeune phytothérapeute. Une chose normale ? Un manque de concentration et un sommeil court ? Le visage de la jeune fille se figea et après un moment, elle lui répondit.
Je suis désolé, mais je dois suivre la procédure. Votre mère à l'air très inquiète et elle a raison. Ce n'est pas normal de souffrir autant, tout le coté gauche. Si vous êtes pressé, je peux essayer d'aller vite, mais je ne vous laisserai pas partir sans en savoir plus sur votre état et votre problème.
Elle le regarda, à la fois inquiète et le regard le plus rassurant possible, cependant ce garçon semblait très timide et Nadelya ne savait pas comment faire pour le rendre plus à l'aise. Elle demandera ca ce soir à Elena.
Elle se leva et indiqua la table d'examen médical à Kylian.
Peux-tu t'asseoir dessus s'il te plaît ?
Pendant ce temps, elle alla fouiller les étagères et ouvrir les tiroirs pour ressortir du matériel et le mettre près d'elle, au cas où elle en aurait besoin. Lorsqu'elle se retourna, le garçon ne s'était pas assis. Oh...
Elle le regarda une nouvelle fois dans les yeux et c'est avec une mine mimi et attrayante qu'elle lui dit.
S'il te plaît... Elle soupira. Plus vite, ce sera fait, plus vite, tu pourras partir... Alors assieds-toi, s'il te plaît.
Elle enfila sa blouse et mit son stéthoscope, attendant le jeune patient qui ne sembla pas trop coopérer.
Kylian I. Rosenwald
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Sujet: Le destin? Il adore s'amuser [Pv maelys] Mar 27 Sep - 23:15
Quand la timidité devient une maladie
Mais maman je veux pas la piquouze feat Nadelya
T’es ridicule, bon dieu que tu es beaucoup trop ridicule. Tu réponds trop vite, tu réagis bizarrement, tu es clairement entrain de te mettre en ridicule devant une demoiselle, t’as clairement un souci. En plus vu son sourire, elle doit rire, enfin elle essaie de le cacher, mais tu ressens la moquerie de ton côté, apprend à réfléchir avant de parler, d’habitude tu fais ça ! Alors pourquoi maintenant t’es clairement perturbé. Heureusement que tu te récupère de justesse. Tout comme tu tentes clairement de marchander cela, tu ne veux pas du tout passer au stade Exam, surtout pas cette étape, car tu sais ce qu’elle va devoir faire, et il en est HORS de question. Timidité power.
Bien que le visage de la demoiselle rousse montre clairement la surprise sur son visage, vrai qu’un patient qui marchande tout de suite la fin de la séance, c’est unique n’est-ce pas ? Surtout que Kylian essaie ce qu’il peut pour fuir ce foutue exam, pourquoi ta mère ta guider dans un lieu pareil avec une jeunette… Attend.
Ce n’est pas un plan pour tenter que tu te décoince quand même ?!
Non, quand même, bien que ton père te pousse un peu pour te bouger un peu le derrière avec les filles, tu suspectes quand même le fait que c’est vers une jeune que tu te trouves… Non, c’est être parano quand même là, roulant un peu des yeux, le jeune homme se fait presque peur de suspecter ses propres parents juste pour ça, calmons-nous un peu.
« Je suis désolé, mais je dois suivre la procédure. Votre mère à l'air très inquiète et elle a raison. Ce n'est pas normal de souffrir autant, tout le coté gauche. Si vous êtes pressé, je peux essayer d'aller vite, mais je ne vous laisserai pas partir sans en savoir plus sur votre état et votre problème. »
Tu pestais intérieurement, elle est dur en affaire celle-là. Ou peut être que tes suspicions précédentes sont réelles ? Peut être que ce n’est pas un vrai médecin ? Une simple fille qui se fait passer pour ça ? Pour t’approcher…Kylian, respire un peu, tes parents ne sont pas aussi vicieux que ça. C’est alors qu’elle pointa la table d’exam que tu regardais de travers.
« Peux-tu t'asseoir dessus s'il te plaît ? »
Un petit peut plus d’insulte pour toi-même, c’est bien le moment de finir au pied du mur, reste calme. Tu peux négocier, tu es certain de réussir à faire quelques chose, tu n’es pas bête Kylian, serre le poing et réfléchit, aller quelque chose vite.
« S'il te plaît... Plus vite, ce sera fait, plus vite, tu pourras partir... Alors assieds-toi, s'il te plaît. »
A cet instant, nous venons de perdre encore plus Kylian qui en plus en voyant la bouille de la jeune fille, vient de clairement prendre l’opposé total de ce qu’elle voulait dire. Il a fait de gros yeux sur le coup et a reculé de sa chaise en reculant de la jeune femme, non clairement c’est suspect !
« N-Non, déjà que je ne suis même pas sûre ! Je n’ai rien en guise de protection alors il est hors de question d’aller dans cet étape là ! »
Kylian, apprend parfois à contrôler tes hormones et pense avec ta tête. Surtout avec ta tête, car là tu es parfaitement ridicule en vrai. Surtout quand tu viens enfin de comprendre qu’elle parler surtout du rendez vous, tu deviens tout rouge et pose une main sur ton visage clairement gêné, tu es parfaitement ridicule, héritier de la firme Pokéball et pas capable de se contrôler, tu es jeunes oui, mais là tu touches le fond.
« J-Je. Tout va bien c’est juste une vieille blessure, des calmants et voilà. C’est tout. »
Tu es médecin Kylian pour dire cela ? Faut croire que oui, vu que tu serres les bras en détournant le regard, ne pas regarder cette fille, elle te fait perdre tes moyens… Mon dieu, c’est pas ton jour aujourd’hui.
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Sam 8 Oct - 14:12
Quand la timidité devient une maladie.
Nadelya commençait à s'impatienter. Leur rendez-vous médical prenait plus de temps qu'il en fallait et les patients étaient toujours aussi nombreux, il ne fallait surtout pas qu'Elena vienne la voir pour demander ce qu'elle fabrique. Elle se trouvait face à un jeune homme dont la timidité empêchait à Nadelya de le presser. Elle ne savait pas non plus quoi faire pour le rassurer. Elle n'était pas capable de le réduire sa timidité à zéro en une rencontre. Que devait-elle faire ? Le brusquer pour en finir ? Ou continuer à lui parler avec calme et sérénité ?
C'est alors qu'il vit le garçon faire de grands yeux et reculer, cherchant à s'éloigner d'elle brusquement. Qu'avait-elle dit de si effrayant ? Avait-il une phobie des médecins ? Non, à son âge... Pourtant, la rouquine ne savait vraiment pas ce qui avait provoqué cette réaction. Elle ne tarda pas à savoir.
─ N-Non, déjà que je ne suis même pas sûre ! Je n’ai rien en guise de protection alors il est hors de question d’aller dans cet étape là !
Un silence s'installa entre eux. Nadelya clignota plusieurs fois les yeux avant de comprendre ce qu'il venait de dire brusquement. Elle recula d'un pas et replia ses mains vers elle en les secouant très vite. Une... Une protection ?! M-Mais... ?!
Elle ne savait pas quoi dire et comment réagir. Elle se demanda même si elle n'avait pas à faire à un pervers, chose qu'elle redoutait le plus et qu'elle ne souhaitait pas arriver. Ses yeux étaient aussi surpris que son patient et ses joues avaient teint en rouge d'embarras. Lorsqu'elle reprit ses moyens et était enfin en état de répondre, le jeune garçon, quant à lui, était tout aussi gêné, même beaucoup plus. Il ajouta.
─ J-Je. Tout va bien c’est juste une vieille blessure, des calmants et voilà. C’est tout.
Nadelya avait beau l'écouté, elle ne changea pas d'avis, il avait besoin de soins. Bien que sa détermination eût légèrement vacillé face aux pensées du garçon. Jamais cela ne lui était arrivé. Elle toussa, essayant d'oublier ce moment gênant. Le temps lui, continuait d'avancer. Elle décida d'avancer les choses.
─ Je... J'ai bien vu que tu étais timide et que... Ma présence te cause du souci, mais, je te promets que ça na rien d'effrayant. Je vais juste mesurer ton pouls, observer tes cicatrices et t'administrer les médicaments nécessaires.
Elle ne savait pas si cela le rassurait ou au contraire, allait empirer la situation.
Elle réussit à faire bouger le garçon. Ce dernier s'était assis sur la table, à reculons et en évitant tout regard avec elle. Le visage du garçon était toujours rouge et gêné. Nadelya allait faire de son mieux pour finir, sans mettre trop de temps. Elle se dirigea derrière lui, il ne pouvait plus la voir et peut être que cela l'arrangeait pensa-t-elle. La jeune femme prit un stéthoscope du tiroir et l'enfila. Elle pouvait désormais commencer l'examen.
Comme d'habitude, elle écoutait les battements du cœur des patients, procédant toujours par la même méthode, mesurer en posant le bout du stéthoscope sur le dos et après, demander au patient de respirer fort. Rien de plus normal. Cependant, alors qu'habituellement ce genre de chose ne lui posa pas de problème, aujourd'hui cela semblait l'embarasser. Elle leva le haut du jeune homme, sans le déshabiller et glissa la main où elle posa le bout du stéthoscope. Étrangement, elle ne se sentait pas à l'aise. Peut-être que la timidité du garçon était contagieuse ? Elle essaya de penser à autre chose, puis lui demanda de respirer fort, plusieurs fois. Elle pouvait entendre chaque pulsion de son cœur, comme un tambour qui résonnait dans sa poitrine, le rythme semblait régulier. Lorsqu'elle déplaça sa main, ce dernier semblait accélérer quelques instants, surement à cause de la pudeur de son patient.
Elle se concentra sur sa tache, mais alors qu'elle regardait ou elle posait son stéthoscope, elle observa son dos. Ses épaules étaient droites et carrées, son dos était droit contrairement à la plupart des patients qui se courbaient à chaque fois. Bien qu'il n'eût pas un physique bien musclé, on pouvait imaginer le futur homme qu'il allait devenir. Nadelya rougit, se surprenant elle-même. Ce n'était pas dans son habitude d'observer le physique de ses patients et elle se le déconseillait elle-même. Elle commençait à penser réellement que sa timidité était contagieuse !
Elle retira sa main de son dos et rangea le stéthoscope à sa place. Il n'y avait rien d'anormal à noter, elle pouvait donc passer à l'étape suivante et surement la plus difficile :
Observer là où il avait mal, c'est-à-dire, le côté gauche, de fin de nuque a là hanche. Et pour cela, elle devait lui demander d'enlever son haut.
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Mer 2 Nov - 12:35
Quand la timidité devient une maladie
Si déplorable n'est-ce pas? feat Nadelya
Tu es parfaitement ridicule et encore le mot est bien faible mon chers Kylian. En plus d’être totalement tout rouge, tu dis n’importe quoi. Il est bien beau le futur chef d’entreprise, surtout quand on imagine qu’une seule femme peut te faire tourner la tête, on imagine pas pour le futur ce que tu vas faire comme bêtise. Au moins, tu es doué pour refiler ta timidité à cette pauvre femme qui n’a strictement rien demandé que de faire son boulot, on peut dire que cela est un talent plutôt….rare? Inutile mais rare. Le jeune homme bleu s’auto critique bien le pire, comment empirer une situation comme celle-là, penser tout de suite comme un pervers voyons. Ton père va bien se foutre de ta pomme quand t’y pense, faut absolument que personne n’apprend ta bêtise.
"Je... J'ai bien vu que tu étais timide et que... Ma présence te cause du souci, mais, je te promets que ça na rien d'effrayant. Je vais juste mesurer ton pouls, observer tes cicatrices et t'administrer les médicaments nécessaires."
Respire un bon coup, et surtout calme toi rapidement en vrai. Aller ce n’est qu’une visite médical, tu ne peux pas pour toujours ne pas esquiver cela, bon certes la prochaine fois cela sera un homme que tu réclames, tu seras bien tranquille comme ça. Un pincement de lèvre, aller on prend son courage et surtout on reste bien calme, ce n’est qu’une routine, cela va aller très très vite… On espère en soit, car tu n’as pas du tout envie de finir en position de ridicule (et surtout que ton father l’apprend ainsi que ta mère), le chef d’une firme ne doit surtout pas avoir ce genre de réputation, cela ne va pas du tout aider à se faire respecter dans la vie de tous les jours et dans un avenir lointain.
Kylian s’assoit enfin sur cette maudite table, pestant sur son cerveau qui part trop vite au quart de tour, aller cela ira vite, c’est ce que tu penses et espère vraiment. Elle a dit exactement ce qu’elle va faire. Une pire de poul… la deuxième ne te plait pas vraiment, mais il faut bien y passer, roulant un peu des yeux, peut être que cela plus long, déjà que l’idée même de montrer cette horreur ou bien même la voir en plein jour dans le miroir de ta salle de bain te dégoute et t’énerve, aller une histoire de quelques secondes… Passant une main dans tes cheveux, tu essais totalement d’arrêter les rougeurs sur ton visage, car c’est clairement ridicule de continuer de rougir pour rien, enfin pour rien, elle est pas moche cette fille, c’est une demoiselle plutôt charmante qui doit en faire tomber des hommes… Elle doit sûrement en avoir un d’homme en question en plus, donc pas la peine de s’attarder sur cela. La rousse lui passe dans le dos, l’exam va commencer.
Le froid de son outil te fait frissonner un grand coup, c’est toujours aussi glacé ce truc. Tu affiches ce visage blasé, il est vrai que tu détestes la prise de poul, car cela provoque toujours un grand froid et un frisson, bien que tu sens l’hésitation de cette pauvre demoiselle qui doit vraiment être gênée avec ta connerie, ahahaha idiot. Obéissant au demande de la demoiselle, tu respires et expires, comme un gentil patient, bien que tu as un peu embêté ton monde bien avant, donc soit un peu plus vivable. Le bourgeoi sentit enfin que la prise du poul est enfin terminé, c’est pas trop tôt, au moins l’outil a eu le temps de chauffer un peu, restant bien droit, le jeune homme attend la suite de la visite, bien qu’il ne pouvait que deviner la suite, faut bien y passer mon petit !
Ce silence bien lourd ne fait qu’affirmer la suite.
Bon aller, on prend ce qu’il te reste d’homme et tu prends ton courage, ce n’est qu’une cicatrice, une honte, une marque qui te nargue. Poussant un soupir, tu défais lentement ta chemise avec une mine plutôt contrarié. Montrer sa honte n’est pas une chose bien aisé pour une personne. La chemise blanche tombe, plus que le débardeur blanc à enlever, bien que tu savais déjà qu’on pouvait voir l’horreur. Toute l’omoplate était touché par cette trace de brûlure de cette petite peste. Puis quand tu retires enfin celui-ci, on pouvait bien voir que c’était rongé, la hanche, les côtes, tout le côté gauche était d’une autre couleur, heureusement que ton bras est un des rares survivant de ce côté, tout comme ta hanche. Cela t’agace encore plus de voir ce corps bousillé par cette… bête.
“Ne perdez pas trop votre temps.”
Le ton était donné, bien que le contact de l’air frais ne te soulage pas du tout dans ton état, il est vrai que cela tire vraiment. Tu sais bien que cela sera toujours douloureux, le temps qui va passer ne va sûrement rien du tout arranger…
"Je pense qu’il n’y a rien à faire que prendre des calements comme d’habitude."
Ce ton si froid n’aide clairement pas, tu détestes cette situation.
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Sam 3 Déc - 17:14
Quand la timidité devient une maladie.
Après avoir passé le test sur la mesure du pouls dans le plus grand des calmes, Nadelya allait maintenant s'attaquer à la plus grande tache de cette visite médical. La source de sa douleur, et elle ferait tout son possible pour aider son patient ─ bien qu'il soit difficile à gerer. Toujours dos à lui, la jeune phytothérapeute croisa les bras en attendant qu'il retire ses vêtements. C'est lorsqu'il ôta sa chemise qu'elle pu déjà apercevoir une partie de la blessure. Une cicatrice comme elle en avait jamais vu.
Elle fronça légèrement les sourcils, n'étant pas sure de ce qu'elle venait de voir. Elle se rapprocha de lui pendant qu'il enleva son débardeur. Tout le coté gauche ou presque était d'une couleur différente, plus sombre. Seul son bras gauche et sa hanche avaient été épargné, de peu. Nadelya retint de hoqueter de surprise, elle n'avait jamais vu une blessure pareil. Elle n'osait imaginer la souffrance qu'il avait ressentit ce jour là.
Perdu dans ses pensées sur la cause de cette blessure, la voix du garçon la ramena brusquement à la réalité.
─ Ne perdez pas trop votre temps.
Il avait raison, la rouquine s'était laissée distraite. Elle hocha la tête et reprit son sérieux. Elle rapprocha timidement sa main droite vers le haut de la blessure qui, était certainement une brûlure, pas de doute là dessus.
─ Dès que vous ressentirez une douleur, même la plus petite, dites le moi.
Ses doigts se posèrent sur son omoplate et descendit petit à petit sur son corps droit, tout en appuyant plus ou moins fort sur sa blessure. A chaque fois qu'il ressentait une douleur, elle le nota sur une feuille et reprit son analyse.
─ Je pense qu’il n’y a rien à faire que prendre des calmants comme d’habitude.
Sa blessure n'était pas à prendre à la légère.
─ Malheureusement oui... Il n'y a rien d'autre à faire.
Elle prit sa feuille et dépassa la table jusqu'à son bureau. Elle la déposa et commença à tapoter du clavier de son ordinateur. Ses yeux étaient rivés sur son écran, elle défila la liste des produits contre les douleurs causés par des brûlures. Il y en avaient des plus ou moins efficaces. Elle releva la tête vers lui, quelque minutes après.
─ Cela fait longtemps que vous avez cette cicatrice ?
Tandis qu'il lui répondait, elle retourna à ses recherches et se mit à sourire.
─ Au fait, vous pouvez vous rhabiller et revenir vous asseoir ici, dit-elle en désignant la chaise de l'autre coté du bureau.Je vais imprimer les médicaments pour soulager votre douleur. Cependant, je crains que cela va mettre du temps à s'apaiser totalement... Mais vous sentirez une différence rapidement si vous appliquez tout correctement !
Elle lui tandis la feuille et lui expliqua les 2 médicaments : 1 cachet pour un soulagement longue durée et une baume à appliquer matin et soir. Tout ces médicament utilisaient les vertus des plantes et étaient bien souvent, plus efficaces. Nadelya ne pu s’empêcher de repenser à cette cicatrice. Comment s'était-il fait ça ? Par quoi ?... ...ou qui ?
Elle n'osait pas lui demander et garda le silence.
─ Et voilà ! Si les douleurs persistent, n'hésitez pas à revenir.
Elle lui sourit puis ouvrit le tiroir du bureau et sortit un bonbon et le lui tendit.
─ Ce n'était pas facile je vous l'avoue, mais vous vous en êtes bien sorti ! C'est fait maison !
Nadelya avait toujours l'habitude d'offrir des bonbons qu'elle confectionnait elle même. Elle les offrait à toutes les personne, quelque soit leur age. Tandis qu'elle commencait à se lever, quelqu'un toqua à la porte et entra. C'etait Elena, la femme et phytothérapeute de cette maison.
─ Bonjour, désolé pour le dérangement, je voulais juste venir voir si tu t'en sortais ? Tout va bien ?
─ A-h oui oui, nous venions de terminer.
Elle était resté de l'autre coté de la pièce, laissant la porte ouverte, les mains sur les hanches.
─ Tu as tout vérifié ? Les prescriptions, les vaccins...
─ Les vaccins !
Nadelya venait d'hausser la voix san s'en rendre compte, elle avait complètement oublier de vérifier s'il n'y avait pas de vaccin à faire. Même en étant phytotérapeute, ils avaient le droit de prescrire les vaccins. Elle se mit donc a chercher sur l'ordinateur.
─ Vous les avez fait, les prochains sont dans quelques années sauf un, à faire... Vous deviez le faire il y a 3 mois déjà.
─ Bien, je te laisse finir. Fais attention la prochaine fois.
─ Oui et désolé...
Elle leur sourit et partit en fermant la porte. La jeune apprentie faisait encore des erreurs, mais elle était là pour apprendre. Elle se mit à regarder son patient.
─ Je crois que nous n'en avons pas encore terminé tous les deux !
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Sam 7 Jan - 11:33
Quand la timidité devient une maladie
Si déplorable n'est-ce pas? feat Nadelya
Dénudé devant une fille qui n’est pas loin de ton âge. Un miracle que tu n’as pas trop de sang qui sort de ton nez, bien que tu ne sois pas du tout à l’aise en ce moment même. Comment font les hommes qui courent après les femmes ? Tu aimerais bien savoir leur secret. Bien que tout simplement, tu es peut être trop coincé et carré dans ta vie. Frissonnant un peu, le jeune homme essaie de penser à autre chose, après tout ce n’est pas le moment de divaguer sur certain détail. Bien que le visage de la demoiselle semble bien faire comprendre la surprise, elle ne devait pas du tout s’attendre à une cicatrice pareille… Tu t’étonnes même plus, c’est une chose beaucoup trop moche et immense pour que cela passe naturellement à l’œil humain. Tu re-frisonnas en sentant la main de la demoiselle sur le haut de sa blessure.
« Dès que vous ressentirez une douleur, même la plus petite, dites le moi. »
Un simple « hm » en guise de réponse, c’est tout de même froid. Mais, tu es comme ça Kylian. Tu détestes être dans cette situation de faiblesse, surtout montrer une pareil faiblesse, cette marque de honte qui t’écrase chaque jour devant le miroir, mais tu dois faire avec n’est-ce pas. Elle a beau regarder ton corps, elle sait elle-même qu’il n’y a pas de solution pour retirer cette cicatrice ou douleur, il faut toujours fait avec. C’est le destin hélas, de porter ton poids comme tout le monde. Voyant la femme s’éloigner doucement de sa personne, tu décides de remettre ton débardeur et ta chemise blanche. Tu l’as regarde écrire sur son papier des possibles calmants comme tu le pensais. Tu retournas tranquillement à ta place, retour à la case départ.
« Cela fait longtemps que vous avez cette cicatrice ? »
Un assez lourd silence vient de s’installer dans la pièce. Tu n’as pas envie de répondre. Quoiqu’il le faut bien ? Soupirant un peu, tu regardes la demoiselle, comment dire sans perdre son sang froid et prendre le voile de la colère sur tes épaules ?
« Un vulgaire accident. C’est tout. »
C’est la vérité en vrai. Tu étais en vacance, tu n’as rien demandé d’autre que d’être en paix avec ta famille. Mais y a fallu que cette idiote de sœur de Mélody arrive avec l’envie de te tuer, bon, elle avait de très bonne raison. Mais, cela ne t’empêche pas d’être énervé que madame est réussie cela juste avant sa mort… Ne sourit pas, cela va te faire passer pour un sadique.
« Je vais imprimer les médicaments pour soulager votre douleur. Cependant, je crains que cela va mettre du temps à s'apaiser totalement... Mais vous sentirez une différence rapidement si vous appliquez tout correctement ! »
Le jeune homme s’assoit en saisissant la feuille tendu par la demoiselle regarde ce qu’il y a décrit, des noms de médicament tout aussi compliqués les un que les autres. Mais si cela peut calmer la douleur et te faire revenir correctement dans tes études. Poussant un léger soupir, tu fouilles dans ta besace pour prendre de quoi payer la consultation, bien que la personne en face semble totalement perdue ailleurs
« Et voilà ! Si les douleurs persistent, n'hésitez pas à revenir. Ce n'était pas facile je vous l'avoue, mais vous vous en êtes bien sorti ! C'est fait maison ! »
Sur le coup, il a presque cru qu’elle le prend pour un enfant, c’est bien le moment d’être vexé Kylian. Le jeune homme détourne le regard ne sachant clairement si oui ou non le prendre fait de lui un gamin, c’est vachement le moment de te poser se genre de question, quand tu prends un bonbon chez toi, personne ne te critique Kyli. C’est vrai, donc tu en prends un en regardant un peu de travers la femme qui pourtant et beaucoup trop gentil en vrai, donc tu restes calme et le met dans ta poche, pour plus tard cette petite chose sucrée. Bien que tu ailles te lever, tu entends la porte s’ouvrir, sur le coup tu ne fais que tourner la tête vers la personne curieuse de voir qui ose déranger le rendez-vous, peut être qu’il a été un peu plus long que prévus ?
« Bonjour, désolé pour le dérangement, je voulais juste venir voir si tu t'en sortais ? Tout va bien ? -A-h oui oui, nous venions de terminer. -Tu as tout vérifié ? Les prescriptions, les vaccins... -Les vaccins ! »
Les vaccins ? Tu as cligné un peu des yeux en regardant la demoiselle regarder quelque chose sur son ordinateur. C’est bien le moment de te poser une question débile, t’as presque cru que tu étais à jour, après tout tu ne veux pas allonger tout cela.
« Vous les avez fait, les prochains sont dans quelques années sauf un, à faire... Vous deviez le faire il y a 3 mois déjà. »
Un instant, tu viens de te retenir de dire un juron plutôt vulgaire. C’est vraiment pas ta chance, surtout l’idée même de te prendre une aiguille dans le bras, non sérieusement. Bon la plus vieille va sûrement faire celui-ci pour aller plus vite, cela te va bien. Soupirant un peu, tu es prêt à prendre ce truc dans le bras, sauf que rien ne va dans ton sens.
« Bien, je te laisse finir. Fais attention la prochaine fois. - Oui et désolé... »
Un instant ? C’est encore la plus jeune qui va faire ? Mais, il vient juste de se rhabiller. Clignant des yeux surpris, il aurait presque réclamé encore la plus vieille, pas celle qui vient de galérer à la dessaper. Surtout, que tu vas devoir le refaire, c’est presque le pot de bonbon que tu vas vouloir tellement c’est la plus grande épreuve.
« Je crois que nous n'en avons pas encore terminé tous les deux ! -Hélas. »
Ce sourire crispé, cette envie de partir en courant, cette envie de juste trouver une excuse débile pour fuir la piqûre. Cherche une idée, n’importe quoi, c’est le moment de fuir. Pour une fois que tu as un point commun avec un Pokémon. Ahahaha, ce n’est pas drôle. Tu saisis ton portable faisant mine d’avoir un appelle.
« Oui allo ? »
Invente n’importe quoi, du moment que c’est pour fuir cette piqûre, on t’en voudra pas non ? Puis l’idée d’enlever encore la chemise. Cette fille t’as déjà assez vu à moitié nu, cela est suffisant non ? La c’est le trop. Alors tu fais semblant de parler d’un devoir à rendre en groupe, bien que tu es totalement bon acteur quand tu veux.
Pourtant, la sonnerie de manque de batterie vient de sonner et il vient de s’éteindre. A cet instant tu t’es sentie très bête…. Un sourire encore plus crispé se dessine. Quel gamin.
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Sam 18 Fév - 17:50
Quand la timidité devient une maladie.
─ Je crois que nous n'en avons pas encore terminé tous les deux ! ─ Hélas.
Nadelya ne savait pas s'il disait cela en le pensant vraiment. Ce n'était pas la première remarque négative et froide du jeune homme. Elle ne devait pas s'en faire, ni trop se prendre la tête, après tout, c'était un client comme les autres. Pourtant, elle ne comprenait pas pourquoi il détestait autant les médecins. À moins que ce soit juste elle ? Non impossible ils ne se connaissaient presque pas. En tout cas, elle n'avait jamais vu quelqu'un de si timide et embarrassé. Jusqu'à présent tout, c'était bien passé, un peu long et compliqué à faire le test, mais elle avait réussi, cependant, cela paraissait une moindre étape face à celle de la vaccination...
Sans perdre de temps, elle chercha la seringue dans le tiroir et la solution dans l'étagère. Tandis qu'elle prenait une aiguille adéquate et la mettait en place, elle entendit son client :
─ Oui allo ?
La jeune femme se retourna tout en terminant de mettre en place la seringue. Un appel urgent ? Pensa-t-elle. Enfin...
...
C'est ce qu'elle pensait avant de voir qu'il s'agissait finalement d'une ruse pour s'enfuir d'ici. Son portable n'avait plus de batteries et venait de s'éteindre.
Jusque-là, Nadelya était restée calme et souriante, mais l'attitude du jeune homme l'agaça. Elle fronça les sourcils en le regardant droit dans les yeux. Comment peut-il oser faire ca ? Elle trouvait ca irrespectueux. Un sourire se dessina sur le visage du jeune homme. Cette fois, c'était trop.
─ Je crois que votre devoir de groupe va devoir attendre. Dit-elle la voix monotone.
─ Si vous ne souhaitez pas que je vous vaccine, il suffit de le dire. D'autres patients attendent leur tour. Je n'ai pas envie de perdre mon temps avec quelqu'un qui se comporte comme un gamin.
Elle posa la seringue sur le bureau et se remit face à lui.
─ Même un enfant de 7 ans ne se comporterai pas ainsi. Dit-elle sur un ton acerbe.
Jamais Nadelya avait réagit de la sorte ! Elle venait sans doute de perdre un client et se ferai surement grandement réprimander par Elena et Eril et y penser la calma un peu. Peut-être que l'accumulation du stress, de la fatigue et de ce client l'avait fait craquer. Le pauvre... Elle s'avait qu'il était timide, mais...
Nadelya passa sa main gauche dans ses cheveux en soupirant, elle ne savait plus quoi penser.
─ Si... Si vous voulez partir, vous pouvez y aller.
Sa colère se dissipa un peu et prit une expression plus sérieuse sur le visage. Elle était têtue et l'aurai bien obligé à prendre ce vaccin, mais elle ne devait pas forcer le client. Elle le regarda, attendant une réponse de sa part.
HRP : DÉSOLÉ pour l'attente ;3; J’espère que ma réponse te convient, sinon n'hésites pas à me MP
Kylian I. Rosenwald
Civil • Unys
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Mar 11 Avr - 0:52
Quand la timidité devient une maladie
Si déplorable n'est-ce pas? feat Nadelya
Tu es une personne beaucoup trop fier, un enfant pourris gâté qui déteste les règle qui ne vont pas du tout dans son sens. Cela te fait sûrement un caractère beaucoup trop insupportable pour ne pas dire que tu es invivable. Dans le milieu où tu vis, tu es une personne respecter à qui on impose que rarement les choses. Les autres sont comme toi, mais tu n'as que peu d'ami aussi, dans le fond est-ce que les gens veulent d'une vie comme toi ? Oh que oui, car l'argent ne manque pas, et tu n'es pas du tout entrain de compter les sous de fin de mois, tu peux presque tout avoir. Quel être abominable.
Alors, si une demoiselle de plus qui n'est pas plus importante que toi t'impose son "choix" car c'est le travail, tu n'apprécie pas cela, mais peut être juste car tu as peur des aiguilles ? Enfin, l'idée d'avoir un truc qui rentre dans ta peau n'est pas du tout normal. Pourquoi les vaccin n'hésitent pas en cachet tout simplement? Alors, Monsieur décide d'être insupportable, comme le pire patient qu'elle pouvait avoir. Tu n'es pas du tout aimable, tu n'es pas du tout agréable pour elle, le début allait, mais maintenant, te voilà entrain de pester dans ton coin tout au long.
Bien que le peu que tu fasses pour partir, soit de faire semblant d'avoir un appel, le genre de technique débile pour fuir comme un idiot, comme quoi tu n'es pas un homme si puissant, tu es juste un humain qui se ridiculise devant une gente demoiselle qui ne veut que faire son boulot, donc tu es clairement banal et ridicule Kylian. Pour une fois, la chance n'est pas du tout avec toi, ce qui n'arrange pas du tout tes affaires la toute de suite. Bien sûr, la rousse garda un ton si calme, au point que tu en étais presque déstabilisé, comme si tout le monde lui faisait la même ruse. Tu n'es qu'un piètre resquilleur.
"Je crois que votre devoir de groupe va devoir attendre.Si vous ne souhaitez pas que je vous vaccine, il suffit de le dire. D'autres patients attendent leur tour. Je n'ai pas envie de perdre mon temps avec quelqu'un qui se comporte comme un gamin. "
Fierté -1 et la dame +1, c'est ainsi que se font les choses, on ne peut pas dire qu'elle n'a pas du tout tord, tu n'es pas le seul homme sur terre Kylian, tu es juste un parmi tant d'autre. Au fond, elle n'a pas tord, tu te dis adulte, mais tu as grandis un peu trop vite.
" Même un enfant de 7 ans ne se comporterai pas ainsi."
Un Enfant n'a pas de portable tu aurais répondu, tu te vexes maintenant pour rien? C'est ainsi que tu es. Dés qu'on ne va pas dans ton sens, dés que cela t'énerve un peu ou devient négative, souvent Mélody arrive pour calmer la donne, mais elle n'est pas là Mélody. Il va falloir que tu trouves ta propre façon de parler? Le roi est tombé de son trône?
"Si... Si vous voulez partir, vous pouvez y aller."
Dans le fond, la porte est ouverte depuis le début, alors pourquoi tout ce spectacle ridicule? Tu es totalement paumé dans le fond, tu peux partir, mais ta fierté ne va pas te faire te lever. Super te voilà bloquer avec deux choix plutôt stupide.
-Partir et passé pour un gamin -Rester et ravaler ta fierté.
Dans les deux, tu devais calculer ce qui paierais le moins. Bien que cela était vite calculer, dans le premier choix, ta mère va te mettre un taquet plutôt violent. Roulant des yeux à imaginer cela, tu ne pouvais pas partir comme un enfant, surtout qu'après on te le rappellerais plusieurs fois. Te pinçant un peu la lèvre, tu vois déjà un certain regard de ta servante apprendre que tu as résigner devant une banal demoiselle, toi celui qui a mit a genoux plusieurs personne au pouvoir, mon dieu que tu es tellement vexé.
Mais, cela peut te faire tout aussi du bien? Dans le fond, les limites sont toujours des choses qui aident à savoir où on va, on vient de te mettre une. Sauf ta maman, personne n'avait osé te parler comme cela, c'est comme pour te dire que certaine personne n'ont pas leur langues dans leurs poches, ou tout simplement que toi qui hurle que le travail est important, te voilà devant une vrai ouvrière/travailleuse qui veut juste faire son boulot, toi qui ne connait que le théorique.
Alors, mon roi, ça fait quoi de redescendre plus bas que les gens "normaux".
Desserrant le poing, tu n'affiches pas de visage tiraillé par la colère ou par la haine, ni de mouvement brusque, tu reprends un air plutôt neutre, comme pour ne pas trahir que ta fierté vient de se faire abattre d'une balle de vérité. De plus, faire un scandale à une herboriste, sérieusement tu as autre chose à faire de plus censé on peut dire? Déboutonnant cette manche de chemise, tu tire vers l'arrière pour découvrir ton bras de porcelaine qu'on croirait que l'aiguille peut briser. Un silence plutôt lourd entre toi et cette demoiselle commence à trop peser, un truc à dire?
"Malgré ça je ne veux toujours pas de bonbon, même si je ne suis qu'un gosse."
Est-ce de l'humour Kylian? Tu n'haussas qu'un sourcil, l'air de dire : Bon okay, j'ai tord, mais je le dirais pas en gosse que je suis. Une évolution? Non pas tellement, juste une façon de faire qui ne veut pas avouer que t'es juste vexé comme un poux. De toute façon, après cette piqure tout cela sera terminé, non? Personne ne sera au courant ? Heureusement.
Jusqu’à ce que tu entends ces deux petites voix qui pop d'un coup comme ça, aussi discrète qu'un vent frais en été. Alors que tu gardais un certain sérieux, tu remarques alors une tête blonde qui se pointe comme de rien n'était.
"Moi je veux bien un bonbon avec Claudia ! -...Greta ? -C'est moi ! -Qu'est-ce que tu fais là ?! -Maman voulait la voiture, donc on est venu te chercher, tu mets trop longtemps !"
Tu deviens tout rouges de gêne devant ta propre sœur. Surtout de gêne d'arriver pendant un moment pareil, c'est clairement pas le moment que cette petite arrive...Seule? Tu regardes partout, avant de voir Claudia entrain de grimper pour attraper le pot a bonbons, tu bondit comme un fauve pour la rattraper en reposant le pot. Celle-ci affiche une petite moue. Tu saisis Greta pour l'emmener vers la sortie.
"Ca y est grand frère va nous taper... -Claudia ! -Il le fait souvent, aidez nouuuuuuuuus -Greta Claudia ça suffit ! -Tu vois Claudia, il nous remplace par une fille parfaitement inconnus". La jumelle acquiesce.
Tu ouvres la porte pour refermer derrière en soupirant, la tête contre la porte.
"Oubliez pas les bonbons madame, c'est nous qui subissons l'attente de Grand frère! -GRETA. -Oui oui !"
Elle avance en sautillant et Claudia fait un coucou avant de fermer la porte avec son air toujours aussi calme contrairement à la blonde bouclé qui rit en fermant cette porte. Déjà tout décoiffé en moins de quelques minutes juste avec les deux là, poussant un long soupir, de vrai tornarde ces petites.
"Mes sœurs, de vraies petite ouragan à elle toute seule."
Tu remets correctement tes cheveux et ta chemise qui part dans tous les sens, bien que tu poses ton bras nu ce bureau, en gardant un peu de sérieux, tu es plus mature que ces deux petites ! C'est sûr.
Messages : 153 Pokédollards : 55 Date d'inscription : 04/08/2016 Age : 28 Je suis (Inrp) : Hétéro et célibataire Je ressemble à : Shirayuki - Akagami no Shirayukihime
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Sam 17 Juin - 1:07
Quand la timidité devient une maladie.
Elle attendait toujours que quelque chose se passe. Qu'il se décide entre prendre son courage à deux mains et affronter sa peur du vaccin ou sortir pour le respect des autres clients. Et d'elle aussi ? Elle avait vu assez de clients pour ne pas se faire écraser par eux. Car oui, tous n'étaient pas tendres avec elle et les gérer n'était pas aussi simple qu'il n'y parait. Mais elle ne s'en plaignait pas, elle adore son travail qui est aussi sa passion. De plus, Elena et Eril étaient des personnes très sympathiques et affectueux. Que demander de plus ?
Nadelya observe le poing de son patient se desserrer de plus en plus. Sa colère qu'en à elle, avait totalement disparu. Elle ne voulait pas se prendre la tête pour ça et se fatiguer à donner son énergie en vain. Son client paraissait très calme, sans expression particulière sur le visage. Peut-être en avait-elle trop dit ? Rah ! Ce n'est pas le moment de culpabiliser, surtout qu'elle n'était pas vraiment coupable. Qu'est-ce qu'elle peut être indécise Nadelya !
Elle s’arrêta de se poser des questions lorsqu'elle le vit agir. Un sourire se dessina progressivement sur son visage lorsqu'elle le vit déboutonner sa manche de chemise petit à petit. Elle était ravie de son choix et qu'il est réussit à aller de l'avant. Parfois il est nécessaire de "pousser" les gens et à dire leurs 4 vérités pour les faire agir, œuvrer. Sa décision se confirma lorsqu'il tira vers l’arrière sa manche. Elle haussa discrètement les sourcils lorsqu'elle vit son bras porcelaine et raffinée qu'il avait. En y repensant, son corps était droit et d'une finesse qui aurait très bien pu être celui d'un danseur.
Nadelya était contente et avait comme regagner de l’énergie. Elle n'avait pas dit un mot, juste gardé son sourire, assez fière d'elle, de l'avoir pu remettre en place et de l'avoir fait réfléchir. Un silence s'installa entre eux, assez pour entendre le brouhaha de la salle d'attente. C'est le jeune homme qui brisa le silence.
─ Malgré ça je ne veux toujours pas de bonbon, même si je ne suis qu'un gosse.
Décidément il n'avait pas envie de lui dire merci ou un "Oui vous avez raison, j'ai tord.". Les mecs et leur fierté... Mais cela convenait à notre rouquine.
─ Vous méritez, vous avez fait preuve de courage.
Elle sourit et, toujours la seringue prête dans sa main droite, indiqua de l'autre le siège médical pour commencer le vaccin. Soudain, des voix de petites filles se firent entendre.
─ Moi je veux bien un bonbon avec Claudia ! ─ ...Greta ? ─ C'est moi ! ─ Qu'est-ce que tu fais là ?! ─ Maman voulait la voiture, donc on est venu te chercher, tu mets trop longtemps !
Une petite fille aux cheveux blonds vient tout juste de rentrer comme si de rien n'était. Personne ne l'avait empêcher. Curieuse, Nadelya jeta un coup d’œil à Kylian son patient et remarqua la couleurs vive de ses joues. Elle sourit et vit une seconde petite fille plus audacieuse se rapprocher de la boite à bonbons. La rouquine commença à se rapprocher pour éviter toute catastrophe de pot cassé ou autre mais le garçons avait agit bien plus vite pour s'en occuper et les ramener à la sortie. Ces filles étaient vraiment mignonnes mais n'avait rien à faire ici. Décidément, un vaccin n'aura jamais pris autant de temps !
─ Ca y est grand frère va nous taper... ─ Claudia ! ─ Il le fait souvent, aidez nouuuuuuuuus ─ Greta Claudia ça suffit ! ─ Tu vois Claudia, il nous remplace par une fille parfaitement inconnus.
Nade ne pu s’empêcher de rire face à leur bouille d'enfant et leurs paroles à faire craquer plus d'un. Elle, remplacer ? Elle se mit à rougir hâtivement. Heureusement que pendant ce temps là, il s'occupa de ses sœurs et ferma la porte.
─ Oubliez pas les bonbons madame, c'est nous qui subissons l'attente de Grand frère! ─ GRETA. ─ Oui oui ! ─ Ne vous en faites pas, je vous en ferait un petit sachet rien que pour vous !
Elle se retourna ensuite vers Kylian.
─ Mes sœurs, de vraies petite ouragan à elle toute seule. ─ Vos sœurs sont vraiment adorables. Dit-elle avec le sourire. Elles ont l'air de beaucoup vous apprécier à ce que je vois...
Il avait les cheveux tout ébouriffés et la chemise froissée. En regardant plus attentivement, elle pu voir son visage enfantin du jeune garçon qu'il était et se mit à essayer d'imaginer son enfance. Enfin bon ! Ce n'était pas le moment de s'attarder là dessus.
Enfin un moment de répit !
─ Nous allons enfin pouvoir commencer !
Elle se rapprocha de lui et lui tapota sur son bras un coton avec du désinfectant. Elle prit soin de faire cela avec délicatesse et douceur, pour lui montrer qu'une piqûre, ce n'était pas si effrayant que ca !
─ Serrez fort votre poing de l'autre bras et si vous êtes sensible avec ca, je vous conseille de regarder ailleurs que la seringue. dit-elle calmement et posément.
Nadelya était désormais totalement concentrée dans son travail. Lorsqu'elle le sentit prêt et la respiration plus calme, elle commença à rapprocher l'aiguille de son bras et descendre petit à petit sur la veine.
Et hop ! L'aiguille avait traversée sa peau fine et atteint sa cible. Elle finit en peu de temps d'injecté le vaccin et re-tapota son bras. Elle lui mit ensuite un pansement et rangea sa seringue.
─ Voilà c'est finit ! Alors ? vous n'avez pas trop souffert j’espère ? dit-elle avec le sourire en le titillant un peu.
Mission accomplie ! Elle le regarda en espérant qu'il lui dise que tout c'était bien passé. Après tout elle à fait du bon travail non ?
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Sujet: Re: Quand la timidité devient une maladie Jeu 29 Juin - 13:47
Quand la timidité devient une maladie
Bye-bye see youfeat Nadelya
Juste cette phrase te mets presque un frisson.
"Vos sœurs sont vraiment adorables."
Sur le coup, tu les revois ces bouilles adorable, non ce sont des démones, tu vois déjà les cornes au dessus de leur tête avec leur sourire remplis de canine, ce sont des monstres caché dans le corps de petite fille adorable. C'est tout ce que tu as dire, mais tu ne le diras pas car tu risque juste de passer pour une victime de ces petites friponnes. Bien que tu entends la suite.
"Elles ont l'air de beaucoup vous apprécier à ce que je vois..."
Il est vrai que même si vous êtes la pire famille de Chronos, vous êtes une famille unie qui ne se laisseras jamais tombé, c'est la meilleure famille qui a pu t'adopter dans le fond. Tu n'aurais pas pu trouver mieux, même si dans le fond, tu dois avoir de vrai parent qui doit te chercher, qui doit te pleurer ? Tu t'en fiches de cela ? Tu es vraiment terrible dans le fond.
"Nous allons enfin pouvoir commencer ! " Elle approche de toi, tu essaie de te calmer un peu. "Serrez fort votre poing de l'autre bras et si vous êtes sensible avec ça, je vous conseille de regarder ailleurs que la seringue. "
Elle n'a même pas finit sa phrase que tu a déjà détourné le regard très rapidement, il ne faut absolument pas que tu regardes, surtout que tu détestes cela. On peut dire que tu n'es pas le premier à venir en courant pour te faire soigner et piquer, y en a que ça dérange pas du tout, mais toi, l'idée d'un truc fabriqué qui rentre dans ta peau, nan sans façon. Bien que tu sentis un mouvement, cela est enfin terminé ? Tu vois, c'est pas si douloureux, tellement de temps perdu pour des broutilles, comme quoi, tu restes un enfant pourris gâté.
"Voilà c'est finit ! Alors ? vous n'avez pas trop souffert j’espère ?"
Tu retiens un grognement, ce n'est pas le moment de faire l'enfant capricieux, ta fierté est certes affaiblis, bien que tu regardes ton bras, l'air un peu intrigué.
"En fait, je peux plus le bouger, donc je sais pas si c'est bon signe."
Tu le dis d'un ton tellement sérieux. Mais alors, que tu affiche ce visage tellement sérieux, comme si tu l'as jugé, dans le fond tu veux juste voir sa réaction sur le coup, attend... Tu es entrain de la taquiner ? Toi Kylian Rosenwald ? Tu sais faire des blagues ? C'est pas tous les jours, demain il neige c'est sûr, voir une bonne tempête. Attendant une possible réaction, tu rebouges ton bras l'air de rien, un certain petit rictus en coin de lèvre. Bien que tu n'as pas le temps de dire autre chose, que tu entends les petites se plaindre à ta mère. Bon, plus le moment de trainer.
"Bref, je prends les sachets de bonbons, et un merci pour vous.... Enfin...." Tu rougis de gêne, encore une fois. "Désolé." ça tu l'as dis tellement faiblement et en marmonnant, fierté bye bye.
Tu poses bien sûr la somme de la visite et du vaccin puis tu te saisis des sachets, tu n'espère pas retourner de sitôt dans un cabinet médical, nota bene : faire attention à sa santé. Bien que tu as rencontré une demoiselle intéressante, c'est bien fait la vie, non ? A peine tu as franchis la porte, que les deux petites te sautent dessus pour les bonbons, faut croire que tu ne respire jamais avec les femmes...